None On Record

Análisis Especiales

AWID es un organización feminista internacional de membresía, que brinda apoyo a los movimientos que trabajan para lograr la justicia de género y los derechos de las mujeres en todo el mundo.

Activismo Joven Feminista

Una organización creativa, frente a una creciente amenaza

El activismo joven feminista juega un papel fundamental en las organizaciones y los movimientos por los derechos de las mujeres a nivel mundial, ya que aborda los nuevos problemas a los que las feministas se enfrentan en la actualidad. Esta fuerza, creatividad y adaptabilidad son esenciales para la sostenibilidad de la organización feminista.

A la vez, enfrentan obstáculos específicos para ejercer su activismo, como acceso limitado al financiamiento y al apoyo, falta de oportunidades de capacitación, un incremento considerable de los ataques contra las jóvenes defensoras de los derechos humanos. Esto crea una falta de visibilidad que hace más complicada su inclusión y participación efectiva en los movimientos por los derechos de las mujeres.

Un enfoque multigeneracional

El programa de activismo joven feminista fue creado para garantizar que las voces de las jóvenes sean escuchadas y se vean reflejadas en el discurso feminista. Queremos garantizar que las jóvenes feministas tengan un mejor acceso al financiamiento, a las oportunidades de desarrollo de las capacidades y a los procesos internacionales.

Además de apoyar directamente a las jóvenes feministas, estamos trabajando con activistas por los derechos de las mujeres de todas las edades, con modelos y estrategias prácticas para procesos efectivos de organización intergeneracionales.

Nuestras acciones

Queremos que las activistas jóvenes feministas jueguen un papel en el proceso de toma de decisiones que afectan sus derechos a través de:

  • Fomento de la comunidad e intercambio de información a través de la Conexión Joven Feminista. Dada la importancia de los medios virtuales para el trabajo de las jóvenes feministas, nuestro equipo lanzó la Conexión Joven Feminista en mayo de 2010 para compartir información, construir capacidades a través de seminarios web y discusiones electrónicas y para alentar la construcción de la comunidad.

  • Investigación y generación de conocimientos sobre el activismo joven feminista, que aumenten la visibilidad y el impacto del activismo joven feminista en los movimientos por los derechos de las mujeres y otros actores clave, como los donantes.

  • Promoción de procesos más efectivos de organización intergeneracional, explorando mejores formas de trabajar en conjunto.

  • Apoyo a la participación de las jóvenes feministas en los procesos globales de desarrollo, por ejemplo en los procesos de Naciones Unidas.

  • Colaboración con todas las áreas prioritarias de AWID, incluyendo el Foro, para garantizar así que las contribuciones clave de las jóvenes feministas, así como sus perspectivas, necesidades y activismo se reflejen en los debates, políticas y programas que las afectan.

Contenido relacionado

Comment puis-je accéder à l’enquête?

L’enquête est disponible sur KOBO, une plateforme en source libre de collecte, gestion et visualisation de données. Pour y participer, il vous suffit de cliquer ici sur le lien de l’enquête et de suivre les indications pour répondre aux questions. 

Yo, Imposible proyección: la guía de participación

Fadila M.

Fadila M. était une activiste “tribale” Soulaliyate d’Azrou, dans la province marocaine d’Ifrane. Elle s'est battue contre une forme spécifique de discrimination à l'égard des femmes “tribales” liée à la propriété foncière.

Dans le cadre du Mouvement en faveur des droits fonciers des femmes Soulaliyates, elle a travaillé pour la révision de la législation-cadre relative à la gestion des biens communautaires, avec l'adoption en 2019 de trois projets de lois garantissant l'égalité des femmes et des hommes. 

Selon le droit coutumier en vigueur, les femmes n'avaient pas le droit de bénéficier de la terre, surtout celles qui étaient célibataires, veuves ou divorcées. Au Maroc, les droits à la terre collective se transmettaient traditionnellement entre les membres masculins de plus de 16 ans issus d’une même famille. Depuis 2007, Fadila M. faisait partie du mouvement des femmes, à savoir la première mobilisation populaire nationale de revendication de leurs droits fonciers. Parmi leurs victoires, citons le fait qu'en 2012, les femmes Soulaliyates ont pu, pour la première fois, s'inscrire sur les listes de bénéficiaires et disposer d'une indemnisation liée à la cession des terres. Le mouvement a également réussi à faire modifier le dahir de 1919 (décret du roi du Maroc) de façon à garantir aux femmes le droit à l'égalité.

