Human Rights Council (HRC)
The Human Rights Council (HRC) is the key intergovernmental body within the United Nations system responsible for the promotion and protection of all human rights around the globe. It holds three regular sessions a year: in March, June and September. The Office of the UN High Commissioner for Human Rights (OHCHR) is the secretariat for the HRC.
The HRC works by:
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Debating and passing resolutions on global human rights issues and human rights situations in particular countries
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Examining complaints from victims of human rights violations or activist organizations on behalf of victims of human rights violations
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Appointing independent experts (known as “Special Procedures”) to review human rights violations in specific countries and examine and further global human rights issues
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Engaging in discussions with experts and governments on human rights issues
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Assessing the human rights records of all UN Member States every four and a half years through the Universal Periodic Review
AWID works with feminist, progressive and human rights partners to share key knowledge, convene civil society dialogues and events, and influence negotiations and outcomes of the session.
With our partners, our work will:
◾️ Raise awareness of the findings of the 2017 and 2021 OURs Trends Reports.
◾️Support the work of feminist UN experts in the face of backlash and pressure
◾️Advocate for state accountability
◾️ Work with feminist movements and civil society organizations to advance rights related to gender and sexuality.
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Our values - bodily autonomy
Autonomie, intégrité et libertés corporelles
Nous célébrons le droit de chacun·e à choisir son identité, ses relations, ses objectifs, son travail, ses rêves et ses plaisirs, et ce qu'iel fait de son esprit, de son corps et de son âme. Nous croyons qu'il est nécessaire de travailler à l'accès aux ressources, aux informations et à des environnements sûrs et favorables qui permettent d'atteindre cet objectif.
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Snippet FEA Union Otras Photo 4 (EN)

Sylvia Rivera
Sylvia Rivera était une militante pour les droits civiques, travestie et travailleuse du sexe.
Connue comme la drag queen de couleur de New York, Sylvia était une infatigable et féroce défenseure des marginalisé·e·s et exclu·e·s au début des années 1970, alors que le mouvement pour les « droits des gays » prenait de l’ampleur aux États-Unis.
Dans un discours bien connu prononcé pour Chistopher Street Day en 1973, Sylvia s’est exclamée, parmi une foule de membres de la communauté LGBT :
« Vous me dites tous d’aller me cacher, la queue entre les jambes.
Je ne supporterai plus ces conneries.
On m’a battue.
On m’a cassé le nez.
On m’a jetée en prison.
J’ai perdu mon travail.
J’ai perdu mon appartement.
Tout ça pour la libération gay, et vous me traitez de la sorte?
C’est quoi votre putain de problème à tous?
Réfléchissez à ça! »
En 1969, à l’âge de 17 ans, Sylvia a participé aux célèbres émeutes de Stonewall en jetant, paraît-il, le deuxième cocktail molotov en signe de protestation contre la descente de la police dans le bar gay de Manhattan. Elle a continué à être une figure centrale des soulèvements qui ont suivi, organisant des rassemblements et ripostant aux brutalités policières.
En 1970, Sylvia a collaboré avec Marsha P. Johnson à la création de Street Transvestite Action Revolutionaries (S.T.A.R.), collectif et organisation politique qui mettait sur pied des projets de soutien mutuel pour les personnes trans vivant dans la rue, celles et ceux aux prises avec la toxicomanie ou en détention, et spécialement pour les personnes trans de couleur et celles et ceux vivant dans la pauvreté.
Refusant les étiquettes, Sylvia a incité les personnes du mouvement de libération gay à penser différemment, et ce, tout au long de sa vie. Elle a déclaré :
« J’ai quitté ma maison en 1961, à l’âge de 10 ans. Je me suis démenée sur la 42e rue. Le début des années 1960 n’était pas génial pour les drag queens, les garçons efféminés ou les garçons qui se maquillaient comme on le faisait. À l’époque, on se faisait battre par la police, par tout le monde. Je n’ai pas vraiment fait mon coming out en tant que drag queen avant la fin des années 1960. C’était vraiment la débandade lorsque des drag queens se faisaient arrêter. Je me rappelle la première fois où je me suis fait arrêter, je n’étais même pas habillée entièrement en drag. Je marchais dans la rue et les flics m’ont tout simplement attrapée. Les gens maintenant prétendent que je suis une lesbienne, parce que je suis avec Julia, ce à quoi je leur je réponds : « Non, je suis juste moi. Je ne suis pas une lesbienne. » J’en ai marre d’être étiquetée. Je ne suis même pas en faveur de l’étiquette de transgenre. J’en ai marre de vivre avec des étiquettes. Je veux juste être qui je suis. Je suis Sylvia Rivera »
Par son activisme et son courage, Sylvia Rivera a présenté un miroir où se reflétait tout ce qui n’allait pas dans la société, mais aussi la possibilité d’une transformation. Sylvia est née en 1951 et décédée en 2002.
