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Analyses Spéciales

L´AWID est une organisation féministe mondiale qui consacre ses efforts à la justice de genre, au développement durable et aux droits humains des femmes

La mémoire comme forme de résistance : un hommage

L’hommage se présente sous forme d’une exposition de portraits d’activistes du monde entier qui ne sont plus parmi nous qui ont lutté pour les droits des femmes et la justice sociale. 


En 2020, nous adoptons une démarche légèrement différente 

Cette année, tout en continuant à convoquer la mémoire de celleux qui ne sont plus parmi nous, nous souhaitons célébrer leur héritage et souligner les manières par lesquelles leur travail continue à avoir un impact sur nos réalités vécues aujourd’hui.

49 nouveaux portraits de féministes et de défenseur·e·s viennent compléter la gallerie. Bien que de nombreuses des personnes que nous honorons dans cet hommage sont décédé·e·s du fait de leur âge ou de la maladie, beaucoup trop d’entre iels ont été tué·e·s à cause de leur travail et de qui iels étaient.

Les histoires des activistes à l'honneur dans cet Hommage font vivre leur héritage et continuent d'inspirer le travail et l’action de nos mouvements.

Visiter notre exposition virtuelle

Les portraits de l'édition 2020 ont été illustrés par Louisa Bertman, artiste et animatrice qui a reçu plusieurs prix.

L’AWID tient à remercier nos membres, les familles, les organisations et les partenaires qui ont contribué à cette commémoration. Nous nous engageons auprès d’elleux à poursuivre le travail remarquable de ces féministes et défenseur·e·s et nous ne ménagerons aucun effort pour que justice soit faite dans les cas qui demeurent impunis.

« Ils ont essayé de nous enterrer. Ils ne savaient pas que nous étions des graines » - Proverbe mexicain

L'Hommage a été inauguré en 2012

Le premier hommage aux défenseur-e-s des droits humains a pris la forme d’une exposition de portraits et de biographies de féministes et d’activistes disparu·e·s lors du 12e Forum international de l’AWID en Turquie. Il se présente maintenant comme une gallerie en ligne, mise à jour chaque année.

Depuis, 467 féministes et défenseur-e-s des droits humains ont été mis·es à l'honneur.

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Contenu lié

Reason to join 4

Piensa en grande. Gracias a nuestro alcance internacional, podemos combinar el trabajo analítico con herramientas políticas y prácticas para la incidencia y la transformación, con el objeto de promover la causa de los movimientos feministas en todos los ámbitos.

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Mereani Naisua Senibici

Mereani Naisua Senibici, también llamada "Sua", fue, durante mucho tiempo,  integrante del movimiento de la Asociación Cristiana de Mujeres Jóvenes de Fiji (YWCA, por sus siglas en inglés).

Trabajó con diversos grupos de mujeres en entornos multirraciales, rurales y urbanos y se comprometió a apoyar y promover los derechos de las mujeres y las jóvenes.

En el YWCA de Lautoka, Sua trabajó con mujeres de ascendencia india, y se convirtió en  una figura destacada en el desarrollo del deporte y de la participación de atletas mujeres y personas trans en Lautoka.

"Sua es muy querida por lxs integrantes del YWCA de Fiji, a causa de su dedicación y apoyo persistente a todo lo que la organización se ha esforzado por hacer". - Tupou Vere

Mereani formaba parte de House of Sarah [La Casa de Sarah] (HoS, por sus siglas en inglés ), una iniciativa de la Asociación de Mujeres Anglicanas (AAW), lanzada en 2009, que tenía por objetivos tanto sensibilizar sobre los problemas relacionados con la violencia de género, como brindar apoyo a las mujeres que sufren violencia. Mereani empezó como una voluntaria comprometida y ofreció apoyo a las mujeres de todo el Pacífico.

Mereani falleció en 2019.

