
Sonia Pierre

WHRDs are self-identified women and lesbian, bisexual, transgender, queer and intersex (LBTQI) people and others who defend rights and are subject to gender-specific risks and threats due to their human rights work and/or as a direct consequence of their gender identity or sexual orientation.
WHRDs are subject to systematic violence and discrimination due to their identities and unyielding struggles for rights, equality and justice.
The WHRD Program collaborates with international and regional partners as well as the AWID membership to raise awareness about these risks and threats, advocate for feminist and holistic measures of protection and safety, and actively promote a culture of self-care and collective well being in our movements.
WHRDs are exposed to the same types of risks that all other defenders who defend human rights, communities, and the environment face. However, they are also exposed to gender-based violence and gender-specific risks because they challenge existing gender norms within their communities and societies.
We work collaboratively with international and regional networks and our membership
We aim to contribute to a safer world for WHRDs, their families and communities. We believe that action for rights and justice should not put WHRDs at risk; it should be appreciated and celebrated.
Promoting collaboration and coordination among human rights and women’s rights organizations at the international level to strengthen responses concerning safety and wellbeing of WHRDs.
Supporting regional networks of WHRDs and their organizations, such as the Mesoamerican Initiative for WHRDs and the WHRD Middle East and North Africa Coalition, in promoting and strengthening collective action for protection - emphasizing the establishment of solidarity and protection networks, the promotion of self-care, and advocacy and mobilization for the safety of WHRDs;
Increasing the visibility and recognition of WHRDs and their struggles, as well as the risks that they encounter by documenting the attacks that they face, and researching, producing, and disseminating information on their struggles, strategies, and challenges:
Mobilizing urgent responses of international solidarity for WHRDs at risk through our international and regional networks, and our active membership.
Stella began her career at the Ministry of Gender and Community Development in Uganda engaging with policymakers for law reform, including the 1995 Ugandan Constitution, which established some of the most progressive reforms for women in the region.
She is revered throughout the region for her tireless efforts to create and enforce gender-responsive laws and policies. She played a key role in drafting Uganda’s Domestic Violence Act and in mobilizing support for gender-responsive constitutions in both Uganda and in Rwanda.
Through her work with International Center for Research on Women (ICRW), she worked on violence against children, and worked to strengthen the capacities of grassroots organizations addressing gender-based violence. She was a lecturer on gender rights and the law at Makerere University and served on the boards of Akina Mama wa Afrika, ActionAid International Uganda and the Open Society Initiative for Eastern Africa.
Oui, tout à fait! Nous reconnaissons et comprenons les différentes raisons pour lesquelles les féministes de tous contextes ne recourent pas au financement extérieur, pouvant aller de ne pas être éligibles à demander des subventions et/ou recevoir de l’argent de l’étranger, à compter sur des ressources générées de manière autonome (ressource en anglais) en tant que stratégie politique à part entière. Nous vous invitons à participer, peu importe votre expérience du financement extérieur.
L’AWID rend hommage aux féministes et défenseur-e-s des droits humains qui ne sont plus parmi nous, et dont les contributions à l’avancement des droits humains nous font cruellement défaut.
L’hommage se présente sous forme d’une exposition de portraits d’activistes du monde entier qui ne sont plus parmi nous qui ont lutté pour les droits des femmes et la justice sociale.
Célébré en 2012 à l’occasion du lancement du 12e Forum international de l’AWID en Turquie, le premier hommage aux défenseur-e-s des droits humains a pris la forme d’une exposition de portraits et de biographies de féministes et d’activistes disparu-e-s. Des participant-e-s au Forum ont décrit cette initiative comme « une manière à la fois unique, émouvante et vivifiante de célébrer notre histoire collective ».
Lors du 13e Forum international au Brésil, nous avons célébré les activistes féministes et les défenseur-e-s des droits humains qui nous ont quitté-e-s ou qui ont été assassiné-e-s avec une cérémonie de dévoilement d’une peinture murale, un spectacle de danse et un rituel brésilien.
Entre la tenue de ces différents événements, l’hommage continue sous forme d’une galerie en ligne, mise à jour chaque année à l’occasion de la campagne de 16 jours d’action contre la violence basée sur le genre (25 novembre-10 décembre).
Depuis 2012, plus de 400 féministes et défenseur-e-s des droits humains issues de 11 régions et 80 pays ont été incluses dans notre Hommage.
L’AWID tient à remercier les familles et les organisations qui ont partagé leurs histoires personnelles et contribué à cette commémoration. Nous nous engageons auprès d’elles à poursuivre le travail remarquable de ces militant-e-s et nous ne ménagerons aucun effort pour que justice soit faite dans les cas qui demeurent impunis.
Visitez l’expo de l’hommage en ligne
Outre l’hommage rendu à ces incroyables activistes, nous souhaitons faire la lumière sur le sort de ces défenseur-e-s des droits humains qui ont disparu ou ont été assassin-é-es.
