Women human rights defenders (WHRDs) worldwide defend their lands, livelihoods and communities from extractive industries and corporate power. They stand against powerful economic and political interests driving land theft, displacement of communities, loss of livelihoods, and environmental degradation.
Why resist extractive industries?
Extractivism is an economic and political model of development that commodifies nature and prioritizes profit over human rights and the environment. Rooted in colonial history, it reinforces social and economic inequalities locally and globally. Often, Black, rural and Indigenous women are the most affected by extractivism, and are largely excluded from decision-making. Defying these patriarchal and neo-colonial forces, women rise in defense of rights, lands, people and nature.
Critical risks and gender-specific violence
WHRDs confronting extractive industries experience a range of risks, threats and violations, including criminalization, stigmatization, violence and intimidation. Their stories reveal a strong aspect of gendered and sexualized violence. Perpetrators include state and local authorities, corporations, police, military, paramilitary and private security forces, and at times their own communities.
Acting together
AWID and the Women Human Rights Defenders International Coalition (WHRD-IC) are pleased to announce “Women Human Rights Defenders Confronting Extractivism and Corporate Power”; a cross-regional research project documenting the lived experiences of WHRDs from Asia, Africa and Latin America.
We encourage activists, members of social movements, organized civil society, donors and policy makers to read and use these products for advocacy, education and inspiration.
AWID acknowledges with gratitude the invaluable input of every Woman Human Rights Defender who participated in this project. This project was made possible thanks to your willingness to generously and openly share your experiences and learnings. Your courage, creativity and resilience is an inspiration for us all. Thank you!
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Celluloid Ishtar | Small Snippet
Celluloid Ishtar
When I was 6, I learned that my grandfather owned a movie theater. My mother recounted to me how it had opened in the early 1960s, when she was also about 6 years old. She remembered that they screened The Sound of Music on the first night...
Laura fue una abogada y líder activista que luchó valientemente por la descriminalización del trabajo sexual en Irlanda.
Es recordada como «una combatiente por la libertad de lxs trabajadorxs sexuales, una feminista, una madre para su hija y una amiga necesaria para mucha gente».
Laura promovió el reconocimiento de las personas de la industria del sexo como trabajadorxs merecedorxs de derechos. Presentó demandas por la descriminalización, e inició una revisión judicial en la Corte Suprema de Belfast respecto de las provisiones que criminalizan la compra de servicios sexuales. Declaró que su intención era llevar el caso a la Corte Europea de Derechos Humanos.
Olajumoke « Jay » Abdullahi et Kym Oliver sont des féministes révolutionnaires à plus d'un titre.
Les deux amies se font appeler les Triple Cripples (invalides en triple) parce qu'elles subissent trois niveaux de discrimination en tant que femmes noires handicapées. Jay, aujourd'hui âgée de 31 ans, a eu la polio bébé et utilise une attelle de jambe et des béquilles pour se soutenir, tandis que Kym, âgée de 25 ans, a la sclérose en plaques et utilise un fauteuil roulant pour se déplacer. Le nom de leur duo découle d'une tentative de redéfinir le mot « invalide », qui, selon elles, « a été affligé aux personnes handicapées comme une insulte, une façon certaine de nous rappeler que nous étions « défectueuses » et allions toujours être moins que. »
En tant que femmes noires, Kym et Jay ont été victimes du stéréotype racial mondialisé qui hypersexualise les peaux foncées. Dans leur livre intitulé Heart of The Race: Black Women's Lives in Britain, Bryan, Dadzie et Scafe décrivent comment les femmes noires ont été historiquement décrites comme un « risque élevé de promiscuité » par les médecins en raison de leur libido et de leur fertilité. Jay explique que « les gens pensent que je suis toujours prête à tout faire, n'importe où n'importe quand, parce que je suis une femme noire. » Alors que les deux femmes ont été soumises à une fétichisation intense en raison de leur couleur de peau, leurs handicaps ont semé la confusion totale dans l'esprit de plusieurs. Kym décrit ainsi son expérience de femme à courbes : « J'ai le type de corps que les gens veulent malmener et ils ont l'impression que je devrais être capable de supporter cela, mais parallèlement, il y a cette idée que je ne devrais pas avoir de critères à cause de mon handicap. »
Sur les sites de rencontre en ligne, on a demandé à Jay si elle pouvait effectuer certaines positions sexuelles car des partenaires potentiel.le.s « ont décidé qu'ielles voulaient être avec vous de cette façon et savoir si votre physicalité pouvait permettre cela. » Lors d'un contrôle, Kym s'est même fait demander des excuses par un professionnel de la santé, remplissant un formulaire, pour lui avoir demandé combien de partenaires sexuel.le.s elle avait eu.e.s, avec une nuance sous-entendant « je sais que (ces questions) ne s'appliquent pas à vous, mais nous devons suivre le processus d'interrogation normé. »
L'idée fausse selon laquelle le manque d'autonomie physique équivaut à un manque de désir sexuel est omniprésente.
