AWID es un organización feminista internacional de membresía, que brinda apoyo a los movimientos que trabajan para lograr la justicia de género y los derechos de las mujeres en todo el mundo.
En septiembre de 2016, 1800 feministas y activistas por los derechos de las mujeres de todos los rincones de nuestros movimientos se congregaron en las costas de Bahia, en el 13º Foro Internacional de AWID.
En esta sección se destacan los logros, los aprendizajes y los recursos que surgieron de las ricas conversaciones mantenidas. Te invitamos a analizar, compartir y comentar.
¿Qué ha pasado desde 2016?
Uno de los aportes más importantes del Foro fue la necesidad de ampliar y profundizar nuestro trabajo entre movimientos, frente a la confluencia de los fascismos en auge, fundamentalismos, codicia corporativa y cambio climático.
Con esto en mente, AWID, en asociación con múltiples aliadxs, ha estado trabajando para que estas semillas de resistencia:
AWID se ha comprometido, mediante su próximo plan estratégico y su proceso del Foro, a continuar y profundizar las relaciones, las lecciones y los procesos iniciados en el Foro 2016 y basándonos en el momento actual.
¿Que pasa ahora?
El mundo es un lugar muy diferente de lo que era un año atrás, y seguirá cambiando en los próximos años.
El próximo Foro de AWID se realizará en la región del Pacífico Asiático (el lugar y la fecha exactos serán anunciados en 2018). Esperamos que te unas a nosotrxs.
Sobre el Foro de AWID
Los Foros de AWID comenzaron en 1983 en Washington DC. Desde entonces, el evento ha crecido hasta convertirse en muchas cosas para muchas personas: un proceso iterativo para darle forma a nuestros análisis, objetivos y acciones; un hito crucial que fortalece los feminismos de lxs participantes e infunde energías a sus procesos de organización; un hogar político donde lxs defensoras de derechos humanos encuentran un santuario y solidaridad.
Asma was a leading Pakistani rights activist, fearless critic of the military’s interference in politics and a staunch defender of the rule of law.
She was the founding chairwoman of the Human Rights Commission of Pakistan, an independent group, and was a trustee of the International Crisis Group. She won international awards and served as the United Nations rapporteur on human rights and extrajudicial killings.
“With her life, Asma rewrote the history that many of us were told as women. Asma changed the world. She changed it in Pakistan, and she changed it in our imaginations."
Calendario Feminista AWID 2026
Considera este calendario como un obsequio, que te llega a ti y a 9500 afiliades de nuestra comunidad feminista mundial. Un obsequio de esperanza, conexiones renovadas, acción y comunidad en un momento de inmensas injusticias y violencias.
Que estas historias te recuerden que a través de las fronteras y a lo largo de las luchas, somos muches, somos fuertes y, en conjunto, construimos los mundos que merecemos.
Snippet FEA how important essential workers are (FR)
La pandémie de COVID-19 a montré au monde l'importance des travailleur·euses essentiel·les. Nous parlons des personnes qui font le ménage, les travailleur·euses domestiques, les infirmier·ères, les d'ambulancier·ères, les personnes travaillant dans les transports, les supermarchés et autres. Leur travail consiste à prendre soin et à garantir le bien-être des autres et à faire fonctionner nos économies.
Mais pendant qu'iels prennent soin de nous..
2008: la Conferencia Internacional de Doha se lleva a cabo con resultados limitados
Si bien el Documento Final de Doha fue más allá que el de Monterrey en cuanto a la igualdad de género, tampoco avanzó lo suficiente. En su declaración, el WWG subrayó que los compromisos de la Declaración de Doha en materia de igualdad de género solo tendrán sentido si se abordan decididamente las cuestiones sistemáticas que subyacen a la pobreza y la distribución desigual de poder y recursos en la economía política global.
Además de la conferencia central, en Doha se desarrolló un foro paralelo de la sociedad civil organizado por el Doha NGO Group for Financing for Development [Grupo de ONG en Doha por la Financiación para el Desarrollo, DNG en inglés] que exigió cambios estructurales en la economía global, así como políticas que dieran prioridad a los derechos de los pueblos, respetaran y promovieran los derechos humanos.
Os movimentos feministas, de direitos das mulheres, de justiça de género, de LBTQI+ e de aliados em todo do mundo encontram-se num momento crítico, e enfrentam uma forte retaliação contra direitos e liberdades conquistados anteriormente. Os últimos anos trouxeram o crescimento rápido do autoritarismo, a violenta repressão da sociedade civil e a criminalização dos defensores dos direitos humanos das mulheres e de pessoas de género diverso, o aumento da guerra e do conflito em várias partes do nosso mundo, a perpetuação contínua de injustiças económicas e crises de saúde, da ecologia e do clima interligadas.
