Human Rights Council (HRC)
The Human Rights Council (HRC) is the key intergovernmental body within the United Nations system responsible for the promotion and protection of all human rights around the globe. It holds three regular sessions a year: in March, June and September. The Office of the UN High Commissioner for Human Rights (OHCHR) is the secretariat for the HRC.
The HRC works by:
-
Debating and passing resolutions on global human rights issues and human rights situations in particular countries
-
Examining complaints from victims of human rights violations or activist organizations on behalf of victims of human rights violations
-
Appointing independent experts (known as “Special Procedures”) to review human rights violations in specific countries and examine and further global human rights issues
-
Engaging in discussions with experts and governments on human rights issues
-
Assessing the human rights records of all UN Member States every four and a half years through the Universal Periodic Review
AWID works with feminist, progressive and human rights partners to share key knowledge, convene civil society dialogues and events, and influence negotiations and outcomes of the session.
With our partners, our work will:
◾️ Raise awareness of the findings of the 2017 and 2021 OURs Trends Reports.
◾️Support the work of feminist UN experts in the face of backlash and pressure
◾️Advocate for state accountability
◾️ Work with feminist movements and civil society organizations to advance rights related to gender and sexuality.
Related Content
1. Rassemblez vos ressources
Cette section présente les principales ressources que l’AWID recommande afin que vous puissiez mener votre propre recherche WITM.
Dans cette section
Personnel requis
- Au moins 1 personne pour diriger la mise en place générale de la méthodologie de recherche et veiller à ce que toutes les composantes clés soient en place (Sections 2-11)
- Au moins 1 personne pour conceptualiser les principaux objectifs de recherche et les questions d’orientation
- Au moins 1 personne pour peaufiner et mener la méthodologie de recherche, y compris la collecte de données
- Au moins 1 personne pour procéder à une analyse qualitative et quantitative des données recueillies
- Au moins 1 personne pour consigner et condenser les résultats de la recherche en fonction du-des public-s souhaité-s.
- Au moins 1 personne pour réviser vos produits finaux
- Au moins 1 personne pour sensibiliser le public au sujet de votre enquête et promouvoir les résultats de votre recherche
Dépenses éventuelles
- Salaire du personnel et/ou des conseiller-ère-s
- Logiciel d’analyse des données, si vous procédez à l’analyse d’un vaste ensemble de données en interne.
Options :
- SPSS
- Stata
- R (gratuit) - Le coût de production des publications et des produits découlant de la recherche
- Si jugé utile, un prix d’incitation que pourraient gagner les personnes qui remplissent le questionnaire
- Si jugé utile, mesures d’incitation à offrir vos conseillers
Temps estimé
- Pour le processus de recherche : six à dix-huit mois, selon la taille de l’ensemble des données et la capacité du personnel
- Pour les activités de plaidoyer : un à deux ans, conformément à vos objectifs organisationnels
Ressources requises
- Liste d’organisations, de donateurs et d’activistes agissant à titre consultatif
- Liste des activités et espaces en ligne/réseaux à qui distribuer votre enquête et présenter les résultats de votre recherche
- Liste de donateurs, d’activistes et d’organisations de droits des femmes à interviewer
- Questions des interviews préparées
- Liste des sources de publications à utiliser dans le cadre de la recherche documentaire
Ressources disponibles
- Exemple 1 : Cadre de référence d’une recherche
- Exemple 2 : Cadre de référence d’une recherche
- Exemple : Enquête mondiale WITM
- Exemple de lettre aux bailleurs de fonds demandant accès aux bases de données
- Exemple : Questions des interviews de l’AWID : Donateurs
- Exemple : Question des interviews de l’AWID : Activistes et organisations de droits des femmes
- Exemple : Plan des activités de plaidoyer
Outils en ligne
- Survey Monkey : gratuit
- Survey Gizmo : Convertit aisément les données au format SPSS aux fins d’analyse (en anglais)
- Tutoriel : Simple introduction au nettoyage des données (en anglais)
- Outils de visualisation (en anglais)
- Fiche de travail « Êtes-vous prêts-es ? »
Quand vous aurez rassemblé ces ressources, vous pourrez estimer les coûts de votre recherche à l’aide de notre Fiche de travail « Êtes-vous prêts-es ? »
Étape précédente
Étape suivante
Pendant combien de temps l’enquête reste-t-elle ouverte?