Fadila M. s’est éteinte le 27 septembre 2018. Les circonstances de sa mort, survenue alors qu’elle participait à une marche de protestation sur la question des terres collectives, ne sont pas claires. Si les autorités déclarent que sa mort est accidentelle et qu'elle a fait un arrêt cardiaque sur le chemin de l'hôpital, la section locale de l'Association marocaine des droits de l'homme (AMDH), affirme quant à elle que Fadila a été étouffée par un membre des forces policières arborant un drapeau marocain. Sa famille a demandé qu’une enquête soit menée mais les résultats de l'autopsie n'ont pas été communiqués.

Apprenez-en davantage sur le Mouvement en faveur des droits fonciers des femmes Soulaliyates 


Veuillez noter: Nous n'avons pu trouver aucune photo de Fadima M. C'est pourquoi cette illustration (au lieu d'un portrait) représente ce pour quoi elle s'est battue et a travaillé : la terre et le droit d'y vivre et d'avoir accès à cette terre et ce qui y pousse.

Deya Bhattacharya

Biography

Deya es une organizadore de movimientos feministas, profesional de los derechos humanos e investigadore queer trans no binarie que basa su trabajo en métodos queer-feministas y participativos. Ha trabajado en el ecosistema del financiamiento feminista durante más de siete años y ha participado en espacios del movimiento feminista desde hace mucho más tiempo, ya más de 10 años. Su trabajo se ubica en la intersección del dinero con los movimientos. Antes de incorporarse a AWID, Deya se desempeñaba como consultore independiente para Mama Cash, Kaleidoscope Trust, Comic Relief, Global Fund for Children (Fondo Global para la Infancia), entre otros, donde estableció en conjunto procesos, espacios y mecanismos centrados en los movimientos para la dotación de recursos, programas e investigación. Posee una maestría en Justicia Internacional y Derechos Humanos de la Universidad Centroeuropea.

En AWID, Deya conduce la Estrategia de Participación y Apoyo a los Movimientos de la Iniciativa Financiamiento para los Movimientos Feministas, y brinda apoyo a movimientos feministas clave en sus esfuerzos de definir y promover agendas de dotación de recursos feministas. Fuera del trabajo, Deya se destaca en natación, adora la ficción literaria contemporánea y cuidar su perro.

Position
Responsable, Participación de los Movimientos - Iniciativa para el Financiamiento de los Movimientos Feministas
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Snippet FEA Objectives NSS Family Farming (FR)

L'AGRICULTURE FAMILIALE, L’AGROÉCOLOGIE ET LA SOUVERAINETÉ ALIMENTAIRE

Circle in mustard yellow with the illustration of a rural woman with brown skin and a blue dress, with a hoe tool on her left shoulder.
Promouvoir l'agriculture familiale par l'agroécologie et la souveraineté alimentaire

How many questions are in the survey?

There are 47 questions in total, of which 27 are mandatory* and the remaining 20 are optional. The majority of questions are multiple-choice. We invite you to respond to all the questions.

Ali Chavez Leeds

tasseography print justice. Print on paper, 4 color screen print, 8.5x11, 2016
Impression sur papier, sérigraphie 4 couleurs, 8.5x11, 2016

«Tasseography» (Tasséomancie)

La tasséomancie est une méthode de divination qui interprète les motifs dans les feuilles de thé et/ou le marc de café. Il s’agit d’une pratique qui se transmet par les femmes de mon côté arménien et qui m’a été enseignée par ma mère, qui elle-même l’a apprise de sa mère, et ainsi de suite. Lorsque je regardais ma grand-mère lire le marc de café du café arménien préparé pour la famille et les amis, je remarquais que, souvent, elle voyait ce qu'elle avait envie de dire. Ces gravures disent certaines des choses que j’ai envie de voir dans le monde ; j'espère que vous aussi.  

Our Promise
Impression relief sur papier, 11 × 14 in, 2021

«Our Promise» (Notre promesse)

Cette gravure célèbre la résilience, le sacrifice et la force des combattant·e·s de la liberté de l’Asie du Sud-Ouest et de l’Afrique du Nord à travers l'histoire et la solidarité qui existe. Elle a été inspirée à l'origine par un article que j'ai lu sur une exposition organisée à Tatvan, un district de Bitlis, qui mettait en lumière la présence arménienne dans la région. Mes ancêtres sont originaires de Bitlis, se situant aujourd'hui sur le territoire de la Turquie actuelle.

looking at the cup
Impression relief sur papier, 8.5 × 11 in, 2020

«Looking at the Cup» (Regarder la tasse)

La tasséomancie (la lecture du marc de café) est une pratique culturelle utilisée par les femmes arméniennes depuis des siècles pour se parler entre elles et les unes aux autres, un langage codé permettant d'entamer des conversations, d'établir des relations et de tisser des liens.

