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À l’occasion de la Journée mondiale de lutte contre le sida, le 1r décembre 2024, l’AWID, en collaboration avec ses partenaires, organise l’événement « Transférer les fonds, impulser le changement », la veille du le 15e Forum international de l’AWID.

Communément considéré comme LA session de l’année abordant les enjeux d’égalité des genres, cette session du CDH qui a débuté le 18 juin et s’est étalée sur quatre semaines, n’a pas été vraiment différente des autres années.

Ce calendrier est un cadeau chaleureux de l’AWID et de ses membres aux mouvements féministes du monde entier.

Nous avons demandé à quelques humoristes féministes de nous donner leur point de vue sur la capture corporative, et voici ce qu'i.e.lles avaient à dire.

Notre lutte pour les droits du travail dans l’économie des soins est indissociable de la lutte plus large contre le système patriarcal et capitaliste qui perpétue les inégalités et exploite notre force de travail et les ressources de la planète.

Les changements et les transitions sont parties prenantes de la vie et des mouvements, que nous voulons accueillir avec intention et soins.

Bien plus de la moitié de la population mondiale est aujourd’hui dirigée par l’extrême droite. C’est sur cette toile de fond que défenseur·e·s des droits humains et féministes luttent pour « tenir bon », protéger le multilatéralisme et le système international des droits humains, alors que leurs engagements les exposent à de violentes répressions.

En nous penchant sur la 53e session du CDH qui s’est tenue en juin et juillet dernier, nous revenons sur certains des détails qui nous permettent de mieux comprendre comment les États et les organisations antidroits cherchent à soustraire leurs violations des droits humains à l’examen public et portent atteinte au système onusien dans son ensemble.