Elle est ouverte jusqu’à la fin août 2024. Merci d’y répondre avant cette date butoir, afin que vos réponses soient incluses dans l’analyse.
Snippet FEA Life expectancy of a trans and travesti (FR)

L'espérance de vie d'une personne trans et travesti en Argentine est de 37 ans - l'âge moyen de la population générale est de 77 ans.
Roxana Reyes Rivas
Roxana Reyes Rivas, philosopher, feminist, lesbian, poet, politician and LGBT and women’s rights activist from Costa Rica. Owner of a sharp pen and incisive humour, a laugh a minute. She was born in 1960 and raised in San Ramón of Alajuela, when it was a rural town, and her whole life she would break away from the mandates of what it meant to be a woman.
With El Reguero (Costa Rican lesbian group) she organized lesbian festivals for over a decade, fun-filled formative spaces to come together at a time when the Costa Rican government and society persecuted and criminalized the lesbian existence. For hundreds of women the lesbian festivals where the only place they could be themselves and come together with others like them.
Roxana would often say founding political parties was one of her hobbies. “It’s important for people to understand there are other ways to do politics, that many issues need to be solved collectively”. She was one of the founders of the New Feminist League and VAMOS, a human rights focused political party.
“The philosophical trade is meant to jab, to help people ask themselves questions. A philosopher who doesn’t irritate anyone is not doing her job”. For 30 years Roxana taught philosophy at several Costa Rican public universities. Through her guidance, generations of students reflected about the ethical dilemmas in science and technology.
Roxana’s favourite tool was humour, she created the Glowing Pumpkin award, an acknowledgement to ignorance that she would bestow upon public figures, through her social media channels, mocking their anti-rights expressions and statements.
An aggressive cancer took Roxana at the end of 2019, before she could publish a compilation of her poems, a departing gift from the creative mind of a feminist who always raised her voice against injustice.
5. Menez des interviews
Les interviews génèrent des renseignements détaillés que vous aurez du mal à obtenir à travers un sondage. Le sondage est surtout axé sur les données quantifiables et les questions fermées,par contre les interviews permettent d’obtenir les opinions d’expert-e-s comme des activistes et des donateurs, tout en utilisant des questions ouvertes qui précisent le contexte entourant les données résultant du sondage.
Dans cette section
- Conseils d’ordre général
1. Avant de mener vos interviews
2. Pendant les interviews- Interviews spécialisées
1. Interviews auprès des donateurs
2. Interviews auprès des activistes et des organisations de droits des femmes- Résultats préliminaires
Conseils d’ordre général
1. Avant de mener vos interviews
Envoyez aux personnes que vous allez interviewer une note de synthèse qui décrit les objectifs des interviews et de l’ensemble de votre recherche, en plus d’une liste de questions.
Ces personnes pourront ainsi préparer leurs réponses aux questions plus complexes et obtenir les renseignements qu’elles n’ont peut-être pas sous la main.
2. Pendant les interviews
- Pour gagner du temps, vous pouvez procéder aux interviews pendant que votre sondage est en cours.
- Tentez de rendre les entrevues aussi uniformes que possible pour faciliter une analyse systématique des résultats. Il s’agit notamment de poser les mêmes questions. La codification de réponses identiques sous chacune des questions vous permettra de déceler les tendances cachées.
- On peut aussi utiliser les interviews pour étoffer les résultats du sondage.
Ne fondez pas vos questions sur des hypothèses au sujet des connaissances de la personne interviewée.
Tentez plutôt de préciser ce qu’elle sait, ce qui produit également des informations
- NE DEMANDEZ PAS : « Compte tenu des tendances actuelles de financement en Suisse, est-ce que vous êtes au courant de certaines occasions de collaboration ? » Cette question présume que la personne interviewée connaît les tendances de financement et que sa compréhension de ces tendances est identique à la vôtre.
- DEMANDEZ : En premier lieu, « Quelle est votre compréhension des tendances de financement actuelles en Suisse ? », suivie de « Est-ce que vous êtes au courant de certaines occasions de collaboration ? » Ceci révèlera ce que la personne comprend, vous donnant encore plus d’informations que la première question.