Membership why page - Angelina Mootoo quote
"Joining AWID, I hope I can help in the mobilization of the feminist movement. Not just for the privileged women, but for ALL women and feminist activists."
- Angelina Mootoo, Intersectional and Caribbean Feminist, Guyana/USA
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Deya Bhattacharya
Deya est faciliteur·rice de mouvement féministe trans queer non binaire, professionnel·le des droits humains et chercheur·se. Son travail se fonde sur des méthodes queer, féministes et participatives. Iel travaille au sein de l’écosystème de financement féministe depuis plus de sept ans et encore plus longtemps au sein des espaces de mouvements féministes – depuis désormais plus d’une décennie. Son travail se situe à l’intersection entre l’argent et les mouvements. Avant de rejoindre l'AWID, Deya était consultant·e indépendant·e auprès de Mama Cash, Kaleidoscope Trust, Comic Relief, Global Fund for Children et d'autres, cocréant des processus, des espaces et des mécanismes de ressources, des programmes et des recherches centrées sur les mouvements. Deya est titulaire d'un LLM (Master of Laws ou Master Legum) en justice internationale et droits humains de l'Université d'Europe centrale.
À l’AWID, Deya dirige la stratégie de soutien et d’engagement des mouvements de Ressources pour les mouvements féministes, et soutient la mise au centre des principaux mouvements féministes en définissant et en menant des programmes de ressourcement féministe. En dehors du travail, Deya est maître-nageur·se, parent d’un chien et adore la fiction littéraire contemporaine.
Snippet FEA Principles of Work (ES)
Principios
DE TRABAJO
Angiza Shinwari
Yamile Guerra
Yamile Guerra was a well-known lawyer, community leader and political activist in the Santander region of Colombia.
She was actively working to resolve disputes between local communities and developers, advocating against illegal land appropriation. Yamile had occupied various political posts, including as the Secretary General for the Santander government in Bogota and also aspired for the Mayor’s Office of Bucaramanga. In the last few years of her life, Yamile became increasingly active in environmental causes, particularly in the defense of the biodiverse wetlands of Santurbán against development, a region which supplies nearly 2 million people with freshwater.
According to her family and friends, Yamile received daily threats against her life and had asked the authorities for protection.
“She was very very aware of this issue [land litigation] and she said many times that she felt insecure.” - Alixon Navarro Munoz, journalist and friend of Guerra family
On July 20, 2019 Yamile was shot to death by two men in Floridablanca, Santander. She had just finished discussing a land dispute with them. A suspect was later arrested for her murder and admitted to being paid to carry out her assassination. According to reports, Yamile was the third member of her family to have been killed in relation to land disputes. Her father, Hernando Guerra was murdered several years previously.
Yamile’s assassination is part of a wave of violence and systematic killing of hundreds of social activists and human rights defenders in Colombia. According to the Institute for Development and Peace Studies (INDEPAZ), at the time of Yamile’s death, over 700 community leaders and human rights activists had been killed since the country signed a peace agreement in August 2016. Most were murdered for confronting illegal drug trafficking and mining operations, with indigenous people, Afro-Colombians and women human rights defenders being most at risk.
Less than a week after Yamile’s death, thousands of Colombians marched all over towns and cities, holding up black and white photos of activists who had been killed, with signs that read: "Without leaders there can be no peace" and "No more bloodshed”.
Yamile Guerra was only 42 years old at the time of her assassination.
Questions (Forum page)
¿Preguntas?
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Claro que sim! Encorajamo-lo a compartilhar a ligação do nosso inquérito com as suas redes. Quanto mais perspetivas diversas recolhermos, melhor será a nossa compreensão do cenário financeiro para a organização feminista.
Nana Abuelsoud
Nana is a feminist organizer and a reproductive rights and population policy researcher based in Egypt. She is a member of Realizing Sexual and Reproductive Justice (RESURJ), a member of the Advisory Board of the A Project in Lebanon, and a member of the Community Committee of Mama Cash. Nana holds an MSc in Public Health from KIT Institute and Vrije University in Amsterdam. In her work, she follows and contextualizes national population policies while building evidence that addresses modern eugenics, regressive international aid, and authoritarianism. Previously, she was part of the Geneva Foundation for Medical Education and Research, the Egyptian Initiative for Personal Rights, and Ikhtyar Feminist Collective in Cairo.