Un tiers des activistes présenté-e-s dans cet hommage ont été assassiné-e-s ou sont disparu-e-s dans des circonstances obscures. Iels ont été visé-e-s personnellement, en raison du travail qu’iels réalisaient afin de défier :
Ce fut notamment le cas d’Agnes Torres, du Mexique, assassinée en raison de son identité de genre et de son orientation sexuelle, de Cheryl Ananayo, une militante écologiste originaire des Philippines, assassinée alors qu’elle luttait contre une société minière, ou encore de Ruqia Hassan, une journaliste indépendante et bloggeuse syrienne, assassinée pour avoir critiqué l’Etat. Et de très nombreu-x-ses autres.
Avec cet hommage aux défenseur-e-s des droits humains, nous inscrivons tou-s-tes ces activistes dans notre mémoire collective et portons l’héritage de leurs luttes comme le flambeau qui éclaire les actions de nos mouvements féministes et en faveur des droits des femmes. Nous reconnaissons que la sécurité, la sûreté et le souci de soi doivent être des priorités dans l’ensemble de nos programmes politiques, et appelons ainsi tous les gouvernements et les organes internationaux à lutter contre la violence contre les féministes et les défenseur-e-s des droits humains.
This is Mariama Sonko, an inspiring small-scale rural farmer, eco-feminist and a woman human rights defender.
She lives in Niaguiss, a town in the southwest of Senegal. Growing up in a family and community of rural farmers, she witnessed the essential role of women in food production and seed preservation from a very early age, while also being immersed in the rhythms and working of the land. Mariama has been defending local agricultural knowledge and peasant practices since the 1990s. As a mother of five children, the food she grows herself is the main source of sustenance for her family.
She is currently the president of “Nous Sommes la Solution'' and is involved in promoting agroecological practices and family farming, encouraging food sovereignty, biodiversity and farmer seed preservation, and demanding equitable access to resources and land for women across West Africa.
Source: AWID’s Feminist Realities Festival Crear | Résister | Transform - Day 2/ 2ème jour/ 2º día
Juana fue una de las fundadoras y era actualmente integrante de la junta directiva de la Red de Mujeres Ixiles de Nebaj, una organización por los derechos de las mujeres indígenas que es parte de la Iniciativa Mesoamericana de Mujeres Defensoras de Derechos Humanos (IM-Defensoras).
También era partera y madre de siete hijxs. Había recibido amenazas de muerte que fueron denunciadas ante la Fiscalía. Juana es la tercera defensora de derechos humanos indígena asesinada en el área durante 2018. El Ombudsman de Guatemala informa que un total de 20 defensorxs de derechos humanos fueron asesinadxs este año en el país.
Juana Ramírez Santiago fue baleada de muerte por atacantes desconocidos mientras cruzaba un puente en Nebak, Quiché, Guatemala. Están en curso las investigaciones para identificar a los perpetradores.
AWID is committed to language justice and we regret that, at this point, having the WITM survey available in more languages is not feasible. However, if you need support with translations or want to fill the survey in any other language, please reach out to us at witm@awid.org.
Ces défenseuses ont fait campagne pour les droits fonciers et ont lutté pour les droits des femmes et des peuples autochtones. Elles se sont opposées aux industries extractives, ont écrit de la poésie et se sont battues pour que l'amour prévale. L'une d'entre elles nous a quitté il y a dix-neuf ans. Nous vous invitons à vous joindre à nous pour rendre hommage à ces défenseuses, à leur travail et à l’héritage qu’elles nous ont laissé. Faites circuler ces mèmes auprès de vos collègues et amis ainsi que dans vos réseaux et twittez en utilisant les hashtags #WHRDTribute et #16Jours.
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Ana était un ardente défenseure des droits des femmes et travaillait avec un large éventail de femmes au sein d’organisations de terrain ainsi que dans le secteur privé.
Elle croyait en la construction de ponts entre les secteurs. Ana était membre du Réseau national de promotion de la femme (RNPM) et participait activement à l'élaboration de nombreux programmes sociaux traitant de questions telles que la santé et les droits sexuels et reproductifs.
Sí, aún así deseamos saber de ustedes aunque no hayan recibido financiamiento en los tres, dos o cualquiera de los años comprendidos entre 2021 y 2023.
Cette année, notre hommage en ligne met à l’honneur 7 défenseuses des droits humains originaires de différents pays d'Asie du Sud et du Sud-Est. Ces défenseuses ont grandement contribué aux progrès accomplis dans le domaine des droits des peuples autochtones, des droits des femmes et du droit à l'éducation. Ces défenseuses étaient des avocates, des activistes des droits des femmes, des universitaires ou des responsables politiques. Nous vous invitons à vous joindre à nous pour commémorer la vie de ces femmes, leur travail et l’héritage qu’elles nous ont laissé. Faites circuler ces mèmes auprès de vos collègues et amis ainsi que dans vos réseaux et twittez en utilisant les hashtags #WHRDTribute et #16Jours.
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Écoutez cette histoire ici :
Just like women have learned to avoid dark streets for their safety, women journalists are forced to avoid reporting certain stories as a result of online harassment.
Harassment is not part of the job description and should be called out and challenged at every turn to ensure these important voices are not silenced.
This tribute to journalists was made on behalf of IFEX