Interviews spécialisées
1. Interviews auprès des donateurs
Les interviews auprès des donateurs vous permettront d’approfondir vos relations avec eux, ce qui sera utile lorsque vous entreprendrez les activités de plaidoyer qui succèderont à votre recherche. Vous en tirerez également une connaissance plus poussée des processus de prises de décisions adoptés par les bailleurs de fonds.
Suggestions de thèmes à aborder lors des interviews avec les donateurs :
- Quelles sont leurs priorités en matière de financement ? Pourquoi et comment ont-ils choisi ces priorités ? Par exemple, pourquoi choisissent-ils de subventionner des projets plutôt que d’allouer des financements de base ou vice-versa ?
- Quelles sont les sommes annuelles allouées à l’avancement des droits humains des femmes ? Ceci renforcera la fiabilité de l’ensemble des données recueillies.
- Ont-ils observé certaines tendances de financement et quelles sont les origines et les politiques sous-jacentes à ces tendances ?
- Quelle est leur théorie du changement social et comment influence-t-elle leurs relations avec les organisations de droits des femmes ?
Voir des exemples d’interviews auprès des donateurs
2. Interviews auprès d’activistes et d’organisations de droits des femmes
Les interviews auprès d’activistes et d’organisations de droits des femmes vous renseigneront sur leurs réalités sur le terrain. Ici encore, ces interviews vous permettront d’approfondir vos relations qui peuvent être intégrées aux plaidoyers, particulièrement en vue de favoriser la collaboration entre donateurs et activistes.
Suggestions de thèmes à aborder lors des interviews avec les activistes et les organisations de droits des femmes :
- Les tendances à long terme des priorités de financement que les organisations de femmes ont observées et leurs incidences.
- Des stratégies féministes et collaboratives réussies de mobilisation des ressources, qui créent des mouvements solides et complémentaires.
- Expliquer pourquoi il est important de soutenir les mouvements de femmes et leurs efforts en matière d’organisation.
- La manière dont différents acteurs et actrices comprennent le processus de changement social et leur rôle en faveur/pour la réalisation de l’égalité de genre et des droits des femmes.
Voir des exemples d’interviews auprès d’activistes et d’organisations de droits des femmes
Résultats préliminaires
Pendant votre recherche WITM, nous vous recommandons de procéder à l’analyse des résultats préliminaires. La présentation de vos résultats préliminaires offre l’occasion de mener d’autres interviews et de recueillir des réactions sur votre processus de recherche et sur les résultats initiaux. Ces réactions peuvent être intégrées à votre recherche finale.
L’AWID organise des « rencontres WITM » pour partager les résultats préliminaires issus des données de sondage et des interviews. Ces rencontres permettent aux personnes qui y prennent part (activistes, organisations de droits des femmes et donateurs) de débattre et de discuter des résultats, de préciser le contexte, de rehausser le sentiment d’appropriation parmi les membres du mouvement et de fournir plus de commentaires en vue de la recherche finale.
Par exemple, l’AWID a profité du Pôle de mobilisation des ressources (RMH) pour les droits des femmes autochtones, dans le cadre du World Summit on Indigenous Philanthropy (Sommet mondial sur la philanthropie autochtone) pour lancer une présentation de ses résultats préliminaires.
Voir la présentation donnée lors du RMH (en anglais)
Étape précédente
4. Recueillez et analysez vos données
Étape suivante

Temps estimé :
• 1,5 - 3 mois
Personnel requis :
• 1 personne (ou plus) chargée de la recherche
Ressources requises :
• Liste d’organisations, de donateurs et d’activistes agissant à titre consultatif
• Questions d'interview que vous aurez préparées
• Note conceptuelle (Vous pouvez utiliser de cadre de référence que vous avez déjà préparé)
Ressources disponibles :
• Exemples d’interviews auprès des donateurs
• Exemples d’interviews auprès d’activistes et d’organisations de droits des femmes
Étape précédente
4. Recueillez et analysez vos données
Étape suivante
6. Menez une recherche documentaire
Êtes-vous prêts-tes ?
Marisela Escobedo Ortiz
Snippet - WITM Who should - RU
КОМУ СТОИТ ПРОЙТИ ЭТОТ ОПРОС?
