Jean-Marc Ferré | Flickr (CC BY-NC-ND 2.0)
A general view of participants at the 16th session of the Human Rights Council in Geneva, Switzerland.

Analyses Spéciales

L´AWID est une organisation féministe mondiale qui consacre ses efforts à la justice de genre, au développement durable et aux droits humains des femmes

Conseil des Droits de l'Homme (CDH)

​​​​​​Le Conseil des droits de l'homme (CDH) est un organe intergouvernemental clé du système des Nations Unies, responsable de la promotion et la protection des droits humains autour du globe. Il se réunit  trois fois par an en session ordinaire, en Mars, Juin et Septembre. Le Bureau du Haut-Commissariat des Nations Unies aux Droits de l’Homme (HCDH) constitue le secrétariat pour le CDH.

Le CDH :

  • Débat et adopte des résolutions sur les questions globales des droits humains ainsi que sur la situation des droits humains dans des pays particuliers

  • Examine les plaintes des victimes de violations des droits humains et des organisations activistes, au nom des victimes de violations des droits humains

  • Nomme des experts indépendants (que l'on connaît sous le nom de « Procédures Spéciales ») pour réviser les cas de violation des droits humains dans des pays spécifiques, ainsi que pour examiner et suivre des questions globales relatives aux droits humains

  • Prend part à des discussions avec les experts et les gouvernements sur les questions de droits humains

  • Évalue les bilans des États membres de l'ONU en matière de droits humains tous les quatre ans et demi, dans le cadre de l'examen périodique universel.

En savoir plus sur le CDH


Session actuelle: CDH 44

La prochaine session du CDH a lieu à Genève, en Suisse, du 30 juin au 17 juillet 2020.

AWID travaille avec des partenaires féministes, progressistes et du domaine des droits humains pour partager nos connaissances clé, convoquer dialogues et évènements avec la société civile, et influencer les négociations et les résultats de la session.

Avec nos partenaires, notre travail consiste à :


◾️ Suivre, surveiller et analyser les acteurs, discours et stratégies anti-droits et leur impact sur les résolutions du CDH.

◾️ Co-développer un plaidoyer collectif pour contrer les acteurs anti-droits et discuter plus en détails les résultats du Rapport de tendances 2017 du OURs

◾️ Soutenir, coordoner et développer de manière collaborative le Caucus féministe qui émerge au CDH.

 

 

Contenu lié

Féministe avec la vision, le courage et l’engagement

Féministe avec la vision, le courage et l’engagement

Rama est une jeune chercheuse et écrivaine féministe sénégalaise. Sa première nouvelle, La dernière lettre, a été publiée dans Présence Africaine en 2008, alors qu’elle était âgée d’une vingtaine d’années.

Un an plus tard, elle a été sélectionnée pour - participer à l’Initiative Moremi pour le leadership des femmes en Afrique, MILEAD (site en anglais). La bourse d’études est décernée à 25 jeunes femmes africaines avec la vision, le courage et l’engagement nécessaires pour inspirer et mener des changements dans leurs communautés.

"Devenir soi-même et s’assumer pleinement n’est pas simple, mais c’est la plus importante de toutes les réussites. J’ai méthodiquement appris à désapprendre et réapprendre, à déconstruire et reconstruire tout ce qu’on m’avait appris sur la manière dont les femmes doivent se comporter en société..."

Munie de la bourse Ibrahim Governance and Development 2015, Rama est sur le point de commencer ses études doctorales en développement à l’École des études orientales et africaines de l’Université de Londres. Elle est titulaire d’une maîtrise en développement international, spécialisée en développement économique africain et en questions de genre, et d’un Master en coopération internationale et en développement de l’IEP de Bordeaux, en France.

Rama est conseillère auprès de FRIDA | le Fonds pour les jeunes féministes et membre de l’équipe ’Politiques Economiques et Mondialisation’ du réseau DAWN, Development Alternatives with Women for a new Era (Pour une nouvelle ère d’alternatives de développement avec les femmes, site en anglais). Au cours des années antérieures, elle a travaillé comme assistante-chercheuse à la Commission économique pour l’Afrique des Nations Unies (IDEP), et a collaboré brièvement avec le secteur caritatif en France et dans les bureaux du PNUD situés à l’Ile Maurice.

