DOSSIER DU VENDREDI – À l’occasion de la commémoration de la Journée mondiale de la radio, célébrée le 13 février, l’AWID s’est entretenue avec la Directrice de l’Union Congolaise des Femmes des Médias [1] (UCOFEM), Anna Mayimona Ngemba, pour mieux comprendre la façon dont la radio et les médias en général favorisent ou entravent les droits humains des femmes en République démocratique du Congo.   

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Dans de nombreux pays du monde, des États répressifs et des lois et pratiques discriminatoires continuent à bafouer les droits des personnes et des communautés lesbiennes, bisexuelles, transgenres, transsexuelles, queer et intersexes (LGBTQI) et font peser sur elles la criminalisation et la discrimination. Ce sont des êtres humains qui font vivre ces forces discriminatoires, mais ce sont aussi des êtres humains qui font naître les changements les plus profonds.

Massan d’Almeida, une organisatrice féministe du Togo, fondatrice et Directrice éxécutive sortante du ROFAF (membre institutionnel de l’AWID) raconte des histoires sur le travail non rémunéré, les ressources qui s’amoindrissent, ce qui se passe quand une féministe africaine est décédée seule, et pourquoi il est important d'oser et de raconter ces histoires.

Dans le cadre des profils des membres de l'AWID, Ngozi Cole raconte son voyage et comment elle a trouvé son identité en tant que féministe.

Créée en 2008, La Floraison a pour mission de mobiliser les énergies de jeunes femmes activistes des droits humains en zone rurale de la République démocratique du Congo, afin d’améliorer leur bien-être social, culturel et économique.

WoMin, une alliance africaine spécialisée dans les thèmes de l’égalité des genres et des extractions, s’applique à dénoncer l’incidence négative que l’activité minière a sur les femmes, mais elle s’efforce aussi d’offrir des alternatives de développement éco-féministes et post-extractivistes. 

En Tanzanie, WATED travaille en étroite collaboration avec les femmes des zones rurales et avec le gouvernement local sur les questions relatives aux droits fonciers et à la justice économique. 

Angila Ashitua est membre de l'AWID depuis octobre 2015. Elle is contesting in Kenya's next general elections in August 2017. Elle se présenteaux prochaines élections générales qui seront organisées en août 2017 au Kenya.

Créée en 2008, Vie Féminine et Handicap se donne pour mission de lutter contre la pauvreté des femmes en situation de handicap au Sénégal et de façon plus globale sur tout le continent africain.