À propos d’Ali Chavez Leeds 

]Ali Chavez Leeds portrait
Ali Cat Leeds (elle/iel) est une artiste et graveuse qui vit sur les territoires non cédés de Cowlitz, Multnomah et des tribus confédérées de Grand Ronde, au confluent de deux rivières, également connu sous le nom de Portland, Oregon. Elle produit ses œuvres sous le nom de Entangled Roots Press. Ses impressions mêlent le littéral et le métaphorique pour éclairer et commenter le monde qui nous entoure. Les impressions en relief, sérigraphiques et typographiques vont du carnage de la déforestation à la beauté des mouvements des peuples. Les impressions d'Ali s'inspirent d'histoires ancestrales et s'orientent vers des avenirs libérateurs ; elles enchevêtrent les leçons des jardins, les symboles dans le marc de café, les fils tissés d'Arménie et d'Euskal Herria, jusqu'à la page imprimée.

Dorothy Masuka

“I didn’t plan to be a singer, singing planned to be in me.” - Dorothy Masuka (interview with Mail & Guardian)

Dorothy Masuka, born 1935 in Bulawayo (then Southern Rhodesia, now Zimbabwe), grew up in South Africa to become a well-known songwriter, composer, jazz singer and activist, a fervent advocate of the struggle against apartheid. Called “an architect of the discourse of popular African liberation music”, Dorothy often sang about politics in indigenous African languages and throughout her work she confronted the racist policies of the South African government.

One such song titled “Dr. Malan” (named after the pro-apartheid politician D.F. Malan) was banned. She went on to record “Lumumba” (1961), a song about the assassination of the anti-colonial leader Patrice Lumumba. Dorothy’s work and activism attracted the attention of the Special Branch of the South African police and she was forced into a political exile that would span over three decades. Throughout this time, she worked with pro-independence groups including the African National Congress. In 1992, as apartheid started to crumble and Nelson Mandela was released from prison, she returned to South Africa. 

Some of her other work includes the first song she recorded in 1953 entitled “Hamba Notsokolo”, a hit in the 1950s and a valued classic. She also wrote “El Yow Phata Phata”, a song that was adapted by Miriam Makeba, making “Pata, Pata” popular internationally.

Rooted in resistance, Dorothy’s music and activism were intertwined, leaving a magnificent and inspiring legacy. She was also widely known as “Auntie Dot”. 

On 23 February 2019 at the age of 83, Dorothy passed away in Johannesburg due to ill health. 


Watch Dorothy Masuka in an interview with Mail & Guardian

Listen to some of her music:

Hamba Nontsokolo
El Yow Phata Phata
 

Khaoula Ksiksi

Biography

Khaoula Ksiksi est une fervente défenseuse de la justice, de l’équité et de la libération. Dans son rôle de conseillère en matière de genre, d’égalité, de diversité et d’inclusion (GEDI), elle œuvre à faire de l’inclusion une réalité concrète, pas simplement un concept politique, au sein des programmes humanitaires et des interventions en situation de crise. Elle collabore avec diverses équipes pour combattre l’oppression structurelle en déployant des approches audacieuses et transformatrices qui s’appuient sur les expériences vécues.

Son activisme a débuté au cœur du mouvement antiraciste tunisien. Au sein de l’organisation Mnemty, elle a contribué à l’adoption de la première législation anti-discrimination du pays, obligeant la société tunisienne à reconnaître l’existence de l’injustice raciale. Par la suite, elle a co-fondé le collectif Voix des Femmes Tunisiennes Noires, une initiative visant à valoriser le leadership des femmes noires, à développer des réseaux de solidarité et à revendiquer une visibilité dans une société qui tend à les réduire au silence.

Khaoula est également l’une des fondatrices de Falgatna, un mouvement queer-féministe radical qui œuvre pour la défense des droits OSIGEGCS, tout en apportant son soutien aux communautés LGBTQI+ par des actions directes, des stratégies de cyberrésistance et un plaidoyer centré sur les survivant·es.

Auparavant, elle a dirigé des projets régionaux féministes et de justice climatique à la Fondation Rosa Luxemburg en Afrique du Nord et de l’Ouest.