"Una persona  con don de gente y  una trabajadora todoterreno en el empoderamiento de las mujeres y construcción de movimientos a nivel comunitario. Descansa en paz, Sua". - Tupou Vere

Snippet FEA Criminalization of sex workers (FR)

La plupart des États membres de l'Union européenne ont des lois et des pratiques qui pénalisent ou contrôlent de facon inacceptable le travail des travailleur·euses du sexe. La criminalisation des travailleur·euses du sexe et/ou de leurs client·e·s ne fait que contribuer à accroître la vulnérabilité des travailleur·euses du sexe, qui sont déjà confronté·es quotidiennement à la stigmatisation, à la discrimination et à l'exclusion de l'État et de la société, en particulier les femmes, les personnes trans, les migrant·e·s et/ou les travailleur·euses racialisés. En Espagne par exemple, le gouvernement essaie actuellement de faire passer une Loi pour l'Abolition de la Prostitution, ce qui entraînera plus de marginalisation et de violence. Venez entendre les histoires de travailleuses du sexe et d'organisatrices syndicales qui luttent pour décriminaliser le travail du sexe et promouvoir les droits et conditions de travail décentes pour les travailleur·euses du sexe.

Our values - Human Rights

Droits humains

nous croyons en une application complète du principe des droits, y compris ceux établis dans les lois internationales, et affirmons la conviction que tous les droits humains sont indissociables, interdépendants et indivisibles. Nous nous engageons à œuvrer pour l'éradication de toutes les discriminations fondées sur le genre, la sexualité, la religion, l'âge, les capacités, l'ethnicité, la race, la nationalité, la classe sociale ou d'autres facteurs.

Posso compartilhar o inquérito com outras pessoas?

Claro que sim! Encorajamo-lo a compartilhar a ligação do nosso inquérito com as suas redes. Quanto mais perspetivas diversas recolhermos, melhor será a nossa compreensão do cenário financeiro para a organização feminista.

Sylvia Robinson

« La vie... c’est vivre dans la joie, se lever avec un but, sentir son énergie créative, répondre à son appel. » – Sylvia Robinson

Sylvia Robinson, infatigable leader et organisatrice communautaire, fut la fondatrice et directrice générale de l’Emergence Community Arts Collective (ECAC) à Washington, D.C.

Cet espace de performances créatrices foisonnantes rassemblait des initiatives d’éducation, d’engagement citoyen, d’arts, de services sociaux et spirituels et de pratiques de développement durable. Sylvia considérait cet endroit comme une maison où « il existe un équilibre et une synergie avec les activités dont les gens ont besoin pour entretenir la vie ».

Elle comptait également parmi les membres fondateur·trice·s du Georgia Avenue Community Development Taskforce, dans le nord-ouest de la capitale, un groupe de quartier actif dans le domaine de la justice sociale et de l’organisation qui veillait à ce que la communauté ait son mot à dire dans le redéveloppement et l’embourgeoisement du secteur.

« Nous demandons des logements abordables. Nous demandons que les petits commerces qui sont ici depuis longtemps ne soient pas balayés par de nouvelles enseignes. Nous demandons des espaces verts et des lieux où les gens peuvent se rencontrer. Nous demandons à ce que le paysage urbain soit amélioré, avec des rues en meilleur état et des éclairages publics. » – Sylvia Robinson, à propos du travail de la Taskforce

Avant de devenir organisatrice, et après avoir obtenu son diplôme en informatique, Sylvia avait travaillé dans le domaine des systèmes de contrôle du trafic aérien pendant plus d’une décennie. Elle s’est ensuite orientée vers le conseil relatif à la consommation d’alcool et de drogue, s’impliquant davantage dans le travail communautaire.

« Cette implication dans la communauté, c’était ma vocation. » – Sylvia Robinson

Née à Washington D.C. le 14 août 1961, Sylvia est décédée le 18 septembre 2017 après avoir lutté contre le cancer.

« L’esprit et l’héritage de Sylvia continueront d’inspirer cette communauté pour de nombreuses années. » – ECAC

Snippet FEA Union Otras Photo 4 (EN)

Photo of a group of people at night demonstrating.

Membership why page - Angelina Mootoo quote

"Joining AWID, I hope I can help in the mobilization of the feminist movement. Not just for the privileged women, but for ALL women and feminist activists."