"Pour réaliser mon moi véritable, j’ai appris que prendre soin de moi et réaliser mes rêves était plus important que toutes ces étiquettes que la société nous colle et qui ne me définissent même pas..."

En 2013, Rama a participé à un ouvrage collectif du Réseau des jeunes chercheurs-euses africain-ne-s sur la démocratie et le développement en Afrique et a également été chroniqueuse pour Nouvel Horizon Sénégal.

"Pour moi, être féministe c’est accepter de questionner tout ce qui est établi par la société pour définir ce que je devrais être, ce que je 'devrais vouloir', car devoir et vouloir sont antinomiques. Le verbe vouloir est puissant lorsqu’il est libéré du 'devrait' ou 'ne devrait pas'. Soyez vous-mêmes, un point c’est tout. "


Écoutez son dernier discours (en anglais)

Rama a parlé au nom du Groupe de travail des femmes sur le financement du développement lors de la 2ème réunion plénière de la 3ème Conférence internationale sur le financement du développement, en 2015 à Addis Abeba, en Éthiopie.

Region
Afrique
Source
AWID

Feminist with vision, courage and commitment

Feminist with vision, courage and commitment

Rama is a young Senegalese feminist, researcher and writer. In her early twenties, she wrote her first novel La dernière lettre, published by Présence Africaine in 2008. A year later she was selected as a MILEAD fellow of the Moremi initiative for Women’s Leadership in Africa. The fellowship is awarded to 25 young African women with extraordinary vision, courage and commitment to lead change in their communities.

"Becoming one's full and unapologetic self is a difficult but the most important of all achievements. I have methodically learned to un-learn and re-learn, to de-construct and re-construct all that I have been taught about how women should socialise..." 

As the 2015 Ibrahim Governance and Development PhD scholar, Rama is about to begin her doctoral studies at the School of Oriental and African Studies, University of London. She already holds an MSc in International Development specializing in African Economic Development and Gender and a Masters’ degree in International Cooperation and Development from the Bordeaux Institute of Political Studies, France.

Rama is an Advisor of FRIDA | The Young Feminist Fund and a member of the Political Economy and Globalisation Team of Development Alternatives with Women for a new Era (DAWN). In previous years, she worked as a Research Assistant at the United Nations African Institute for Economic Development and Planning (IDEP), briefly in the charity sector in France and at the UNDP country office of Mauritius.

"To become my true self, I have learned that my self-care and achievement of my dreams were more important than societal labels that do not even define me..."

In 2013, Rama contributed to a collective book by the Network of young African Researchers on Democracy and Development in Africa and has also been a columnist for Nouvel Horizon Senegal.

"To me being a feminist is accepting that I will have to question everything established by society to define who I should be or what I ‘should want’ because ‘should and want’ are antithetical. Wanting is powerful when liberated from the ‘should’ or ‘should not’. Be You. Period."


Listen to her recent speech

Rama spoke on behalf of the Women's Working Group on Financing for Development, at the 2nd Plenary Meeting of the 3rd International Conference on Financing for Development, Addis Ababa, Ethiopia 2015.

Region
Africa
Source
AWID

Feminista con visión, valentía y compromiso

Feminista con visión, valentía y compromiso

Rama es una joven feminista, investigadora y escritora senegalesa. Tenía poco más de 20 años cuando escribió su primera novela, La dernière lettre, publicada por Présence Africaine en 2008.Un año después fue una de las 25 jóvenes africanas con visión, valentía y compromiso extraordinarios para liderar cambios en sus comunidades que recibieron la beca MILEAD, otorgada por la Moremi Initiative for Women's Leadership in Africa [Iniciativa Moremi para el Liderazgo de las Mujeres en África].

"Convertirse en quien una es, plenamente y sin pedir disculpas, es un logro difícil pero el más importante de todos. He aprendido, en forma metódica, a desaprender y reaprender, a deconstruir y reconstruir todo lo que me han enseñado acerca de cómo se deben mover las mujeres en la sociedad..."

