
Maria Elizabeth Macias Castro

Over the past few years, a troubling new trend at the international human rights level is being observed, where discourses on ‘protecting the family’ are being employed to defend violations committed against family members, to bolster and justify impunity, and to restrict equal rights within and to family life.
The campaign to "Protect the Family" is driven by ultra-conservative efforts to impose "traditional" and patriarchal interpretations of the family, and to move rights out of the hands of family members and into the institution of ‘the family’.
Since 2014, a group of states have been operating as a bloc in human rights spaces under the name “Group of Friends of the Family”, and resolutions on “Protection of the Family” have been successfully passed every year since 2014.
This agenda has spread beyond the Human Rights Council. We have seen regressive language on “the family” being introduced at the Commission on the Status of Women, and attempts made to introduce it in negotiations on the Sustainable Development Goals.
AWID works with partners and allies to jointly resist “Protection of the Family” and other regressive agendas, and to uphold the universality of human rights.
In response to the increased influence of regressive actors in human rights spaces, AWID joined allies to form the Observatory on the Universality of Rights (OURs). OURs is a collaborative project that monitors, analyzes, and shares information on anti-rights initiatives like “Protection of the Family”.
Rights at Risk, the first OURs report, charts a map of the actors making up the global anti-rights lobby, identifies their key discourses and strategies, and the effect they are having on our human rights.
The report outlines “Protection of the Family” as an agenda that has fostered collaboration across a broad range of regressive actors at the UN. It describes it as: “a strategic framework that houses “multiple patriarchal and anti-rights positions, where the framework, in turn, aims to justify and institutionalize these positions.”
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Lorena Borjas, femme trans et activiste latino-américaine, travaillait et vivait dans le quartier de Jackson Heights dans le Queens, à New York. Dans ces rues, pendant des années, elle s’est occupée de sa communauté à plaider en faveur des droits des personnes trans et immigrées, soutenir les individus ayant survécu à la traite des êtres humains et à la maltraitance et défendre les droits des travailleures du sexe et des personnes vivant avec le VIH et le sida.
Lorena se battait avec force, sans relâche, afin d’aider, de défendre et de soutenir les personnes les plus marginalisées et discriminées par la transphobie, la misogynie et le racisme.
« Elle nous a poussé·e·s à briller avec authenticité, à devenir le cri subversif qui affirme “ je suis là et je mérite moi aussi d’être heureux·se ” » - Cecilia Gentili, activiste trans et ami·e de Lorena
Ayant elle-même fait face à de nombreux traumatismes et difficultés en tant qu'immigrée transgenre et victime de la traite des êtres humains, Lorena a puisé dans le puits de ses expériences des connaissances et d’une mémoire émotionnelle afin d'aider à construire et à renforcer la communauté dont elle faisait partie, et qui faisait partie d'elle. Pour ce faire, elle a notamment organisé et mobilisé des aides allant de la fourniture de préservatifs à la mise en relation de femmes trans avec différents services, en passant par la création d'une clinique de dépistage du VIH à son propre domicile.
« C’était une si belle âme qui aidait les autres alors que son parcours d’immigrée, et d’immigrée trans, était difficile et douloureux. Elle était convaincue que la communauté trans avait besoin d’amour, d’acceptation et de compassion, et elle a tout donné. » - Luchia Dragosh, superviseuse de production chez QPTV dans le cadre d’un documentaire sur Lorena
En plus de 25 ans d'activisme, elle a également fondé le Fonds communautaire Lorena Borjas avec Chase Strangio (avocat et activiste des droits des trans), qui aide les nombreux·ses membres de sa communauté (et en particulier les personnes trans) confronté·e·s aux problèmes d'immigration à éviter le cycle arrestation-prison-expulsion.
Lorena est décédée en mars 2020 des suites de complications liées à la COVID-19.
Son oeuvre, gigantesque et merveilleuse, sera poursuivie dans les rues du Queens par le réseau et la communauté qu’elle a cocréés.
