
Claudia House Morcom

In September 2016, the 13th AWID international Forum brought together in Brazil over 1800 feminists and women’s rights advocates in a spirit of resistance and resilience.
This section highlights the gains, learnings and resources that came out of our rich conversations. We invite you to explore, share and comment!
One of the key takeaways from the 2016 Forum was the need to broaden and deepen our cross-movement work to address rising fascisms, fundamentalisms, corporate greed and climate change.
With this in mind, we have been working with multiple allies to grow these seeds of resistance:
And through our next strategic plan and Forum process, we are committed to keep developing ideas and deepen the learnings ignited at the 2016 Forum.
AWID Forums started in 1983, in Washington DC. Since then, the event has grown to become many things to many peoples: an iterative process of sharpening our analyses, vision and actions; a watershed moment that reinvigorates participants’ feminisms and energizes their organizing; and a political home for women human rights defenders to find sanctuary and solidarity.
One of the founding leaders of the cooperative was Lohana Berkins, an activist, defender and promoter of transgender identity. Lohana played a crucial role in the struggle for the rights of trans and travesti people.
This brought about, among many other things, the passing of the Gender Identity Law. It is one of the most progressive legislations in the world, guaranteeing fundamental rights to trans and travesti people. Now, people can change their names and genders only with an affidavit, and have access to comprehensive healthcare without judicial or medical intervention/approval (Outright International, 2012).
Cette section présente les principales ressources que l’AWID recommande afin que vous puissiez mener votre propre recherche WITM.
Dans cette section
Outils en ligne
Quand vous aurez rassemblé ces ressources, vous pourrez estimer les coûts de votre recherche à l’aide de notre Fiche de travail « Êtes-vous prêts-es ? »
« J’ai constaté la discrimination dans la rue, que ce soit par des taquineries ou des agressions verbales qui y ont lieu. Je me suis aussi faite plein d’ami·e·s et j’y ai rencontré plusieurs personnes. Il se peut que ce soit dangereux là-bas, mais je suis une survivante, et pour le moment, c’est là où je suis. » - Sainimili Naival
Elle a demandé aux responsables et acteurs politiques de fournir des politiques et des services adaptés au handicap, comme la construction de rampes dans les villes et les villages afin d'accroître leur accessibilité. Les barrières physiques n’étaient pas les seules qu’elle aspirait à modifier. Sur la base de sa propre expérience, elle savait que des changements plus difficiles devaient être menés dans les sphères économiques et sociales. Bon nombre des défis avec lesquels sont aux prises les personnes handicapées trouvent leurs racines dans les attitudes discriminantes et stigmatisantes.
Survivante et combattante, Sainimili a contribué à co-créer des réalités féministes qui renforcent l’inclusion et font évoluer les attitudes par rapport à l’égalité des personnes handicapées. Elle a été membre de la Spinal Injury Association of Fiji (SIA) ainsi que participé à la formation « Démarrez votre entreprise » de l’Organisation internationale du Travail à Suva via le projet « Pacific Enable » (le Pacifique rend possible) du Forum Asie-Pacifique sur le handicap. Elle a ainsi pu transformer ses idées en une entreprise qui lui était propre. Elle était commerçante sur l’étal de marché 7 de Suva, offrant des services de manucure, tout en gérant un stand au marché des femmes SIA pour y vendre de l’artisanat, des suls et des objets historiques. Sainimili planifiait d’élargir son commerce et de devenir une employeuse majeure de personnes handicapées.
Outre son activisme, elle était également médaillée de tennis de table et une récente championne.
Avec sa personnalité vive, Sainimili était unique. On savait toujours lorsqu’elle était dans la pièce car ses rires et ses histoires étaient la première chose qu’on pouvait remarquer. - Michelle Reddy
Sainmili est décédée en 2019.
Solicitamos estos datos para facilitar el análisis de las respuestas, para evitar duplicaciones y para contactar a su organización en caso de que no hayan podido completar el cuestionario o de que tengan dudas u otras preguntas. Puedes consultar más detalles acerca de cómo utilizamos la información personal que recolectamos a través de nuestro trabajo aquí.