Olivia era la líder espiritual del pueblo indígena Shipibo Konibo.
Sabia mujer indígena y abuela, era conocida por practicar la medicina tradicional y cantar las canciones sagradas de su pueblo (Íkaros). Olivia Arévalo fue una activa defensora de los derechos culturales y ambientales de su pueblo. Su asesinato tuvo lugar en un contexto de conflicto territorial entre la comunidad shipibo y las empresas que quieren apropiarse de sus tierras para cultivar palma aceitera.
Integrantes de su comunidad han dicho: «Su muerte es una agresión contra toda la comunidad shipibo. Ella era la memoria viviente de su pueblo».
Partout sur la planète, les défenseur·e·s féministes, des droits des femmes et de la justice de genre remettent en question les programmes des acteurs fascistes et fondamentalistes. Ces forces opprimantes prennent pour cibles les femmes, les personnes non conformes dans leur identité de genre, leur expression et/ou orientation sexuelle, ainsi que d’autres communautés opprimées.
Les idéologies discriminatoires sapent et s’emparent de nos systèmes et normes en termes de droits humains de manière à ce que seuls certains groupes aient l’exclusivité des droits. Face à cela, l’initiative Promotion des droits universels et de la justice (Advancing Universal Rights and Justice, AURJ) s’attache à promouvoir l’universalité des droits - le principe fondamental selon lequel les droits humains sont le bien de chaque être humain, quelle que soit son identité, et ce sans exception.
Nous créons un espace pour permettre aux mouvements et à nos allié·e·s féministes, en faveur des droits humains et de la justice de genre de se reconnaître, d’élaborer des stratégies et de recourir à des actions collectives afin de contrecarrer l’influence et l’impact des acteurs anti-droits. Nous cherchons également à faire avancer les cadres, les normes et les propositions féministes et relatifs aux droits des femmes, ainsi qu’à protéger et promouvoir l’universalité des droits.
Nos actions
A travers cette initiative, nous visons à :
Enrichir nos connaissances : Dans le cadre du rôle de premier plan que nous assurons sur la plateforme collaborative, l’Observatoire de l'universalité des droits (Observatory on the Universality of Rights, OURs), l’AWID soutient les mouvements féministes, en faveur des droits des femmes et de la justice de genre en diffusant et vulgarisant des connaissances et des messages clés concernant les acteurs anti-droits, leurs stratégies et leur impact au sein des organismes internationaux de protection des droits humains.
Promouvoir des programmes féministes : Nous faisons des alliances avec des partenaires au sein d’espaces internationaux dédiés aux droits humains, notamment le Conseil des droits de l’homme, la Commission de la population et du développement, la Commission de la condition de la femme et l’Assemblée générale de l’ONU.
Créer et élargir les alternatives : Nous impliquons nos membres afin de garantir que les engagements, les résolutions et les normes à l’échelle internationale sont reflétées et réintroduites dans l’organisation d’autres espaces à l’échelle locale, nationale et régionale.
Mobiliser des actions solidaires : Nous agissons aux côtés de défenseuses des droits humains (women human rights defenders, WHRD), y compris de défenseur·e·s trans et intersexes et de jeunes féministes, et oeuvrons à contester les fondamentalismes et les fascismes tout en attirant l’attention sur les situations à risque.
Lancement du processus préparatoire intergouvernemental de la troisième Conférence sur le financement du développement, octobre 2014
Un processus préparatoire, co-facilité par l’ambassadeur guyanais George Wilfred Talbot et l’ambassadeur norvégien Geir O. Pedersen, a été instauré pour mener des discussions préliminaires relatives à la troisième Conférence sur le FdD prévue en juillet 2015 à Addis Abeba, en Éthiopie.
Dans le cadre de ces préparations, deux séries de séances de fond informelles ont été organisées au siège de l’ONU à New York afin d’apporter des éléments d’information pouvant servir aux sessions de rédaction du futur document final.
À cette occasion, le WWG sur le FdD a été réactivé dans le but d’intégrer les perspectives féministes et de défense des droits des femmes aux discussions et délibérations, avant et pendant la troisième Conférence sur le FdD. À l’heure actuelle, le groupe est co-animé par l’AWID, Development Alternatives with Women for a New Era (DAWN) et la Feminist Task Force (FTF).
