Il nous faut un mouvement pour la justice climatique qui soit anticolonial, féministe et intersectionnel
L’urgence profonde de notre survie collective n’aurait pu être rendue plus claire lors de la grève pour le climat de septembre 2019. Ne perdons pas ce sentiment d’urgence. Renforçons ces connexions, et face à cette menace existentielle, renouvelons notre engagement à construire des alternatives justes, anticoloniales et féministes.