LA EXCLUSIÓN, ESTIGMA Y ABUSO INSTITUCIONAL
que las personas trans y travesti siguen enfrentando diariamente
Les interviews génèrent des renseignements détaillés que vous aurez du mal à obtenir à travers un sondage. Le sondage est surtout axé sur les données quantifiables et les questions fermées,par contre les interviews permettent d’obtenir les opinions d’expert-e-s comme des activistes et des donateurs, tout en utilisant des questions ouvertes qui précisent le contexte entourant les données résultant du sondage.
Dans cette section
- Conseils d’ordre général
1. Avant de mener vos interviews
2. Pendant les interviews- Interviews spécialisées
1. Interviews auprès des donateurs
2. Interviews auprès des activistes et des organisations de droits des femmes- Résultats préliminaires
Envoyez aux personnes que vous allez interviewer une note de synthèse qui décrit les objectifs des interviews et de l’ensemble de votre recherche, en plus d’une liste de questions.
Ces personnes pourront ainsi préparer leurs réponses aux questions plus complexes et obtenir les renseignements qu’elles n’ont peut-être pas sous la main.
Ne fondez pas vos questions sur des hypothèses au sujet des connaissances de la personne interviewée.
Tentez plutôt de préciser ce qu’elle sait, ce qui produit également des informations
- NE DEMANDEZ PAS : « Compte tenu des tendances actuelles de financement en Suisse, est-ce que vous êtes au courant de certaines occasions de collaboration ? » Cette question présume que la personne interviewée connaît les tendances de financement et que sa compréhension de ces tendances est identique à la vôtre.
- DEMANDEZ : En premier lieu, « Quelle est votre compréhension des tendances de financement actuelles en Suisse ? », suivie de « Est-ce que vous êtes au courant de certaines occasions de collaboration ? » Ceci révèlera ce que la personne comprend, vous donnant encore plus d’informations que la première question.
Les interviews auprès des donateurs vous permettront d’approfondir vos relations avec eux, ce qui sera utile lorsque vous entreprendrez les activités de plaidoyer qui succèderont à votre recherche. Vous en tirerez également une connaissance plus poussée des processus de prises de décisions adoptés par les bailleurs de fonds.
Suggestions de thèmes à aborder lors des interviews avec les donateurs :
Les interviews auprès d’activistes et d’organisations de droits des femmes vous renseigneront sur leurs réalités sur le terrain. Ici encore, ces interviews vous permettront d’approfondir vos relations qui peuvent être intégrées aux plaidoyers, particulièrement en vue de favoriser la collaboration entre donateurs et activistes.
Suggestions de thèmes à aborder lors des interviews avec les activistes et les organisations de droits des femmes :
Pendant votre recherche WITM, nous vous recommandons de procéder à l’analyse des résultats préliminaires. La présentation de vos résultats préliminaires offre l’occasion de mener d’autres interviews et de recueillir des réactions sur votre processus de recherche et sur les résultats initiaux. Ces réactions peuvent être intégrées à votre recherche finale.
L’AWID organise des « rencontres WITM » pour partager les résultats préliminaires issus des données de sondage et des interviews. Ces rencontres permettent aux personnes qui y prennent part (activistes, organisations de droits des femmes et donateurs) de débattre et de discuter des résultats, de préciser le contexte, de rehausser le sentiment d’appropriation parmi les membres du mouvement et de fournir plus de commentaires en vue de la recherche finale.
Par exemple, l’AWID a profité du Pôle de mobilisation des ressources (RMH) pour les droits des femmes autochtones, dans le cadre du World Summit on Indigenous Philanthropy (Sommet mondial sur la philanthropie autochtone) pour lancer une présentation de ses résultats préliminaires.
Voir la présentation donnée lors du RMH (en anglais)
4. Recueillez et analysez vos données
• 1,5 - 3 mois
• 1 personne (ou plus) chargée de la recherche
• Liste d’organisations, de donateurs et d’activistes agissant à titre consultatif
• Questions d'interview que vous aurez préparées
• Note conceptuelle (Vous pouvez utiliser de cadre de référence que vous avez déjà préparé)
• Exemples d’interviews auprès des donateurs
• Exemples d’interviews auprès d’activistes et d’organisations de droits des femmes
4. Recueillez et analysez vos données
6. Menez une recherche documentaire
“But when was the master
ever seduced from power?