À l'école, Jay a été exclue des cours d'éducation sexuelle en raison de son incapacité présumée à avoir des relations sexuelles. Elle explique que même les organisations bien intentionnées qui militent pour l'accès aux services de santé sexuelle et reproductive ne tiennent souvent pas compte des besoins spécifiques des femmes handicapées. Par exemple, les pilules contraceptives sont souvent saluées comme une méthode efficace de contrôle des naissances, sans aucune mention qu'elles peuvent accentuer les risques de caillots sanguins pour les femmes en fauteuil roulant.
Basées à Londres, les Triples Cripples attendaient avec impatience leur participation aux côtés de l'équipe Décoloniser la Contraception à SexFest2020, un festival d'une journée créé pour les personnes racisées, dédié à la santé et au bien-être sexuels. Malheureusement, l'évènement a été annulé en raison de la pandémie de la COVID-19. Néanmoins, sans se décourager, Jay et Kym se sont tournées vers leurs plateformes de plaidoyer en ligne pour contrer la façon dont la sexualité est vue d'un point de vue strictement hétéronormatif et pour contester l'idée que la féminité est définie par la capacité de procréer. Le duo a lancé une chaîne YouTube et un podcast, également appelé The Triple Cripples, pour promouvoir la représentation des personnes subissant des discriminations multiples en tant qu'êtres humains holistiques. Leurs projets futurs comprennent un documentaire artistique et une exposition photographique consacrée à la lutte contre la discrimination et à l'amplification des voix des personnes handicapées racisées.
L'expérience de la discrimination fondée sur la race, le sexe et le handicap est plus que additive.
Bien que les femmes handicapées raciées partagent des expériences de capacitisme avec d'autres personnes handicapées, des expériences de sexisme avec d'autres femmes et des expériences de racisme avec d'autres personnes racisées, ces expériences interagissent et ne peuvent être séparées : les femmes handicapées racisées subissent une discrimination unique en tant que femmes handicapées racisées.
Alors que les Triple Cripples reconnaissent que les approches toutes faites et superficielles à la diversité ne se transformeront pas comme par magie en espaces inclusifs du jour au lendemain, elles restent confiantes que leurs petits coups de hache finiront par faire tomber les grands chênes que les pratiques discriminatoires représentent pour elles.
La joie de s’accepter soi-même et de grandir dans cette lumière.
« Asignado Nderentendei Al Nacer » (“Assigné Nderentendei à la naissance”)
de Bastión Moral, Asunción, Paraguay (@basti0nmoral),
La féminité obligatoire est un dispositif de violence colonial hétéro-cis-patriarcal envers les corps assignés féminins à la naissance. Les corps trans continuent de résister malgré l’invisibilisation et le silencement historique. Je ne suis pas une
Jusqu’à son décès, à la suite d’une lutte brève mais agressive contre le cancer, Deborah était la directrice de la communication et de la mobilisation au Women’s funding network (le réseau de financement des femmes), WFN.
Entre 2008 et 2017, elle avait également travaillé auprès du Fonds mondial pour les femmes. Deborah était extrêmement appréciée et respectée par le conseil d'administration, l’équipe et les partenaires du Fonds mondial pour les femmes.
Kavita Ramdas, ex-PDG a déclaré, à juste titre, que Deborah était « la combinaison unique d’un être mêlant chaleur, générosité, intelligence et style, avec un engagement passionné pour faire fusionner la beauté et la justice. Elle avait compris le pouvoir des histoires. Le pouvoir de la voix des femmes. Le pouvoir de l'expérience vécue. Le pouvoir de renaître de ses cendres et de dire aux autres que c'était possible. Et nous continuons à nous relever. »
Musimbi Kanyoro, l'actuelle PDG du Fonds mondial pour les femmes, a ajouté: « Nous avons perdu une sœur et sa vie illumine des valeurs qui nous unissent et nous inspirent tou-te-s. Alors que nous sommes tou-te-s réuni-e-s pour pleurer le décès de Deborah, souvenons-nous et célébrons sa vie remarquable, audacieuse et passionnée. »
Cartas de amor a los movimientos feministas: una carta de Inna y Faye
Queridos movimientos feministas,
El amor es lo que mantiene encendido nuestro fuego feminista. Junto con el cuidado de nuestras comunidades, la ira y la rabia ante la injusticia, y el coraje para actuar.