« Nous reprendrons son travail là où elle l’a laissé, travail essentiel au bien-être de ses “ pajaras ” (oiselles), comme elle aimait appeler les filles trans du Queens qu’elle avait prises sous son aile. » - Cecilia Gentili
« Lorena nous a apporté de la lumière alors que nous vivions une période très sombre ici à New York. Elle nous a apporté sa lumière alors que nous faisions face à l’ ”épidémie de crack ”, à la crise du sida, aux changements dans les politiques d’immigration. » - Cristina Herrera, fondatrice et directrice générale de Translatina Network et amie de Lorena
« Lorena a fait plus que quiconque pour faire la lumière sur l’épidémie de traite dans les communautés transgenres et permettre à d’autres femmes trans d’échapper à l’exploitation. » - Lynly Egyes (a représenté Borjas pour le compte du Transgender Law Center)
Regardez un documentaire sur Lorena Borjas (seulement en anglais)
Lisez l'article sur Lorena Borjas dans la rubrique Postscript du New Yorker (seulement en anglais)
Lisez un article d'opinion de Cecilia Gentilin dans le New York Times (seulement en anglais)
Um total de 47 perguntas, das quais 27 são obrigatórias* e 20 são opcionais. A maioria das perguntas no inquérito é de escolha múltipla. Encorajamo-lo a responder a todas as perguntas.
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Rosane Santiago Silveira was affectionately known as Rô Conceição. A Brazilian environmental and human rights activist, she fervently fought to protect the environment where it was most threatened.
This included defending it on the island of Barra Velha, where it was endangered by oil exploration, as well as safeguarding it by campaigning against land-grabbing and expansion of eucalyptus plantations in Bahia State, where Rosane was a member of the Cassurubá Extractivist Reserve Council.
“Extractive Reserve is a protected area where resident families make their living off natural products extracted from the forest. These activities help maintain the forest integrity.” - Global Justice Ecology Project (original source: Rede Brasil Atual)
She was part of trade union activities, human rights and cultural movements. Rosane dedicated much of herself to causes that were not only close to her but are also of concern to land, forests, rivers, and communities whose rights and lives are continuously at risk.
She was tortured and murdered on 29 January 2019 in Nova Viçosa, a city in southern Bahia.
“Unfortunately, today there is a feeling of total insecurity, because of the State’s absence in prosecuting these crimes. We were with her at Christmas, and everyone realised that she was worried and now we know that she had received three death threats,” - Tuian, Rosane’s son in an interview with Rádio Brasil Atual (original source: Rede Brasil Atual)
Bien plus de la moitié de la population mondiale est aujourd’hui dirigée par l’extrême droite. C’est sur cette toile de fond que défenseur·e·s des droits humains et féministes luttent pour « tenir bon », protéger le multilatéralisme et le système international des droits humains, alors que leurs engagements les exposent à de violentes répressions. Ces institutions sont cependant de plus en plus soumises aux intérêts du secteur privé. Les grandes entreprises, surtout les sociétés transnationales, siègent à la table des négociations et occupent des fonctions de leadership dans plusieurs institutions multilatérales, l’ONU notamment. Le lien entre ultranationalisme, restriction de l’espace civique et emprise des entreprises a un impact considérable sur la réalisation ou non des droits humains pour tout le monde.
Tenemos el placer de presentarte a Sopo Japaridze, feminista feroz, líder sindical y presidenta del sindicato independiente de servicios Red de Solidaridad.
Dejó el país cuando era muy joven para ir a los Estados Unidos, donde se volvió políticamente muy activa como organizadora laboral. Siempre mantuvo a Georgia en su mente todo ese tiempo, hasta que un día, dos décadas después, decidió regresar.
La confederación sindical georgiana existente en este momento era menos que ideal. Entonces, equipada con sus habilidades, conocimientos y experiencia en organización laboral, Sopo regresó a Georgia y formó su propio sindicato.
También es una apasionada investigadora y escritora. Estudia relaciones laborales y sociales, escribe para varias publicaciones y es una de lxs editorxs de Left East, una plataforma analítica de Europa del Este. También cofundó la iniciativa y el podcast de historia política, Reimaginando la Georgia soviética, donde explora las complejidades y los matices de las experiencias del país bajo la Unión Soviética, para entender mejor su pasado y construir un futuro mejor.
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Piensa en grande. Gracias a nuestro alcance internacional, podemos combinar el trabajo analítico con herramientas políticas y prácticas para la incidencia y la transformación, con el objeto de promover la causa de los movimientos feministas en todos los ámbitos.
«Soy una maravilla... ¡Por lo tanto, he nacido de una madre! Cuando comienzo a balbucear, Mi vida ha sido como ninguna otra...» - Ayanda Denge (lee el poema completo más abajo)
Como comprometida y ferviente activista por la justicia social, luchó por los derechos de lxs trabajadorxs sexuales, de las personas trans y de quienes viven con VIH y SIDA. Era también conferencista motivacional para concientizar sobre el cáncer, y hacía campaña por viviendas sociales económicas, en especial, para la gente pobre y de clase trabajadora. Ayanda se erguía, alta como una montaña, contra los distintos y, a menudo, abusivos rostros de la discriminación.