Tras recibir la beca en Gobernanza y Desarrollo 2015 de la Ibrahim Foundation, Rama está a punto de iniciar sus estudios de doctorado en la Escuela de Estudios Orientales y Africanos (SOAS) de la Universidad de Londres. Ya tiene una Licenciatura en Desarrollo Internacional con especialización en Desarrollo Económico Africano y Género, así como una Maestría en Cooperación Internacional y Desarrollo por el Instituto de Estudios Políticos de Burdeos, Francia.

Rama es asesora de FRIDA | El Fondo de Jóvenes Feministas e integrante del equipo sobre economía política y globalización de Mujeres por el Desarrollo Alternativo para una Nueva Era (DAWN por sus siglas en inglés). En años anteriores ha trabajado como asistente de investigación en el Instituto Africano de Desarrollo Económico y Planificación de las Naciones Unidas (IDEP), brevemente en el sector sin fines de lucro en Francia y en la oficina del Programa de las Naciones Unidas para el Desarrollo (PNUD) en la República de Mauricio.

"A fin de llegar a ser quien verdaderamente soy, he tenido que aprender que cuidarme y alcanzar mis sueños era más importante que las etiquetas sociales que ni siquiera me definen..."

En 2013, Rama contribuyó a un libro colectivo de la Network of Young African Researchers on Democracy and Development in Africa [Red de Jóvenes Investigadoras/es Africanas/os sobre la Democracia y el Desarrollo en África] y también ha sido columnista de Nouvel Horizon Senegal.

"Para mí, ser feminista es aceptar que tendré que cuestionar todo lo socialmente establecido para definir quién debo ser y qué ‘debo querer’, porque ‘deber’ y ‘querer’ son términos antitéticos. Cuando se libera del ‘deber’ o del ‘no deber’, el ‘querer’ se vuelve poderoso. Sé tú misma. Y punto."


Escucha su reciente discurso (en inglés)

Rama habló en representación del Grupo de Trabajo de Mujeres sobre Financiación para el Desarrollo en la segunda Sesión Plenaria de la Tercera Conferencia Internacional sobre la Financiación para el Desarrollo, celebrada en Adís Abeba, Etiopía, 2015.

Region
África
Source
AWID

Obumu Habwekigendererwa [United for the cause] continues the legacy of Koogere

Obumu Habwekigendererwa [United for the cause] continues the legacy of Koogere

The story of Koogere

The Kitara Empire once encompassed present-day parts of eastern Uganda, some areas of northern Tanzania and of eastern Democratic Republic of Congo. In this Empire, it is told, a woman named Koogere reigned over the Busongara Chiefdom. It is said that she was an exceptionally wise chief, great leader and entrepreneur who, among other achievements, brought socio-economic prosperity to her communities. The Koogere oral tradition tells the story of Koogere’s leadership, carrying her legacy through generations of the community. 

“Busongora bwa Koogere mbere ikamwa niboroga, Amagita gatera amaato, amata geser’ente” (Busongora of Koogere the land of plenty of cattle and abundant dairy products).

Koogere’s Legacy Today

The Koogere Women Empowerment Programme of Engabu Za Tooro (Tooro Youth Platform for Action, EZT) is built around and inspired by this oral tradition. EZT, an AWID member since early 2015, is an indigenous Ugandan organisation founded in 1999 and working with communities in western Uganda. EZT works to strengthen the capacity of these communities, using cultural practices to promote gender equality, the rights of indigenous women and community self-reliance. Their main activities aim to promote grassroots women’s mobilization and leadership; encourage women’s production and marketing in agro-business and cultural enterprises; end domestic violence and promote women’s economic rights.

EZT works through images and film.

Watch a video about the Koogere oral tradition

EZT is accredited to the United Nations Education, Scientific and Cultural Organisation (UNESCO) and is facilitating the nomination for their oral tradition to be inscribed by UNESCO on the world list of intangible cultural heritage during the 10th session of its Intergovernmental Committee for Safeguarding Intangible Heritage. The session will take place from November 30th to December 4th 2015 in Windhoek Namibia during which indigenous women and gender activists will showcase this oral tradition.