Опрос предназначен для групп, организаций и движений, работающих исключительно или главным образом по вопросам защиты прав женщин, ЛГБТКИ+, гендерной справедливости во всех контекстах, на всех уровнях и во всех регионах. Если одно из этих направлений является основным видом деятельности вашей группы, коллектива, сети или любого другого типа организации – независимо от того, зарегистрирована она или нет, недавно создана или существует уже давно, мы приглашаем вас принять участие в этом опросе.

* На данном этапе мы не ожидаем ответов от частных лиц или женских и феминистских фондов.
Узнайте больше об опросе:
загляните в часто задаваемые вопросы
Snippet FEA Exclusion and Stigma (EN)

THE EXCLUSION, STIGMA AND INSTITUTIONAL ABUSE
that trans and travesti people continue to face on a daily basis
Dorothy Masuka
«Yo no planeaba ser una cantante, el canto planeó estar en mí.» - Dorothy Masuka (entrevista de Mail & Guardian)
Una de estas canciones, titulada «Dr. Malan» (por el político pro-apartheid D.F. Malan) fue prohibida. Luego, en 1961, grabó «Lumumba», una canción sobre el asesinato del líder anticolonial Patrice Lumumba. El trabajo y el activismo de Dorothy atrajeron la atención de la División Especial de la policía sudafricana, y fue forzada a un exilio político que se prolongaría durante tres décadas. Durante ese tiempo, trabajó con grupos independentistas, incluido el Congreso Nacional Africano. En 1992, cuando el apartheid comenzó a desmoronarse y Nelson Mandela fue liberado de prisión, Dorothy regresó a Sudáfrica.
Su trabajo incluye la primera canción que grabó, en 1953, titulada «Hamba Notsokolo», que fue un éxito durante la década de 1950, y hoy es un clásico muy valorado. También escribió «El Yow Phata Phata», una canción que fue adaptada por Miriam Makeba, quien hizo de «Pata, Pata» un hit internacional.
Arraigados en la resistencia, la música y el activismo de Dorothy (popularmente conocida como «Auntie Dot» [«Tía Dot»]) estaban entretejidos, y dejaron un legado magnífico e inspirador.
Dorothy falleció en Johannesburgo el 23 de febrero de 2019 a la edad de 83 años, por problemas de salud.
Entrevista a Dorothy Masuka de Mail & Guardian (en inglés)
Escucha su música:
Where does the project come from?
We believe that the economy, the market, the financial system and the premises upon which they are built are critical areas of feminist struggle. Thus, our vision for a just economy goes beyond promoting women’s rights and empowerment in the market, to evaluating the role of gendered oppressions in shaping economic arrangements and transforming these to ensure gender and economic justice.
Process
We are neither starting from zero, nor alone in this attempt to put forward feminist propositions for a just economy. Many of the propositions herein have been advanced or exist in practice within diverse communities challenging and resisting the mainstream market and growth-based economic systems.
It is also very important to note that there is growing awareness of the fact that micro solutions are not always the answer to macro problems, even if they represent important spaces for resistance and movement building and that there may be limitations to particular alternatives to address the injustices of the current capitalist system at a global scale.
Goals
However, feminist alternatives for a just economy are critical to create dents in the system and draw lessons for transformative systemic change. Here we cannot presume to offer a comprehensive nor a complete account on how to create a just feminist economic model, or even models. But we can, but rather draw from cross-movement dialogue with trade unions, environmental, rural and peasants movements, to articulate the propositions for the journey towards this vision.
What do we want to change?
The neoliberal model driving the global economy has repeatedly demonstrated its inability to address the root causes of poverty, inequalities, and exclusion. Neoliberalism, and has in fact contributed to the very creation and exacerbation of these injustices.
Characterized by globalisation, liberalization, privatisation, financialisation and conditional aid, mainstream development policies over the past 3 decades have wreaked havoc on livelihoods over the past 3 decades. These policies have also sustained a trajectory of deepening inequalities, gendered injustices, and environmental destruction that the world can no longer afford to endure.
While there are people those who assert that economic growth, facilitated by giving free reign to corporations and businesses, can sustain a tide that will (eventually) raise all boats.