«Ser transgénero no es una dosis doble, sino una dosis triple de estigmatización y discriminación. Te discriminan por tu identidad sexual, te discriminan por tu trabajo, y te discriminan por tu estatus de VIH.» - Ayanda Denge, 2016
Ayanda presidía la organización Sex Workers Education and Advocacy Taskforce (SWEAT) [ Grupo de Trabajo para la Educación y la Defensa de Trabajadorxs Sexuales], y trabajaba también como coordinadora de promoción comunitaria en Sisonke, un movimiento nacional de trabajadorxs sexuales de Sudáfrica.
«Desde nosotrxs, desde nuestra sede regional, hasta SWEAT, de la que integro la Junta Directiva, o hasta Sisonke, un movimiento de trabajadorxs sexuales de Ciudad del Cabo, todxs nos amalgamamos, tenemos un solo grito y es un grito que ha sido reconocido internacionalmente por lxs trabajadorxs sexuales internacionales. Queremos la descriminalización del trabajo sexual.» - Ayanda Denge, 2016
Vivía en la Ahmed Kathrada House, que estaba siendo ocupada por la campaña Reclaim the City [Recuperar la Ciudad] en favor de las viviendas sociales. En 2018, Ayanda fue elegida líder de la casa. El 24 de marzo de 2019 fue apuñalada en su habitación. El año anterior, otrx residente había sido asesinadx.
Reclaim the City señala una conexión entre la seguridad de lxs residentes de la casa, el corte del servicio de electricidad por parte del gobierno provincial, y el derecho humano al agua:
«No podemos separar la seguridad de las mujeres y de las personas LGBTQI que están viviendo en la casa ocupada de la negativa a reestablecer los servicios de electricidad y agua en la Ahmed Kathrada House por parte del gobierno de la Provincia del Cabo Occidental.
De noche, la casa está completamente oscura. Necesitamos luces para protegernos unxs a otrxs. Es como si la Provincia quisiera castigar a la gente pobre y de clase trabajadora, cuyo único crimen es necesitar un hogar. Si bien pueden estar en desacuerdo con nuestros motivos por ocuparla, deberían avergonzarse de priorizar la política en detrimento de la seguridad y la dignidad de lxs residentes de esta ciudad.
Descansa en paz, camarada Ayanda Denge. Te recordaremos mientras mantenemos viva la llama de la lucha por una vivienda decente y bien ubicada.»
Poema de Ayanda:
Soy una maravilla…
¡Por lo tanto, nací de una madre!
Cuando comienzo a balbucear,
Mi vida ha sido como ninguna otra.
Nacida en el dolor
Nutrida por la lluvia
Para mí ganar
Era vivir en un desagüe.
Mientras se me cae una lágrima
Me pongo de pie y empuño mi lanza.
Las voces hacen eco, no temas
Habrá desafíos dentro del año,
Desafíos de daño se ciernen sobre mí;
La comunidad aplaude porque asume que he ganado mi carrera;
Pero en realidad mi trabajo avanza a paso de tortuga;
De rodillas me inclino y pido gracia.
Porque el Señor
Es mi espada
Para recordar a la humanidad
Que Él brinda cordura.
¿Por qué Señor soy esta maravilla?
El Señor me responde con la lluvia y el trueno,
Por cuestionar a mi padre
Que tiene en el libro de los corderos
Un nombre llamado Ayanda.
Desde las calles mi vida nunca fue dulce
La gente que tenía que encontrar;
A veces yo nunca saludaba,
Aun a pesar de que tenía que comer;
Optaba por inclinarme
En lugar de sentarme
Escucha el poema en la voz de Ayanda
«Porque mi vida representa la de una flor de loto, ya que de las turbias y turbulentas aguas florecí para ser hermosa y fuerte...» - Ayanda Denge, mira y escucha
«Ayanda, quiero decirte que todavía eres una sobreviviente, en nuestros corazones y nuestras mentes. Te has ido, pero estás en todas partes, porque eres amor. Qué hermoso es ser amadx, y dar amor. Y Ayanda, ese es el regalo que nos has dado. Gracias por todo el amor, verdaderamente te necesitábamos. De ahora en adelante, te prometo que todxs nos comprometeremos a continuar la lucha a la que tanta energía y tiempo dedicaste. Y nos comprometeremos a buscar justicia por este horrible final de tu vida.» - transcripción de un mensaje en un tributo de despedida a Ayanda
«Ayanda era una activista por naturaleza. Sabía cuáles eran sus derechos y no le importaba pelear por los derechos de otrxs. Para mí, no fue una sorpresa que se involucrara en muchas organizaciones, y era sabido que era una persona de la gente. Ella representaba no solo los derechos de las personas LGBTI, representaba los derechos de todxs.» - hermana de Ayanda
A magical experience of feminist story telling led by pan-African feminist Coumba Toure, performing in the age old tradition of West African griots.