“Engabu Za Tooro: Impassioned for social equity and inclusion” 

 

Obumu Habwekigendererwa [Unidad con propósito] continúa el legado de Koogere

Obumu Habwekigendererwa [Unidad con propósito] continúa el legado de Koogere

La historia de Koogere

El imperio Kitara alguna vez se extendió por el oriente de Uganda, el norte de Tanzanía y el oriente de la República Democrática del Congo. Se cuenta que en este imperio una mujer llamada Koogere reinó sobre toda la zona de influencia de los jefes Busongara. Se dice que ella fue una jefa excepcional por su sabiduría, una gran líder y emprendedora que, entre otros logros, llevó la prosperidad económica a sus comunidades. La tradición oral Koogere cuenta la historia de su liderazgo, transmitiendo su legado de una generación a otra en esta comunidad.

“Busongora bwa Koogere mbere ikamwa niboroga, Amagita gatera amaato, amata geser’ente” [Busongara de Koogere, la tierra del ganado y los productos lácteos abundantes]

El legado de Koogere en la actualidad

El Koogere Women Empowerment Programme [Programa de empoderamiento para mujeres Koogere] de la Engabu Za Tooro [Plataforma de Acción Juvenil Tooro, EZT] se inspira en esta tradición oral y se desarrolla a partir de ella. EZT, afiliada a AWID desde comienzos de 2015, es una organización indígena ugandesa creada en 1999 que trabaja con comunidades de Uganda occidental. EZT se dedica a fortalecer las capacidades de estas comunidades, utilizando prácticas culturales para promover la igualdad de género, los derechos de las mujeres indígenas y la autosuficiencia comunitaria. Sus principales actividades están destinadas a promover la movilización y el liderazgo de las mujeres de sectores populares; alentar la producción y comercialización agrícola y cultural por parte de las mujeres, poner fin a la violencia doméstica y promover los derechos económicos de las mujeres.

EZT utiliza imágenes y videos para su trabajo.

Ver un video sobre la tradición oral Koogere (en inglés)

EZT mantiene una colaboración oficial con la Organización de las Naciones Unidas para la Educación, la Ciencia y la Cultura (UNESCO) y está promoviendo que su tradición oral sea incorporada por la UNESCO a la lista mundial de patrimonio cultural inmaterial durante la décima sesión del Comité Intergubernamental para la Salvaguarda del Patrimonio Cultural Inmaterial. La sesión tendrá lugar del 30 de noviembre al 4 de diciembre de 2015 en Windhoek, Namibia, y allí las mujeres indígenas y activistas de género presentarán esta tradición oral.

«Engabu Za Tooro: Apasionadas por la equidad y la inclusión sociales»

Obumu Habwekigendererwa (Uni-e-s pour une cause) poursuit l’héritage de Koogere

Obumu Habwekigendererwa (Uni-e-s pour une cause) poursuit l’héritage de Koogere

L’histoire de  Koogere

L’Empire Kitara englobait autrefois certaines parties actuelles de l’est de l’Ouganda,  certaines régions du nord de la Tanzanie et de l’est de la République démocratique du Congo. Dans cet empire, on raconte qu’une femme nommée Koogere régna sur la chefferie de Busongara. On dit que c’était une cheffe d’une exceptionnelle sagesse, une dirigeante et entrepreneure de talent qui, entre autres réussites, a rendu ses communautés prospères socialement et économiquement. La tradition orale Koogere raconte l’histoire du leadership de Koogere, tout en transmettant son héritage à la communauté, de génération en génération.