Son travail est guidé par une conviction profonde : personne n’est libre tant que nous ne le sommes pas toustes. Son activisme est à la fois un combat et une lettre d’amour à son peuple, à ses communautés et au monde que nous méritons.

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Snippet FEA Audio A Caring Economy (EN)

¿Tengo que responder todas las preguntas a la vez o puedo hacerlo a lo largo de algún tiempo?

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Feminist Embodiments of Hope and Power

A Film Series on Feminist Realities from the SWANA region


by Esra Ozban

In a product-obsessed world, prioritizing process is a fundamental feminist method. Processes matter, and curation is no exception. While figuring out which of the films from the SWANA region would speak the loudest to the Feminist Realities theme, the global pandemic we are still facing shifted our everyday lives tremendously. Even to think, write, or express myself has become an everyday struggle. I kept missing all of my deadlines and sending apology emails to Kamee Abrahamian, whom I was working with as an independent curator for AWID’s Feminist Film Club. Kamee’s invaluable support, understanding, and suggestions reminded me that even in two different parts of the world, as colleagues who never met in person, we can co-create micro versions of the Feminist Realities for which we live and yearn. 

Feminist Realities for me have a lot to do with sisterhoods. Sisterhoods that help womxn clearing mines in Artsakh/Nagorno-Karabakh. Sisterhoods baked in Vegan Inclusive Trans Cake by young trans feminists in Ankara that remind cis-ters that they are not welcomed by the Z generation. Sisterhoods that are growing into the mint on Dragica Alafandi’s rooftop in the Dheisheh Refugee Camp in Occupied Palestine in Sowing seeds of resistance. Sisterhoods that embrace intimate, sexual, and revolutionary proximities in Gezi Park in #resistayol. Sisterhoods that unearth an imagined encounter between two generations of womxn in exile in the streets of Haifa in Your father was born 100 years old and so was the Nakba. Cross-species sisterhoods that build in a fictional (brave) space created by Mounia Akl in Submarine for her rebel character Hala, who refuses to evacuate from a city full of garbage and is left behind with a dog friend.
 
This selection gathers bits and pieces of many Feminist Realities that have been realized in the SWANA region over the last couple of years. We will continue to imagine, learn, and share feminist embodiments of hope and power. In the meantime, let’s immerse ourselves in the powerful alternatives brought to life by the filmmakers and protagonists of these films. We may co-create every step, every act, and every attempt as we continue to cohabitate this world with others who are living Feminist Realities and continue to dream more of them into existence. 



MOTHERLAND 


By Emily Mkrtichian& Jesse Soursourian

“With beautiful visuals paired with compelling verité scenes, Motherland is a show of female camaraderie and strength… The film is a testament of women around the world who are willing to work harder to overcome any obstacle they meet.”
    - Nosarieme Garrick, award winning filmmaker

“Motherland is an inspiring visualization of solidarity, courage, and grit…”
    - Hers is Ours Collective, organizers of the Outsider Moving Art & Film Festival

Motherland from jesse soursourian on Vimeo.

Emily Mkrtichian on Feminist Realities and Artsakh/NKR:
We shot the short film, Motherland, in the Republic of Artsakh in 2018. I was drawn to each of these women for their strength, their resilience and their humor -- despite the context in which they lived. In 2018, that context was the aftermath of a brutal war in the 1990’s, after which their country remained an unrecognized (or, in the international community, disputed) territory that was not given the autonomy and independence so many other countries enjoy. Artsakh was also deeply affected by the consequences we see in almost all places that go through violent conflict -- consequences that so often fall on women to bear: PTSD, high rates of alcoholism, high rates of domestic abuse, less equality and freedoms granted to women, little to no representation of women in politics and civil service. In the face of all these challenges, this film tries to capture the fire and power of the women of Artsakh, one that might not fit the traditional Western feminist paradigm, but one they have created for themselves through deep community ties, care for their families, hard work, and the ability to laugh with eachother through it all. Today, the Republic of Artsakh has been newly devastated by another war that left it without 70% of the lands these women grew up understanding were theirs. Yet, I can promise you that these women, and thousands of others, continue to pull their families, communities, and culture together through the same networks of care, commitment to hard work, and deep riotous laughter in the face of an uncertain future. 



SOWING SEEDS OF RESISTANCE


By Baladi-Rooted Resistance

“A timely film to watch after having born witness to the latest bombardment of Gaza by Israeli Defence Forces. A glimpse into the way that women in Palestinian communities survive structural oppression, through the story of a library of traditional seeds.. and the women that sustain them as a form of nourishing rebellion.”