However, the notion of development that has prevailed for the past decades, built for the most part upon the premise of limitless economic growth, is going through an ideological crisis.
The myth of economic growth as a panacea for our problems is being debunked.
See also
Susana Chavez
Snippet - WITM To make - PT

Para dar ênfase à complexidade do financiamento de várias formas de organização feminista;
Snippet FEA Audio Story 3 (ES)
Escucha la historia aquí:
Esther Mwikali
Esther Mwikali habitait dans le village de Mithini, dans le comté de Murang’a au Kenya. Activiste des droits fonciers, importante et appréciée, elle travaillait sur les abus à l’égard de squatters vivant sur des terres revendiquées par des magnats. Esther a participé à une enquête qui comprenait également des violations de droits fonciers à Makaya par de puissants individus.
Suite à l’absence d’Esther lors d’une réunion de village, une équipe de patrouille est partie à sa recherche. Le 27 août 2019, deux jours après sa disparition, on retrouva son corps dans une ferme proche de sa propriété, montrant des signes de torture. Elle fut sauvagement assassinée.
« Esther était reconnue pour son travail auprès des membres de la communauté, empêchant les évictions de terres revendiquées des magnats. Les activistes du coin n’ont aucun doute sur le lien entre son meurtre et les luttes constantes pour les terres dans la région. C’est un tragique rappel de la fréquence alarmante d’assassinats extrajudiciaires régulièrement menés au Kenya » - Global Wittness Report, juillet 2020
« Nous associons la mort de Mwikali aux luttes pour les terres par ici. Nous demandons au gouvernement de mener une enquête sur ce sujet au plus tôt. » - James Mburu, porte-parole des squatters
« Des mesures devraient être prises à l’égard des individus suspectés d’avoir menacé les squatters, et notamment la famille Mwikali. » - Alice Karanja, National Coalition of Human Rights Defenders (coalition nationale des défenseur·e·s des droits humains)
« L’impact de son travail et sa ténacité demeureront encore en vie pour les prochaines décennies au Kenya. CJGEA console avec les personnes endeuillées et appelle à la justice. » - Center for Justice and Governmental Action (Centre pour la justice et l’action gouvernementale, CJGEA) communiqué de presse, 13 septembre 2019
Agroecología y soberanía alimentaria
Contexto
La búsqueda de medios alternativos de producción alimentaria a partir de la sostenibilidad ambiental está ganando terreno en todas las regiones. Esta búsqueda mundial presenta una característica común: la necesidad de involucrar a la población rural y sobre todo a las mujeres, teniendo en cuenta sus prioridades y conocimientos locales, aplicando el principio de la agroecología.
Definición
La agroecología es una forma de practicar la agricultura o de utilizar tecnologías sin dañar el ambiente. Se propone quebrar el modelo hegemónico de desarrollo rural basado en los latifundios y monocultivos que beneficia sobre todo a las empresas agrícolas y afianza la exclusión social.
En la agricultura familiar, la agroecología se manifiesta como resistencia al modelo actual de desarrollo y sus problemas sociales, culturales, ambientales y económicos. Se opone a la falta de autonomía de la población campesina en cuanto a capital financiero y encarna una forma de resistencia al modelo de agronegocios actual.
Perspectiva feminista
Las iniciativas que se basan solo en la agroecología pueden no ser suficientes para resolver todos los problemas de marginación e invisibilidad de las mujeres. Por eso, una perspectiva feminista es fundamental para analizar las normas asociadas con la idea de familia que actualmente se postula como institución perfecta, así como con las condiciones de subordinación de las mujeres.
En términos más simples: para que la agroecología pueda liberar su potencial emancipatorio, es importante que los debates en torno a ella incluyan una reflexión sobre los roles de género socialmente construidos.

Para leer más acerca de esta propuesta:
- Agroecología: Explorando oportunidades para el empoderamiento de las mujeres según experiencias en Brasil (2011) de AWID y ActionAid
- Sembradoras de luchas y esperanzas, por el feminismo y la soberanía alimentaria de La Vía Campesina recoge los intercambios de la 4ta Asamblea de Mujeres en la que se debatió la crisis del capitalismo y los desafíos para construir un feminismo campesino y de clase trabajadora.