En septiembre de 2022, asumimos con gran entusiasmo nuestros roles de liderazgo en AWID, como Co-Directoras Ejecutivas. Sentimos el calor y el abrazo de la sororidad feminista cuando ustedes nos recibieron.
Reflexionando sobre nuestras memorias más preciadas como feministas, recordamos momentos poderosos de unión en protestas callejeras, análisis agudos y voces valientes que sacuden el status quo en las reuniones. Mantuvimos esas conversaciones íntimas hasta bien entrada la noche, nos reímos durante horas y bailamos juntes en fiestas.
Es necesario alimentar los fuegos feministas, especialmente en tiempos difíciles cuando no faltan los desafíos externos, desde la crisis climática y el ascenso de las fuerzas de derecha, hasta las economías explotadoras y los patrones persistentes de opresión dentro de nuestros propios movimientos sociales. Son estos fuegos, que arden por todas partes, los que iluminan nuestros caminos y nos mantienen calientes, pero no podemos ignorar los efectos agotadores de la violencia política y la represión dirigida contra muchas de nuestras luchas, movimientos y comunidades
Entendemos el deseo de cambiar el mundo como un ingrediente esencial de la organización feminista. Nunca podemos olvidar que somos quienes hemos estado esperando, en la construcción de alternativas y la configuración de nuestro futuro. Sin embargo, la vibrante energía feminista no puede darse por sentada y debe salvaguardarse de muchas maneras. En este sentido, seguiremos vigilantes. Mejor y más equitativo acceso a la atención y el bienestar, a la sanación y al placer, no son solo instrumentales para prevenir el agotamiento y sostener nuestros movimientos, aunque esa es una función importante; ante todo, son la forma en que esperamos vivir nuestras vidas.
Estamos encantades de arremangarnos y trabajar con ustedes. El nuevo plan estratégico de AWID "Fierce Feminisms: Together We Rise" (“Feminismos Osados: Juntos Nos Levantamos”) refleja nuestra convicción de que ahora es el momento de ser desenfadades y sin temores en nuestras agendas mientras hacemos un esfuerzo por conectar a través de los movimientos y llegar a conocer verdaderamente las realidades individuales, para que podamos ponernos en pie juntes, porque, para nosotres, este es el único camino.
¡Nuestros planes incluyen el tan esperado Foro de AWID! Esperamos conocerles a todes en persona y en línea en 2024. Escuchamos de ustedes la necesidad de conectarse y recargar energías, descansar y sanar, ser desafiados e inspirados, compartir buena comida y reír y bailar juntes. Pocas cosas en este mundo son tan poderosas y transformadoras, como la unión de feministas de todas partes del mundo, y realmente esperamos con ansias por este momento, porque sabemos la magia que podemos crear juntes.
Nuestra conexión con la membresía ha cobrado vida propia a través de la Comunidad AWID (nuestra plataforma en línea), y nuestro enfoque en construir conexión y solidaridad resuena con muches de ustedes. Únase y conéctese con nosotres y otras personas en los movimientos feministas de todo el mundo. Conocemos la importancia de la conexión en un tiempo y espacio donde las reglas no están hechas para nosotres, y mantenemos cerca nuestra comunidad, donde cada uno de nosotres importa.
Junto con nuestres fantásticas colegas de AWID, prometemos hacer todo lo posible para apoyar los movimientos feministas, como es la misión y el propósito de AWID. Por favor, observen y exijan lo mejor de nosotres.
Durante los últimos 40 años, ustedes, los movimientos feministas, han dado forma a la historia de AWID y nos han impulsado a ser más valientes, creatives y radicales. 40 es una edad fabulosa, y esperamos cumplir otros 40 años más junto a ustedes. Esperamos con ansias las asociaciones, los llamados a la justicia, la colaboración, la influencia política y el poder feminista genial que todes traen para navegar la resistencia cada vez mayor a la justicia de género, racial y ambiental. Tenemos mucho que aprender de ustedes y unes de otres, mientras construimos colectivamente los mundos en los que creemos.
Cindy Clark y Hakima Abbas, gracias por abrirnos el camino y prepararnos para llenar sus enormes zapatos. Siempre apreciamos a todes sobre cuyos hombros nos apoyamos y continuamos de pie. Nos entendemos como parte de un panorama de movimiento más amplio, historias feministas, presentes y futuros valientes.