« Busongora bwa Koogere mbere ikamwa niboroga, Amagita gatera amaato, amata geser’ente » (Busongora de Koogere, la terre riche en bétail et en produits laitiers)

L’héritage actuel de Koogere

Le  Koogere Women Empowerment Programme (Programme d’autonomisation des femmes  Koogere, site en anglais) de Engabu Za Tooro - la Plateforme des jeunes de Tooro pour l’action, EZT- a été mis en place à partir de cette tradition orale et s’en inspire. Membre de l’AWID depuis le début de 2015, EZT est une organisation autochtone d’Ouganda fondée en 1999 qui travaille auprès de communautés dans la partie occidentale du pays. EZT a pour objectif de renforcer les capacités de ces communautés faisant usage de pratiques culturelles pour promouvoir l’égalité de genre, les droits des femmes autochtones et l’autonomie communautaire. Leurs principales activités  visent à promouvoir la mobilisation des femmes des communautés locales et le renforcement de leur leadership, à les encourager à produire et distribuer ces produits dans les secteurs du commerce agroalimentaire et des entreprises  culturelles. L’organisation oeuvre également pour mettre un terme à la violence intrafamiliale et pour la promotion des droits économiques des femmes. 

EZT travaille en images et en vidéos.

Regardez la vidéo sur la tradition orale Koogere (en anglais)

EZT est reconnue par l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture  (UNESCO) et œuvre actuellement à ce que sa candidature pour la sauvegarde de sa tradition orale soit acceptée sur la Liste des Trésors du patrimoine mondial culturel immatériel  de l’UNESCO au cours  de la 10ème session  du Comité intergouvernemental de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel. La session aura lieu du 30 novembre au 4 décembre 2015 à Windhoek, en Namibie. Au cours de celle-ci, des femmes autochtones et des militantes pour les droits des femmes présenteront cette tradition orale (site en anglais). 

« Engabu Za Tooro: Passionné-e d’égalité sociale et d’inclusion. »

Poeta Filipina de la Paz y la Amistad

Poeta Filipina de la Paz y la Amistad

A Caroline Nazareno-Gabis (afiliada de AWID), a la que llaman Ceri Naz,  se la conoce  como  ‘poeta de la paz y la amistad’. Nacida en Pangsinan, Filipinas, actualmente vive y trabaja en Vancouver, Canadá. Ha recibido múltiples distinciones como poeta, editora, periodista, conferenciante, lingüista, educadora y defensora de la paz y los derechos de las mujeres.

Caroline ha ganado numerosos premios por su obra, incluyendo el premio de literatura Frang Bardhi 2014 de Albania, el premio sair-gazeteci (Premio Periodista Poeta- Poet Journalist Award ) durante la 34º edición del Festival Internacional KIBATEK de Literatura y Arte de Turquía y el Premio Mundial de Poesía y Empoderamiento (World Poetry Empowered Poet ) 2013 de Canadá. También fue poeta destacada en el festival nacional de libros y revistas de Vancouver, Word On The Street (La Palabra en la Calle), y fue elegida como Directora Internacional de Poesía Mundial para Filipinas por la organización  World Poetry Canada and International.

“soy la mejor yo
porque he aceptado todo
mi yo real...”

La poesía de Caroline, sus historias para niñas y niños y algunos de sus artículos destacados se han publicado en varias antologías de libros y revistas de todo el mundo. Actualmente escribe para Philippine Canadian Inquirer, la Songsoptok International Online Magazine (revista en línea) y la revista electrónica Our Poetry Archive.

Además de su obra literaria, Caroline ha creado el “Premio de Literatura Ceri Naz”, a través del cual brinda apoyo a estudiantes de periodismo de la Universidad Estatal de Pangasinan y a escritoras y escritores, poetas y artistas emergentes de Filipinas.

“…soy
frágil
pero de mis pedazos
hice
un torrente de fuerza y respiración…”

Poète philippine de la paix et de l'amitié

Poète philippine de la paix et de l'amitié

Souvent décrite comme une « poète de la paix et de l’amitié », Caroline Nazareno-Gabis (membre de l'AWID), plus connue sous le pseudonyme de Ceri Naz, est originaire de la province de Pangasinan, aux Philippines. Poète primée, éditrice, journaliste, conférencière, linguiste, éducatrice et militante pour la paix et les droits des femmes, Caroline vit et travaille actuellement à Vancouver, au Canada.

