
Camille Lepage

The Human Rights Council (HRC) is the key intergovernmental body within the United Nations system responsible for the promotion and protection of all human rights around the globe. It holds three regular sessions a year: in March, June and September. The Office of the UN High Commissioner for Human Rights (OHCHR) is the secretariat for the HRC.
Debating and passing resolutions on global human rights issues and human rights situations in particular countries
Examining complaints from victims of human rights violations or activist organizations on behalf of victims of human rights violations
Appointing independent experts (known as “Special Procedures”) to review human rights violations in specific countries and examine and further global human rights issues
Engaging in discussions with experts and governments on human rights issues
Assessing the human rights records of all UN Member States every four and a half years through the Universal Periodic Review
AWID works with feminist, progressive and human rights partners to share key knowledge, convene civil society dialogues and events, and influence negotiations and outcomes of the session.
Juana was one of the founders and current Board Member of Red de Mujeres Ixiles de Nebaj, an Indigenous women’s rights organization that is a member of the Mesoamerican Initiative of WHRDs (IM-Defensoras).
She was also a midwife and a mother of 7 children. Juana had received death threats that were reported to the Prosecutor’s office. Juana is the third Indigenous WHRD murdered in the area during 2018. The Guatemala Ombudsman reports that a total of 20 HRDs were killed in the country this year.
Juana Ramírez Santiago was shot dead by unidentified attackers while crossing a bridge in Nebak, Quiché, Guatemala. Investigations to identify the perpetrators are ongoing.
L’AWID est engagée en faveur de la justice linguistique, et nous regrettons que l’enquête WITM ne puisse, à l’heure actuelle, être accessible dans d’autres langues. Cependant, si vous avez besoin d’une aide à la traduction ou que vous souhaitez participer à l’enquête dans une autre langue, n’hésitez pas à nous contacter à l’adresse witm@awid.org.
Une communauté en ligne pour et par les jeunes féministes qui militent pour les droits humains des femmes, l'égalité de genre et la justice sociale dans le monde entier
Finance des projets initiés par de jeunes féministes. Vise à renforcer la capacité des organisations de jeunes féministes à mobiliser des ressources pour leurs actions et à encourager des bailleur-euse-s de fonds et d’autres allié-e-s à financer l’activisme des jeunes féministes.
Cette plateforme sera l’espace de référence pour accéder à des informations et à des ressources concernant la sauvegarde de l'universalité des droits humains dans les espaces internationaux et régionaux.
Visitez le site (en anglais)
Un site pour en savoir plus sur les mesures d’urgence entreprises pour protéger les défenseuses des droits humains et pour trouver des outils et des ressources au soutien de leur travail et de leur bien-être.
Une initiative régionale créée pour prévenir, répondre, documenter et rendre publics tous les cas de violence contre les défenseuses des droits humains dans la région mésoaméricaine.
Visitez le site (en anglais et en espagnol)
Un réseau qui réalise un travail de plaidoyer et propose des ressources pour protéger et soutenir les défenseuses des droits humains dans le monde entier.
Visitez le site (en anglais)
Une coalition d’organisations féministes, de droits des femmes, de développement, de justice sociale et d’organisations de terrain qui conteste le programme mondial de développement et plaide pour qu’il soit recadré.
Visitez le site (en anglais)
Le rôle du groupe consiste à assurer la pleine participation des groupes de femmes non gouvernementaux aux processus politiques de l'ONU sur le développement durable, le programme de l’après-2015 et les questions environnementales.
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Une alliance d’organisations et de réseaux de femmes qui font un travail de plaidoyer en faveur de l'égalité de genre, de l'autonomisation des femmes et des droits humains dans le cadre des processus des Nations unies relatifs à la composante Financement du développement (FdD).
Visitez le site (en anglais)
Ana fue una firme defensora de los derechos de las mujeres y trabajó con una amplia diversidad de mujeres, desde aquellas que están redes de base hasta las que son parte del sector privado.
Creía que había que tender puentes entre sectores. Ana fue integrante de la Red Nacional de Promoción de la Mujer (RNPM), y tuvo participación activa en el desarrollo de muchos programas sociales que abordan temas como la salud y los derechos sexuales y reproductivos.
The estimated time to complete the survey is 30 minutes.
Estas 20 Defensoras de derechos humanos (WHRDs, por las siglas en inglés) trabajaron como periodistas, y de manera más amplia, en los medios comunicación de México, Colombia, Fiji, Libia, Nepal, Estados Unidos de Norteamérica, Nicaragua, Filipinas, Rusia, Alemania, Francia, Afganistán, y el Reino Unido. De ellas, 16 han sido asesinadas, y la causa de muerte en uno de los casos sigue sin ser esclarecida. Por esto, en este Día Mundial de la Libertad de Prensa, por favor únete a nosotrxs para conmemorar la vida y el trabajo de estas mujeres, compartiendo las memes aquí incluidas con tus colegas, amistades y redes, utilizando los hashtags #LibertadDePrensa y #WHRDs.