A la Junta Directiva de AWID, les agradecemos el apoyo y el amor feminista que nos muestran, y su compromiso con el liderazgo del Sur Global y el modelo de co-liderazgo. Enviamos nuestro amor y respeto a todes y cada une de les compañeres de AWID, nos sentimos honradas de trabajar con un equipo feminista tan excepcional de profesionales dedicadas.
Esta es la primera vez que escribimos una carta de amor juntes, ¿cómo podríamos concluir sin expresar amor, cuidado y respeto mutuo? ¡Es una relación bastante intensa en la que hemos entrado! Ambas aportamos nuestras diferentes y diversas perspectivas y habilidades a nuestro trabajo y, de manera individual, también aportamos nuestras experiencias vividas y nuestras “yo” auténticas.
Junto con todes ustedes, somos una historia en desarrollo, una parte de un bello tejido, y a menudo hermosamente desafiante, un tapiz que continuará en el futuro. Nos divertimos al comenzar este viaje juntes y con ustedes, y tenemos muchas esperanzas de mantener vivo el romance.
En solidaridad, con amor y cuidado.
Inna y Faye
¡Reserva la fecha!
21 de febrero de 2023, Fiesta Feminista #5, sobre Políticas Feministas con Faye e Inna.
Is the virtual submission process different from the in-person?
It is exactly the same process and same deadline. Please use the same form to submit your activity, whether it is in-person, online, or both (hybrid).
Disintegration | Content Snippet FR
Mercredi une note arrive
avec une adresse au dos.
17 h, ce soir.
L’écriture sur l’invitation—
frêle et brusque—
je l’ai vue cinq fois en cinq ans.
Mon corps se réveille,
fébrile.
Je dois d’abord me baiser moi-même.
La marée est haute ce soir et
je
jouis.
Je veux tout ralentir,
goûter le temps et l’espace, les graver
en mémoire.
*
Je ne suis jamais allée dans cette partie de la ville auparavant.
Les endroits inconnus m’excitent,
la façon dont les membres et les veines et les os
résistent à la pourriture,
leur sort incertain.
Arrivée à la porte, je réfléchis à deux fois.
Le couloir est tout noir
et ça me fait faire une pause.
De l’autre côté,
un portail d’odeurs et de couleurs
s’ouvre comme une malédiction,
dans un après-midi ensoleillé.
La brise
fait danser mes cheveux,
pique leur curiosité,
les obligent à se déplacer.
J’entends le fauteuil roulant vrombir,
façonnant les ombres.
Puis je les vois :
un visage de lynx
et un corps comme le mien
et je me retrouve à désirer les deux
de nouveau.
La créature me fait signe d’approcher.
Ses gestes écrivent une phrase;
tandis que je m’avance,
je note ses détails :
flétrir, chair, bonheur
À sa commande, la vigne recouvre le couloir
étreignant des pierres chaudes,
serpentant le long du mur.
Cela devient un verbe,
« escalader »,
et je suis réorientée quand leurs griffes pointent
vers le lit de vigne au centre.
J’entends les roues derrière moi,
puis ce son.
Il résonne
comme aucun autre.
Ses longues ailes noires
montent vers le plafond
puis iel se précipite vers l’avant.
La vision féline scrute chaque détail,
chaque changement,
chaque désir.
Le désir peut-il liquéfier vos muscles?
Peut-il agir plus doux que le
plus puissant des tranquillisants?
Un lynx coud le monde
à travers nos différences,
tissant de la dentelle autour de mes genoux.
Le désir peut-il écraser la distance du monde, comprimant les secondes?
Iel se rapproche encore,
oeil de lynx rencontrant oeil humain,
reniflant l’air,
transformant le corps en
urgence.
Iel a battu des ailes.
Remuées,
les vignes s’emmêlent autour de ma taille/de mes pertes.
Sa langue amincit le temps,
terrains mouvants,
apaise, avec sa magie,
ce qui remue dessous.
Sue was an artist, activist and teacher born in 1936 in Maryland, USA.
Sue created art for women, about women. As a lesbian feminist, and for a time, a separatist, she was committed to creating women-only spaces. In 1976 she purchased land that is still held by women who visit to make art. Sue took a fierce stand on the protection of women and girls.
With her groundbreaking futuristic, classical and anthropological approach, she filled any room she entered with intellect, authentic eccentricity, unforgiving wit, and humor. Her ideas about consciousness and creativity continue to inspire many people.