- Angelina Mootoo, Intersectional and Caribbean Feminist, Guyana/USA

Membership why page - Loyiso Lindani

Tengo la convicción de que las mujeres empoderadas dotan de empoderamiento a otras mujeres, y es por ello que la he pasado tan bien como afiliada de AWID. Todo lo que sé y lo que entiendo de feminismo e interseccionalidad se ha ampliado gracias a los contactos que tuve como parte del Equipo de la Calle de la Comunidad AWID. Espero que más mujeres se sumen y compartan temas e ideas que ayuden a otras mujeres. - Loyiso Lindani, Sudáfrica.

Sarah Maldoror

“I’m no adherent to the concept of the ‘Third World’. I make films so that people - no matter what race or color they are - can understand them. For me there are only exploiters and the exploited, that’s all. To make a film means to take a position.” - Sarah Maldoror 

Sarah Maldoror, a French filmmaker of West Indies descent, was a pioneer of Pan-African cinema. At the core of her work, she placed political concerns along with her longstanding involvement in decolonization movements.

Her groundbreaking film and “revolutionary picture” Sambizanga (1972) follows Angolan militants’ anti-colonial liberation struggle, as well as captures a woman’s perspective in a historical moment she finds herself in. 

“For many African filmmakers, cinema is a revolutionary tool, a political education to raise consciousness. It is inscribed in the evolution of a Third Cinema striving to decolonize thought and advocate radical changes in society.” - Sarah Maldoror

Throughout her career, Sarah - together with a number of African and Caribbean artists - co-founded (1956) the first Black theatre troupe in France. She made around 40 films, comprising important documentaries that amplify the lives and work of black artists, including her friend and poet Aimé Césaire who wrote to her: 

“To Sarah Maldo
who, a camera in hand,
fights oppression, alienation
and flies in the face
of human bullshit.”

Sarah was also committed to giving African women more ownership of the filmmaking process. In an interview, she pointed out: 

"African women must be everywhere. They must be in the images, behind the camera, in the editing room and involved in every stage of the making of a film. They must be the ones to talk about their problems." 

Sarah left an incredibly powerful legacy to be carried forward. 

Born 19 July 1929, Sarah passed away on 13 April 2020 from complications of the coronavirus.


Watch Sambizanga and read a film review in a 1973 New York Times article
 

Snippet FEA Principles of Work (ES)

Principios

DE TRABAJO

Questions (Forum page)

¿Preguntas?

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Encuentra las respuestas

Annual Report 2012

Our 2012 Annual Report provides key highlights of our work during the year to boldly, creatively and effectively contribute to the advancement of women’s rights and gender equality worldwide.

Enjoy viewing videos, photos, and stories about our contributions.

Visit our 2012 Annual Report site

 

Snippet - Blog post Quote_EN

"We believe that this is the time for us to continue to organize from a place of solidarity, hope and radical imaginations."

- Beijing+30 & CSW: Feminist meaning-making at a time of polycrisis

Read here

María Digna Montero

María Digna Montero fue una garífuna (afrodescendiente e indígena) defensora de la tierra e integrante de la Organización Fraternal Negra Hondureña (OFRANEH), una organización de base que trabaja para proteger a las comunidades garífunas, sus derechos ancestrales, su cultura, sus recursos y su territorio.

María también enseñaba en la escuela local, e integraba el grupo de trabajo de Educación Bilingüe Intercultural de OFRANEH.

El 12 de octubre (Día de la Resistencia Indígena) de 2019, sujetos desconocidos le dispararon a María varias veces en el patio de su casa.

Fue una de las seis defensoras garífunas asesinadas entre septiembre y octubre de 2019 y, según OFRANEH, no hubo ninguna investigación de estos crímenes por parte de las autoridades. En un comunicado oficial, la organización también subrayó la conexión entre la violencia contra líderes garífunas y el incremento de las industrias extractivas que explotan los recursos naturales en sus comunidades, y definieron esta violencia como «parte de una estrategia de intimidación y de expulsión sistemática por parte del Estado de Honduras.»

«El recrudecimiento de la tensión y de los riesgos crecientes para la seguridad y derechos humanos de las lideresas en las comunidades y territorios ancestrales es producto del despojo, desplazamiento y criminalización hacia las comunidades, y de los mega proyectos extractivos que impulsa el Estado junto con las corporaciones nacionales e internacionales.» - Pronunciamiento de OFRANEH, 13 de octubre de 2019