Los aportes del trabajo realizado por estas mujeres fueron celebrados y honrados en nuestro Tributo virtual para defensoras que ya no están con nosotrxs.
Por favor, haz click en cada imagen de abajo para ver una versión más grande y para descargar como un archivo.
Nous Sommes la Solution élève et développe le leadership des femmes rurales travaillant à des solutions africaines pour la souveraineté alimentaire.
Née en 1928, Marceline était actrice, scénariste et réalisatrice.
En 2003, elle avait réalisé « La petite prairie aux bouleaux », mettant en vedette Anouk Aimée, ainsi que plusieurs autres documentaires. Survivante de l'holocauste, elle n'avait que quinze ans lorsque son père et elle furent arrêtés et envoyés dans des camps de concentration nazis. Les trois kilomètres qui la séparaient de son père à Auschwitz alors qu’elle-même était à Birkenau furent une distance insurmontable, décrite dans l’un de ses romans majeurs « Et tu n’es pas revenu ».
En parlant de son travail, elle a un jour déclaré: « Tout ce que je peux dire c’est que tout ce que je peux écrire, tout ce que je peux dévoiler, c’est à moi de le faire. »
Absolutamente; esas preguntas son opcionales y valoramos tu derecho a la anonimidad. Te pedimos que respondas la encuesta independientemente de tu decisión de compartir el nombre de tu agrupación, organización o movimiento y la información de contacto con AWID.
Les données que nous avons recueillies pour élaborer notre hommage montrent à quel point le Mexique est un pays dangereux pour les défenseuses. Sur les 12 femmes mexicaines défenseuses des droits humains que nous commémorons cette année, 11 ont été assassinées. Elles étaient des journalistes ou des activistes, des défenseuses des droits des femmes ou de ceux des personnes trans*. Nous vous invitons à vous joindre à nous pour rendre hommage à ces défenseuses, à leur travail et à l’héritage qu’elles nous ont laissé. Faites circuler ces mèmes auprès de vos collègues et amis ainsi que dans vos réseaux et twittez en utilisant les hashtags #WHRDTribute et #16Jours.
S'il vous plaît cliquez sur chaque image ci-dessous pour voir une version plus grande et pour télécharger comme un fichier
A workplace does not have to operate on competition and profit. It does not have to exploit people for the benefit of the owner and a small elite either.
Instead, communities on the margins of formal economies are building cooperative models based on autonomy, cooperation, shared responsibility, self-management and solidarity.
Worker-controlled cooperatives and workplaces have always offered alternative ways of generating employment opportunities, income, social security and savings - while distributing revenues in more communal, sustainable and safer ways.
But it is more than an employment opportunity: it is the making of dreams into a reality, and the building of feminist economies based on solidarity and care for each other. It is about creating a world where our lives, our labor and our communities matter.
This is the story of the Nadia Echazú Textile Cooperative, the first social enterprise managed by and for travesti and trans people in Argentina.
Elle faisait elle-même partie des 32 000 personnes déplacées par Tucuruí, un imposant barrage hydroélectrique, construit au Brésil sous la dictature militaire de 1964-1985.
En 2005, Dilma a été invitée à rejoindre le Mouvement des personnes affectées par les barrages (MAB) au Brésil et, en 2006, elle y a formé un collectif de femmes pour finir ensuite par devenir coordonatrice régionale du mouvement.
Évoquant son activisme, ses collègues racontent :
« Elle se distinguait très rapidement car elle n’avait jamais peur dans la lutte. »
Dilma vivait dans la localité rurale de Salvador Allenda, à 50 kilomètres de Tucuru. Elle a dédié sa vie à mieux protéger les communautés et les territoires affectés par la construction d’énormes projets. Elle était particulièrement préoccupée par l’impact de genre de ce type de projets et plaidait pour les droits des femmes.
Lors d’une réunion d’ordre national du MAB en 2011, Dilma évoqua les femmes affectées par les barrages, soulignant :
« Nous sommes les réelles Marias, guerrières, combattantes ici, nous nous confrontons au défi de la lutte quotidienne. »
Au cours des années suivantes, Dilma a organisé des groupes de terrain du MAB et travaillé avec les communautés pour former des coopératives paysannes qui permirent de mieux distribuer la nourriture au sein des communautés. Ensemble, elles ont amélioré la commercialisation de la pêche et développé un projet de citerne pour un accès à l’eau potable. Elle défendait aussi les agriculteurs·rices dont les terres étaient convoitées par les « grileiros » (personnes qui s’approprient les terres).
Le 22 mars 2019, à l’âge de 48 ans, Dilma, son mari et leur ami·e furent violemment assassiné·e·s. Ces trois meurtres s’inscrivirent dans une vague de violences en Amazonie contre les Movimento dos Trabalhadores Sem (mouvements des travailleurs·ses sans terre) et les activistes écologistes et autochtones.