And we gathered again
We gathered our stories our strength
our songs
our tears
our rage
our dreams
our success
our failures
And we pull them all together
In one big bowl to share
for a moon of thoughts
And we stay in touch
We shake each others minds
we caress each other souls
While our hands still are tied
And our kisses and hugs are banned
Yet we grow stronger by the hour
Weaving together our voices
Crossing the sound barriers
as we speak in tongues
We are getting louder and louder
We know about differences from others
and from each other so we are stitching our beauties into patchwork or thoughts
From our deepest learnings from our powers
Sometimes we are surrounded by terror
by confusions by dishonesty
But we wash out in the Ocean of love
We are weavers of dreams
To clothes or new world
Thread after thread
As small as we are
Like little ants building our movement
Llike little drops building our rivers
We take steps forward and steps backward
Dancing our way back to sanity
Sustain to the rhythm of our hearts keep
Beating please don't not stop
And we are here transmitter of forgotten generosity
drop after drop growing like the ocean
growing like the river flowing from our souls .
showing our strength to be the water
that will clean this world
and we are gathering again can you feel us
I would lie if I say I said I am
Ok not to see you I do miss my people
I miss your touch and
You unfiltered and unrecorded voices
I miss our whispers and our screams
Our cries of the aborted revolution
We only want to give birth to new worlds
So fight to erase the borders between us
And we gathered again
We gathered our stories our strength
our songs
our tears
our rage
our dreams
our success
our failures
And we pull them all together In one big bowl to share
For a moon of thoughts
And we stay in touch
We shake each others minds
we caress each other souls
While our hands still are tied
And our kisses and hugs are banned
Yet we grow stronger by the hour
Weaving together our voices
Crossing the sound barriers
as we speak in tongues
We are getting louder and louder
We know about differences from others
and from each other so we are stitching our beauties into patchwork or thoughts
From our deepest learnings from our powers Sometimes we are surrounded by terror by Confusions by dishonesty
But we watch out in the Ocean of love
We are weavers of dreams
To clothes or new world
Thread after thread
As small as we are like little ants building our movements
like little drops building our rivers We take steps forward and steps backward
dancing our way back to sanity
Sustain to the rhythm of our hearts
keep beating please don't not stop
And we are here transmitter of forgotten generosity
Drop after drop growing like the ocean
growing like the river flowing from our souls
showing our strength to be the water
that will clean this world
and we are gathering again can you feel us
I would lie if I I said I am Ok
not to see you
I do miss my people
I miss your touch and
You unfiltered and unrecorded voices
I miss our whispers and our screams
Our cries over the aborted revolutions
We only want to give birth to new worlds
So fight to erase the borders between us
Please don’’t stop
La plupart des États membres de l'Union européenne ont des lois et des pratiques qui pénalisent ou contrôlent de facon inacceptable le travail des travailleur·euses du sexe. La criminalisation des travailleur·euses du sexe et/ou de leurs client·e·s ne fait que contribuer à accroître la vulnérabilité des travailleur·euses du sexe, qui sont déjà confronté·es quotidiennement à la stigmatisation, à la discrimination et à l'exclusion de l'État et de la société, en particulier les femmes, les personnes trans, les migrant·e·s et/ou les travailleur·euses racialisés. En Espagne par exemple, le gouvernement essaie actuellement de faire passer une Loi pour l'Abolition de la Prostitution, ce qui entraînera plus de marginalisation et de violence. Venez entendre les histoires de travailleuses du sexe et d'organisatrices syndicales qui luttent pour décriminaliser le travail du sexe et promouvoir les droits et conditions de travail décentes pour les travailleur·euses du sexe.
Нет, не является. Он основан на 20-летней истории AWID по мобилизации более объемного и качественного финансирования для социальных изменений под руководством феминисток(-ов) и является третьим этапом исследования «Где деньги для феминистских организаций?». Наша цель – проводить опрос «Где деньги?» каждые 3 года.