Snippet FEA Principles of work Education and Learning (FR)

ÉDUCATION ET APPRENTISSAGE CONSTANT
Ruby Montour
Binta Sarr
Binta Sarr fue una activista por la justicia social, económica, cultural y política, y una ingeniera hidráulica en Senegal. Después de 13 años en la administración pública, Binta dejó ese camino para trabajar con mujeres rurales y marginadas.
Fue de este compromiso que surgió la Association for the Advancement of Senegalese Women [Asociación para el Avance de las Mujeres Senegalesas] (APROFES, por sus siglas en inglés), un movimiento y organización de base que Binta fundó en 1987. Uno de sus principales enfoques fue la formación de dirigentes, en relación no solo con las actividades económicas, sino también con los derechos de las mujeres y el acceso a los puestos de toma de decisiones.
"Las poblaciones de base deben organizarse, movilizarse, asumir el control ciudadano y exigir la gobernabilidad democrática en todos los sectores del espacio público. La prioridad de los movimientos sociales debe ir más allá de la lucha contra la pobreza y debe centrarse en programas de desarrollo articulados y coherentes en consonancia con los principios de los derechos humanos, teniendo en cuenta al mismo tiempo sus necesidades y preocupaciones tanto a nivel nacional como subregional y desde una perspectiva de integración africana y mundial". - Binta Sarr
Partiendo de la convicción de Binta de que el cambio fundamental de la condición de la mujer requiere una transformación de las actitudes masculinas, APROFES adoptó un enfoque interdisciplinario, al utilizar la radio, los seminarios y el teatro popular, además de proporcionar una educación pública innovadora y brindar apoyo cultural a las acciones de sensibilización. Su compañía de teatro popular representó piezas originales sobre el sistema de castas en el Senegal, el alcoholismo y la violencia conyugal. Binta y su equipo también analizaron la conexión crucial entre la comunidad y el mundo en general.
"Para APROFES, se trata de estudiar y tener en cuenta las interacciones entre lo micro y lo macro, lo local y lo global y también, las diferentes facetas del desarrollo. Desde la esclavitud hasta la colonización, el neocolonialismo y la mercantilización del desarrollo humano, la mayor parte de los recursos de África y del Tercer Mundo (petróleo, oro, minerales y otros recursos naturales) están todavía bajo el control de carteles financieros y las otras multinacionales que dominan este mundo globalizado". - Binta Sarr
Binta fue una de las integrantes fundadoras de la sección femenina de la Asociación Cultural y Deportiva Magg Daan. Recibió distinciones del Gobernador Regional y del Ministro de Hidrología por su "devoción por la población rural".
Nacida en 1954 en Guiguineo, un pequeño pueblo rural, Binta falleció en septiembre de 2019.
Tributos:
"La pérdida es inconmensurable, el dolor es pesado y profundo, pero resistiremos para no llorar a Binta; no lloraremos a Binta, mantendremos la imagen de su amplia sonrisa en todas las circunstancias, para resistir e inspirarnos en ella, para mantener, consolidar y desarrollar su obra..." - Página de Facebook de Aprofes, 24 de septiembre de 2019.
"¡Adiós Binta! Creemos que tu inmenso legado será preservado." - Elimane FALL , presidente de ACS Magg-Daan
FRMag - Editors Note
Note éditoriale
Les Réalités féministes consistent en une invitation chaleureuse et bienveillante, une sorte d’acte de préservation et de soins massifs (versus un soin individuel), une invitation à archiver et à faire l’inventaire de tout le travail réalisé, sous peine de le voir disparaître. (...)
Membership why page - Loyiso Lindani
Tengo la convicción de que las mujeres empoderadas dotan de empoderamiento a otras mujeres, y es por ello que la he pasado tan bien como afiliada de AWID. Todo lo que sé y lo que entiendo de feminismo e interseccionalidad se ha ampliado gracias a los contactos que tuve como parte del Equipo de la Calle de la Comunidad AWID. Espero que más mujeres se sumen y compartan temas e ideas que ayuden a otras mujeres.- Loyiso Lindani, Sudáfrica.
How did AWID get started?
AWID began in 1982 and has grown and transformed since then into a truly global organization.
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