When was a system ever broken
by acceptance?
when will the BOSS hand you power with love?
At Jo’Burg, at Cancun or the U.N?
– Molara Ogundipe
Across the different continents and countries, Professor Ogundipe taught comparative literature, writing, gender, and English studies using literature as a vehicle for social transformation and re-thinking gender relations.
A feminist thinker, writer, editor, social critic, poet, and activist Molara Ogundipe succeeded in combining theoretical work with creativity and practical action. She is considered to be one of the leading critical voices on African feminism(s), gender studies and literary theory.
Molara famously coined the concept of “stiwanism’ from the acronym STIWA – Social Transformations in Africa Including Women recognizing the need to move “away from defining feminism and feminisms in relation to Euro-America or elsewhere, and from declaiming loyalties or disloyalties.”
In her seminal work ‘Re-creating Ourselves’ in 1994, Molara Ogundipe (published under Molara Ogundipe-Leslie) left behind an immense body of knowledge that decolonized feminist discourse and “re-centered African women in their full, complex narratives...guided by an exploration of economic, political and social liberation of African women and restoration of female agency across different cultures in Africa.”
In speaking about the challenges she faced as a young academic she said:
”When I began talking and writing feminism in the late sixties and seventies, I was seen as a good and admirable girl who had gone astray, a woman whose head has been spoilt by too much learning".
Molara Ogundipe stood out for her leadership in combining activism and academia; in 1977 she was among the founding members of AAWORD, the Association of Women in Research and Development. In 1982 she founded WIN (Women In Nigeria) to advocate for full “economic, social and political rights” for Nigerian women. She then went on to establish and direct the Foundation for International Education and Monitoring and spent many years on the editorial board of The Guardian.
Growing up with the Yoruba people, their traditions, culture, and language she once said :
“I think the celebration of life, of people who pass away after an achieved life is one of the beautiful aspects of Yoruba culture.”
Molara’s Yoruba ‘Oiki’ praise name was Ayike. She was born on 27 December 1940 and at the age of 78, Molara passed away on 18 June 2019 in Ijebu-Igbo, Ogun State, Nigeria.
Elle est ouverte jusqu’à la fin août 2024. Merci d’y répondre avant cette date butoir, afin que vos réponses soient incluses dans l’analyse.
Écoutez l'histoire ici :
We believe that the economy, the market, the financial system and the premises upon which they are built are critical areas of feminist struggle. Thus, our vision for a just economy goes beyond promoting women’s rights and empowerment in the market, to evaluating the role of gendered oppressions in shaping economic arrangements and transforming these to ensure gender and economic justice.
We are neither starting from zero, nor alone in this attempt to put forward feminist propositions for a just economy. Many of the propositions herein have been advanced or exist in practice within diverse communities challenging and resisting the mainstream market and growth-based economic systems.
It is also very important to note that there is growing awareness of the fact that micro solutions are not always the answer to macro problems, even if they represent important spaces for resistance and movement building and that there may be limitations to particular alternatives to address the injustices of the current capitalist system at a global scale.
However, feminist alternatives for a just economy are critical to create dents in the system and draw lessons for transformative systemic change. Here we cannot presume to offer a comprehensive nor a complete account on how to create a just feminist economic model, or even models. But we can, but rather draw from cross-movement dialogue with trade unions, environmental, rural and peasants movements, to articulate the propositions for the journey towards this vision.
The neoliberal model driving the global economy has repeatedly demonstrated its inability to address the root causes of poverty, inequalities, and exclusion. Neoliberalism, and has in fact contributed to the very creation and exacerbation of these injustices.
Characterized by globalisation, liberalization, privatisation, financialisation and conditional aid, mainstream development policies over the past 3 decades have wreaked havoc on livelihoods over the past 3 decades. These policies have also sustained a trajectory of deepening inequalities, gendered injustices, and environmental destruction that the world can no longer afford to endure.