Le WWG sur le FdD a prononcé deux déclarations lors de la première série de sessions et présenté un document écrit lors de la seconde. Il a, dans les deux cas, souligné l’invisibilité des inégalités entre les genres dans ce processus préparatoire, tout comme celle de l’inclusion d’autres formes de discrimination et d’inégalité. Le travail du WWG met en lumière les rapports de pouvoir entre les genres et leurs points d’intersection avec d’autres catégories, telles que la race, le handicap, l’appartenance ethnique, l’âge, la richesse et l’identité sexuelle, ce qui accentue la répartition inégale des chances et des ressources dans toutes les sociétés de la planète.
Les organisations de la société civile se sont dites inquiètes de l’étroitesse de l’espace qui leur a été accordé pour prendre part aux deux sessions de fond informelles. Elles ont notamment évoqué le risque que l’espace de participation de la société civile aux négociations portant sur le document final de janvier 2015 ne soit lui aussi limité.
Originaire d'Inde, Janette était une personne formidable, fougueuse, bienveillante et aimante.
Son intolérance à l’égard de l’injustice et sa ferme volonté de défendre les droits de toutes les personnes l’ont amenée à travailler pour TARSHI (une ONG qui travaille sur la sexualité et la santé sexuelle et reproductive) pendant plus de 15 ans. Janette a géré et dirigé avec compétence les aspects financiers, les ressources humaines et les aspects opérationnels de TARSHI, naviguant adroitement dans la bureaucratie labyrinthique à laquelle sont soumises les ONG indiennes.
Son équipe se souvient « elle assurait nos arrières pour que nous puissions naviguer en eaux libres. Femme aux multiples talents, Janette nous a non seulement aidés à acquérir nos propres bureaux, mais elles les a également aménagés pour leur utilisation optimale. Elle aimait les voyages et les animaux et s'intéressait à la thérapie assistée par les animaux ».
The Forum took place on 10 July 2015 in Addis Ababa and convened feminists, grassroots women, gender advocates, academics and representatives of women’s rights organizations/networks with specific inputs by UN representatives and other policy makers.
The objectives of the Women's Forum were to: share information on the state of play in the latest FfD negotiations; jointly analyze the FfD panorama and follow-up; build a common women’s rights positioning; and strategize on how to meaningfully and substantively engage from a feminist perspective at the Addis FfD Conference.
The CSO FfD Forum took place in Addis Ababa on 11-12 July 2015 and aimed to: inform participating CSOs on the state of play of the official process and coordinate civil society participation in the 3rd FfD Conference; develop a collective CSO Forum Declaration as well as the CSO messages for the FfD Conference Roundtables, the CSO FfD Group-led side events and any other opportunities that might emerge; and plan and organize future areas of CSO engagement on Financing for Development, beyond the 3rd FfD Conference.
The third Conference on Financing For Development took place in Addis Ababa, Ethiopia, from 13-16 July 2015 and focused on: assessing the progress made in the implementation of the 2002 Monterrey Consensus and the 2008 Doha Declaration; addressing new and emerging issues, including in the context of the recent multilateral efforts to promote international development cooperation. Taking into account: the current evolving development cooperation landscape; the interrelationship of all sources of development finance; the synergies between financing objectives across the three dimensions of sustainable development (economic, social and environmental); and the need to support the United Nations development agenda beyond 2015; and reinvigorating and strengthening the financing for development follow-up process.
The Addis Ababa Action Agenda was adopted on 15 July 2015 by Heads of State, Governments and High Representatives at the UN.
The feeling however from developing countries, CSOs and more specifically women's organisations was that the Addis Ababa Action Agenda failed to meet the target. The Women's Working Group expressed its strong disappointment and demanded structural changes in the global economic governance and development architecture. Read their reaction to the outcome document. Hundreds of civil society organizations and networks from around the world also expressed deep concerns and reservations. Read their response to the outcome document.
Grupos, organizações e movimentos cujo foco específico ou principal seja os direitos das mulheres, de jovens, a justiça de género, os direitos das pessoas LBTQI+ e de aliados em todas as regiões e em todos os níveis, quer sejam novos ou já estabelecidos.
From Peacebuild to the Canadian Feminist Alliance for International Action, Amnesty International, and the Canadian Centre for Policy Alternatives (CCPA), Kate had a lifelong passion for women’s rights and gender equality and dedicated her career to fighting inequality and making the world a more compassionate place.
Kate was a member of the Coordinating Committee of Social Watch and a contributor to the Canadian National Social Watch reports. As a Senior Researcher at the CCPA, Kate received national acclaim for researching, writing, and producing the annual “The Best and Worst Places to be a Woman in Canada” report.
Kate died peacefully surrounded by her family, following a three-year battle with colon cancer. She is described by loved ones as a “Funny, Fearless, Unapologetically Feminist.”