Je n'ai jamais su que j'avais une famille proche qui m'aime et qui veut que je m'épanouisse, Ma mère a toujours été là pour moi, mais je n'aurais jamais imaginé que j'aurais des milliers de familles qui ne sont pas liées à moi par le sang.
J'ai découvert que les familles ne sont pas seulement des personnes liées par le sang, mais des personnes qui vous aiment inconditionnellement, sans se soucier de votre orientation sexuelle, de votre état de santé, de votre statut social ou de votre race.
Je pense aux moments précieux où j'ai écouté toutes mes sœurs du monde entier qui sont des féministes fortes, des personnes que je n'ai pas rencontré.e.s physiquement, mais qui me soutiennent, m'enseignent, se battent pour moi : je suis à court de mots, les mots ne peuvent pas exprimer à quel point je vous aime, vous les mentor.esse.s et les autres féministes, vous êtes une mère, une sœur, une amie pour des millions de filles.
Vous êtes incroyables, vous vous êtes battu.e.s pour des personnes que vous ne connaissez pas - et c'est ce qui vous rend si spéciales.aux.
Cela me fait plaisir de l'exprimer par écrit.
Je vous aime tou.te.s et je continuerai à vous aimer. Je n'ai vu aucun.e d'entre vous physiquement, mais il me semble que nous nous connaissons depuis des décennies.
Nous sommes féministes et nous sommes fières d'être des femmes.
Nous continuerons à faire savoir au monde que notre courage est notre couronne.
Une lettre d'amour de FAITH ONUH, une jeune féministe du Nigeria.
En síntesis, ¡sí! En este momento AWID está trabajando con un Comité de Accesibilidad, para garantizar que el Foro sea lo más accesible posible. También estamos realizando una auditoría de accesibilidad en la sede del Foro, los hoteles circundantes y el transporte. Antes de que se abra el proceso de inscripción incluiremos en esta sección información detallada sobre la accesibilidad del Foro de AWID. Mientras tanto, si tienes alguna pregunta por favor contáctanos.
Embodying Trauma-Informed Pleasure | Small Snippet ES
Encarnar un placer consciente del trauma
El trauma no es el evento mismo; es cómo responden nuestros cuerpos a los eventos que sentimos como peligrosos. A menudo queda atravesado en el cuerpo, hasta que lo abordamos. No se puede convencer a nuestro cuerpo de que no responda, simplemente lo hace.
Ottilie fue una activista feminista, educadora y política de Namibia.
Fue una de las fundadoras de la Organización Popular del Sudoeste Africano (SWAPO), del Club Yu Chi Chan (un grupo armado revolucionario) y del Frente Nacional de Liberación del Sudoeste Africano (SWANLIF). También fue una de las fundadoras de la Asociación de Mujeres de Namibia y del Proyecto Niñas. A lo largo de su vida, Ottilie defendió el derecho a discutir, a pensar, a disputar y a exigir. Movilizó a las mujeres, organizó a estudiantes y docentes y criticó a otrxs camaradas por su elitismo y su corrupción.
Ottilie trabajó intensamente para desmantelar el patriarcado y para crear una democracia participativa concreta, feminista, transformadora y liberadora.
Benoîte fue una periodista, escritora y activista feminista francesa.
Benoîte publicó más de 20 novelas y numerosos ensayos sobre feminismo.
En 1975 se publicó su primer libro, Ainsi Soit-Elle (que podría traducirse «Como ella es»). En él analizaba la historia de los derechos de las mujeres, así como la misoginia y la violencia contra las mujeres.
En su último libro, Ainsi Soit Olympe de Gouges, analizaba los derechos de las mujeres durante la Revolución Francesa, centrándose en la pionera feminista francesa. Olympe de Gouges fue guillotinada en 1793 por desafiar la autoridad masculina; dos años antes había publicado una declaración sobre los derechos de las mujeres («Déclaration Des droits de la Femme et de la Citoyenne»).
Coming Out at the Highest Point in My Life: The Black Feminisms Forum
Many participants experience the AWID Forums as a unique space of freedom where they are embraced and celebrated as they are. In a world where even the most privileged feminists often find themselves not fully fitting in, for those whose identities are criminalized or otherwise condemned in their everyday contexts this experience of freedom and celebration can be deeply transformative (and restorative). The story of how OluTimehin Kukoyi – a first time participant – experienced the Black Feminist Forum (BFF) and the AWID Forum in Bahia (2016) powerfully illustrates this.