While there are people those who assert that economic growth, facilitated by giving free reign to corporations and businesses, can sustain a tide that will (eventually) raise all boats.
However, the notion of development that has prevailed for the past decades, built for the most part upon the premise of limitless economic growth, is going through an ideological crisis.
The myth of economic growth as a panacea for our problems is being debunked.
Yamile Guerra fue una conocida abogada, líder comunitaria y activista política de la región colombiana de Santander.
Trabajó activamente para resolver las disputas entre comunidades locales y empresas promotoras, y abogó contra la apropiación ilegal de las tierras. Yamile ocupó varios cargos políticos, entre ellos la Secretaría General del Gobierno de Santander en Bogotá, y se presentó también a la Alcaldía de Bucaramanga. En los últimos años de su vida, Yamile se volvió cada vez más activa en las causas medioambientales contra los desarrollos urbanos, particularmente, en la defensa de los humedales biodiversos de Santurbán contra los desarrollos urbanos, una región que abastece de agua dulce a casi 2 millones de personas .
Según su familia y amigxs, Yamile recibía amenazas de muerte a diario y había pedido protección a las autoridades.
"Ella era muy consciente de este problema [litigio de tierras] y manifestó repetidamente que se sentía insegura". - Alixon Navarro Muñoz, periodista y amigo de la familia Guerra.
El 20 de julio de 2019, Yamile fue asesinada a tiros por dos hombres en Floridablanca, Santander. Acababa de terminar de discutir con ellos por una disputa de tierras. Un sospechoso fue arrestado más tarde por su asesinato y admitió haber recibido un pago por llevar a cabo su asesinato. Según varios informes, o Yamile fue la tercera integrante de su familia en ser asesinada a causa de las disputas por tierras. El padre de Yamile, Hernando Guerra, había sido asesinado también varios años antes.
El asesinato de Yamile forma parte de una ola de violencia y asesinatos sistemáticos contra cientos de activistas sociales y defensorxs de los derechos humanos en Colombia. Según el Instituto de Estudios para el Desarrollo y la Paz (INDEPAZ), en el momento de la muerte de Yamile, más de 700 líderes comunitarios y activistas de derechos humanos habían sido asesinadxs desde que el país firmó un acuerdo de paz en agosto de 2016. La mayoría de ellxs fueron asesinadxs por enfrentar el tráfico ilegal de drogas y las operaciones mineras. Las personas indígenas, afrocolombianas y las mujeres defensoras de derechos humanos son lxs activistas que corren mayor riesgo.
Menos de una semana después de la muerte de Yamile, miles de colombianxs marcharon por pueblos y ciudades sosteniendo fotos en blanco y negro de activistas que habían sido asesinadxs, en las pancartas se podía leer: "Sin líderes no puede haber paz" y "No más derramamientos de sangre".
Yamile Guerra tenía solo 42 años en el momento de su asesinato.
Опрос предназначен для групп, организаций и движений, работающих исключительно или главным образом по вопросам защиты прав женщин, ЛГБТКИ+, гендерной справедливости во всех контекстах, на всех уровнях и во всех регионах. Если одно из этих направлений является основным видом деятельности вашей группы, коллектива, сети или любого другого типа организации – независимо от того, зарегистрирована она или нет, недавно создана или существует уже давно, мы приглашаем вас принять участие в этом опросе.
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Georgia's minimum wage is in the bottom percent of all countries in the world. This reality affects mostly women.
The country not only has a significant gender pay gap, but women also work longer, more unregulated hours before going home to take care of housework and their families. There is no maternity pay, no wage increase for overtime work, no unemployment insurance, and no pay for sick leave or other social protection. Pressured by Western organizations, Georgian oligarchic political parties have been implementing reforms that are destroying the welfare state, increasing austerity measures, and worsening worker exploitation - all for the benefits of big corporations which are applauding the country for its “ease of doing business”. Mass media, coerced by private and corporate interests, either remain silent or biased on these issues. Union organizing remains one of the very few options to fight for basic human rights, and for holding the State and corporations accountable in the face of daily, pervasive violations and persecutions, especially against women.
Sources: Minimum-Wage and Interview with Sopo Japaridze to OpenDemocracy