L’œuvre de Caroline a été récompensée par de nombreux prix internationaux. Elle a notamment remporté le prix littéraire Frang Bardhi 2014 en Albanie, le prix Sair-gazeteci (qui récompense les poètes-journalistes) du 34ème KIBATEK – le Festival international de littérature et d’arts qui a lieu en Turquie – et le prix World Poetry Empowered Poet 2013 au Canada. Elle a été invitée à participer au festival Word On The Street de Vancouver (site en anglais) et nommée directrice du World Poetry International pour les Philippines par la fondation World Poetry Canada and International.

« …je suis mon meilleur moi
car j’ai accepté mon moi entier,
mon moi véritable… »

La poésie de Caroline, ses histoires pour enfants et ses reportages ont été publiés dans différents livres, anthologies et magazines, et ce dans le monde entier. Elle collabore actuellement avec le Philippine Canadian Inquirer (site en anglais), le Songsoptok International Online Magazine et le journal en ligne Our Poetry Archive.

Outre son œuvre littéraire, Caroline a créé le prix littéraire Ceri Naz pour soutenir les étudiant-e-s en journalisme de l’Université d’État du Pangasinan ainsi que les écrivain-e-s, poètes et artistes prometteur-se-s des Philippines.

« …je suis
 fragile
mais j’ai reconstitué
 les fragments brisés
 en des fleuves larges et puissants… »

 

Poet of peace and friendship

Poet of peace and friendship

Often known as a ‘poet of peace and friendship’, Caroline Nazareno-Gabis (an AWID member), a.k.a. Ceri Naz is a native of Pangsinan, Philippines, currently living and working in Vancouver, Canada. She is an award-winning poet, editor, journalist, public speaker, linguist, educator, peace and women’s rights advocate.


Caroline has won numerous international prizes for her work, including the The Frang Bardhi Literary Prize 2014 in Albania, the sair-gazeteci (Poet-Journalist Award) during the 34th KIBATEK International Festival of Literature and Arts in Turkey and the World Poetry Empowered Poet 2013 in Canada. She was also a featured poet at Vancouver Word On The Street and chosen as the World Poetry International Director for the Philippines by the World Poetry Canada and International.

“i am the greatest me
for i have accepted the whole,
the real me…”

Caroline’s poetry, children’s and feature stories have been published in various book anthologies and magazines worldwide. Currently, she writes for the Philippine Canadian Inquirer, the Songsoptok International Online Magazine and the e-journal Our Poetry Archive.

Beyond her literary work, Caroline has created the The Ceri Naz Literary Award through which she supports journalism students at the Pangasinan State University as well as emerging writers, poets and artists in the Philippines.

“…i am
fragile
but had put up
the broken pieces
to streams of strength and breadth…”

Ending violence against women, "it's still worth a fight!"

Ending violence against women, "it's still worth a fight!"

Lina Abirafeh (an AWID individual member) is Lebanese and Palestinian, born into conflict, displacement and gender issues. She is committed to ending violence against women and says “we all should be! It is the most pervasive human rights violation in the world, and it has endured far too long. Even if we don’t see the results in our lifetime, it’s still worth a fight!

Lina received a PhD from the London School of Economics Department of International Development, her research being published in a book entitled Gender and International Aid in Afghanistan: The Politics and Effects of Intervention. For nearly 20 years she has been dedicated to working on issues pertaining to violence against women, specifically in emergency contexts and in over 20 countries including Afghanistan, Papua New Guinea, Democratic Republic of Congo, Haiti, Mali, Nepal, and Central African Republic. Lina has also worked with numerous UN agencies, the World Bank, as well as with diverse international and national non-governmental organizations. In September 2015, she joined the Lebanese American University (LAU) in Beirut as Director of the Institute for Women’s Studies (IWSAW) in the Arab World.
“We are all affected. So we are all responsible.” - Lina Abirafeh
Lina is also looking forward to connecting with other members!
 
Watch Lina’s talk for TEDx on her work regarding sexual violence in humanitarian emergencies
 

 

Region
West Asia
Source
AWID

Para terminar con la violencia contra las mujeres, ¡aún vale la pena luchar!