    - Jessica Horn, PanAfrican feminst strategist, writer and co-creator of the temple of her skin


“Watching women coming together and working collectively for food autonomy is both therapeutic and empowering for me.”
    - Hers is Ours Collective, organizers of the Outsider Moving Art & Film Festival

Baladi-Rooted Resistance Team on Feminist Realities:
How to talk about Feminist Realities when you live in Deheisheh, a Palestinian refugee camp, built 70 years ago to serve 3000 refugees, but now home to 15000 people, in the occupied West Bank? Or when the land you farm is under constant threat by illegal settlers.
If you’re a woman in occupied Palestine you will have to struggle not only against patriarchy but also against colonialism and a brutal military occupation. 

Dragiča and Vivien are fighting these multiple systems of domination in their own way. 
Vivien uses native seeds to help Palestinians maintain their identity. Growing traditional food in traditional ways has great significance: “If you’re not a producer anymore, you’re a consumer, and what better way to enslave someone than turning them into your consumer. This is happening all around the world, but here you have it doubled with the military occupation.”

31.5% of households in the West Bank are food insecure. Through a rooftop edible garden, Dragiča managed to increase her family’s food autonomy. In the crowded camp, where the Israeli army conducts regular nighttime incursions to arrest and harass residents, Dragiča’s rooftop garden not only nourishes her family, but it especially nourishes her soul.



#RESISTAYOL


By Ruzgar Buski

Ruzgar Buski on Feminist Realities:
I don’t know what to say about Feminist Realities but as a trans artist, an activist from Turkey, I know our realities are harsh. We live with violences- physical, emotional, economical, sexual! That is why we have to build our own networks, and co-creating micro realities for each other is a Feminist Reality for me. #resistayol is my first film, and at the beginning I was planning to make a film by/for/with trans people that does not try to convince anyone to the fact that trans people are human or focuses on raising awareness on trans issues. However, Gezi Uprising, one of the biggest uprising in the history of Turkey, happened and the film became something different. 

I believe the production process really affects what the film is. We tried very hard for women, trans and non-binary people to work on every step of the film. This film is made by people who gathered with camaraderie and friendship. Kanka Productions is founded on transfeminist comradeship. I want the film to give hope, to heal because we carry a lot of traumas in our bodies- this is what makes us and what bonds us. Healing is a never-ending process and we have to create spaces to breath. #resistayol is an hour of breathing collectively.

Boysan Yakar in #resistayol:
Well lubunyas (queers) were sitting in the park, all of a sudden bulldozers arrived and everyone got pissed off. Actually in summary this is it. It's Lubunya's park,and we had thirty days to explain that to this huge city. Everyone acknowledged that at night ibnes (faggots) fuck in that park...LGBTI Block carried our commune there. We already didn't trust the state and police  and didn't have any security, we've established our own ways of doing things, our own laws and customs to survive... We carried our law to Gezi rapidly...With an effort to establish some common language and understanding among all these groups, the LGBT language of togetherness spread all through the park. Every day was a Pride march, everyone was continuously saying ‘ayol’. We spruced up the stinky, fusty language of the left. I guess we had such an impact because we've been disowned for all these years. From the most radical ones to the most conservative and nationalist ones, they all needed us, because everyone got used to being confronted with everything. Τhey were not used to such energy, our energy. That’s why it was a great political space for us. Every day, we actualized our biggest and main struggle there, that is, a struggle for visibility and recognition. That’s why we left Gezi with a huge gain.


VEGAN INCLUSIVE TRANS CAKE


By Pembe Hayat

“...a multifaceted statement, showing the joy that exists in the friendships within the queer  community in Turkey as a display of rebellion and resistance.”
 
    - Nosarieme Garrick, award winning filmmaker

“...fun, light, and random. In a world constantly marked and scarred by violence against the trans community, nothing, no action, is (unfortunately) deprived of meaning. So to more joy, love, and meaningful randomness!”
 

    - Hers is Ours Collective, organizers of the Outsider Moving Art & Film Festival

Cayan Azadi in Vegan Inclusive Trans Cake:
Hello Barbies, Kens, porcelain dolls,  Olive Oyls, cabbage dolls. Brides of Chucky, sisters of Chucky, brother-in-laws of Chucky and last but not least, esteemed brother-in-law lovers.

So why did we make this cake. 

Now we got the news that a trans woman sex worker has attempted suicide due to the violence from street-guards and police on the street. She’s being kept at a police station now and that’s exactly why we made this cake. This transvestite cake is baked to show that we exist in every part of life, that we exist persistently and this cake shows that won’t be wiped off or ignored in this society. 