Para terminar con la violencia contra las mujeres, ¡aún vale la pena luchar!

Lina Abirafeh (afiliada individual de AWID) es libanesa y palestina. Nació en medio del conflicto, el desplazamiento y la discriminación de género y está comprometida con la eliminación de la violencia contra las mujeres. «¡Todas las personas deberíamos tener el mismo compromiso!», afirma. «Es la violación a los derechos humanos más generalizada en el mundo y persiste desde hace mucho tiempo. Aun cuando no veremos los resultados durante nuestra vida, vale la pena luchar».

Lina obtuvo un título de doctorado del departamento de desarrollo internacional de London School of Economics, para el que presentó una investigación publicada (en inglés) en el libro Gender and International Aid in Afghanistan: The Politics and Effects of Intervention [Género y ayuda internacional en Afganistán: La política y los efectos de la intervención]. Durante casi 20 años Lina se ha dedicado a trabajar por los temas referidos a la violencia contra las mujeres, especialmente a la ejercida en contextos de emergencia y en más de 20 países, incluidos Afganistán, Papua Nueva Guinea, República Democrática del Congo, Haití, Malí, Nepal y República Centroafricana. Ha trabajado también con numerosos organismos de las Naciones Unidas, el Banco Mundial y diversas organizaciones no gubernamentales nacionales e internacionales. En septiembre se incorporará a la Lebanese American University [universidad libanesa americana] de Beirut como directora del instituto para los estudios de la mujer en el mundo árabe (IWSAW).
 
«Todas las personas nos vemos afectadas; por eso todas somos responsables.» - Lina Abirafeh
 
Lina también anhela conectarse con otras/os afiliadas/os de AWID. 
 
Mira la charla de Lina (en inglés) por TEDx sobre su labor para evitar la violencia sexual en escenarios de emergencia humanitaria.
 
 

 

Source
AWID

Mettre fin aux violences faites aux femmes, « une bataille qui vaut toujours la peine d’être menée ! »

Mettre fin aux violences faites aux femmes, « une bataille qui vaut toujours la peine d’être menée ! »

D’origine libanaise et palestinienne, Lina Abirafeh (membre individuelle de l'AWID) est née dans un contexte de conflits, de déplacements de population et de problématiques de genre. Déterminée à mettre un terme à la violence à l’égard des femmes, elle dit : « Nous devrions tou-te-s lutter fermement contre la violence faite aux femmes ! C’est la violation des droits humains la plus répandue dans le monde, et elle dure depuis bien trop longtemps. C’est une bataille qui vaut la peine d’être menée, même si nous n’en voyons pas les résultats de notre vivant ! »

Lina, qui a obtenu un doctorat du Département pour le développement international de la London School of Economics, voit sa thèse actuellement publiée dans un ouvrage (en anglais) intitulé Gender and International Aid in Afghanistan: The Politics and Effects of Intervention (Genre et aide internationale en Afghanistan : les politiques et effets de l’intervention). Pendant près de 20 ans, elle s’est attachée à travailler sur des questions de violence contre les femmes, particulièrement dans des situations d’urgence et dans plus de 20 pays dont l’Afghanistan, la Papouasie-Nouvelle-Guinée, la République démocratique du Congo, Haïti, le Mali, le Népal et la République centrafricaine. Lina a également collaboré avec de nombreuses agences de l’ONU, avec la Banque Mondiale, et avec différentes organisations non-gouvernementales internationales et nationales. Elle intègrera au mois de septembre la Lebanese American University (LAU) à Beyrouth en tant que Directrice de l’Institute for Women’s Studies (IWSAW) in the Arab World (institut d’études des femmes dans le monde arabe).

 « Nous sommes tou-te-s concerné-e-s. Nous sommes donc tou-te-s responsables. » - Lina Abirafeh

Lina se fait aussi une joie de communiquer avec d’autres membres ! 

Vous pouvez voir la présentation (en anglais) TEDx de Lina sur son travail concernant la violence sexuelle au cours de crises humanitaires.
 

 

Source
AWID