Yes, there is violence in our lives, yes there is a lot of shade as well but despite all of that, we can still have fun, enjoying life as much as we can. Bon appetit, sis! 


YOUR FATHER WAS BORN 100 YEARS OLD AND SO WAS THE NAKBA  ابوكي خلق عمره ١٠٠ سنة، زي النكبة


By Razan AlSalah


SUBMARINE

By Mounia Akl

“It is directed as a poem is written… simple, a touch abstract, and moving.” 
 
    - Hers is Ours Collective, organizers of the Outsider Moving Art & Film Festival

Esra Ozban:
Esra Ozban is a film programmer and filmmaker from Turkey. Their artistic, curatorial, and scholarly work intersects critical archival practices, sex work, pornography, feminist/queer film cultures among others.


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Esther Mwikali

El hogar de Esther Mwikali estaba en la aldea de Mithini, en el condado de Murang'a, Kenya. Esther fue una defensora del derecho a la tierra destacada y valorada que investigó los abusos contra okupas de tierras reclamadas por magnates. La investigación de la que participó Esther incluyó también violaciones del derecho a la tierra cometidas por personas con poder en Makuyu.

Luego de que Esther faltara a una de las reuniones de la aldea, un grupo de búsqueda  salió a rastrear a Esther. El 27 de agosto de 2019, dos días después de su desaparición, el cuerpo de Esther fue encontrado en una granja cerca de su casa, con signos de tortura. Esther había sido brutalmente asesinada.

"El trabajo de Esther por evitar el desalojo de lxs integrantes de las comunidades de las tierras reclamadas por magnates era conocido por todxs. Para lxs activistas locales no existía ninguna duda de que su asesinato estaba relacionado con las luchas en la zona por el acceso a la tierra; un trágico recordatorio de la alarmante frecuencia con que se llevan a cabo las ejecuciones extrajudiciales en Kenia."- Global Wittness Report, Julio 2020

"Asociamos la muerte de Mwikali con las luchas locales por el derecho a la tierra,  y exigimos al Gobierno que investigue el asunto sin demora." - James Mburu, portavoz de lxs okupas.

"Es necesario tomar medidas con respecto a las personas que presuntamente han amenazado a lxs ocupantes ilegales, incluida la familia de Mwikali". - Alice Karanja, Coalición Nacional de Defensorxs de Derechos Humanos

"El impacto de su trabajo y su tenacidad permanecerán vivos en Kenia durante décadas. El CJGEA consuela a las personas afligidas y pide justicia". - Comunicado de prensa del Centro para la Justicia y la Acción Gubernamental (CJGEA, por sus siglas en inglés), 13 de septiembre de 2019

Qu’est-ce que l’AWID ?

L’Association pour les droits de la femme dans le développement (AWID) est une organisation associative internationale féministe.

Nous œuvrons à renforcer les répercussions et l’influence des organisations, mouvements et défenseur-euse-s des droits des femmes sur la scène internationale et à amplifier leur voix collective, en vue de la pleine réalisation de la justice de genre et des droits humains des femmes.

En savoir plus sur l’AWID

Snippet FEA Travesti (ES)

TRAVESTI:

Una identidad de género latinoamericana

El término travesti se trata de una identidad de género latinoamericana sin equivalente en otros idiomas, y exclusivamente femenina. Es una persona designada varón al nacer que se identifica como mujer, y siempre deben abordarse con el pronombre “ella”.

Travesti no es solo una identidad de género ubicada fuera del binarismo de género, también es una identidad cultural arraigada en los movimientos latinoamericanos. El término inicialmente fue peyorativo, pero luego fue re-apropiado como símbolo de resistencia y dignidad. Toda travesti es trans porque no se identifica con el género asignado al nacer, sin embargo no toda travesti se considera mujer trans, ya que travesti ya es una identidad de género en sí misma.

Referencia: Berkins, Lohana. (2006). Travestis: una Identidad Política . Trabajo presentado en el Panel Sexualidades contemporáneas en las VIII Jornadas Nacionales de Historia de las Mujeres/ III Congreso Iberoamericano de Estudios de Género Diferencia Desigualdad. Construirnos en la diversidad, Villa Giardino, Córdoba, 25 al 28 de octubre de 2006.

J’ai répondu aux questions de l’enquête mais j’ai changé d’avis et souhaite annuler notre participation, comment puis-je faire?

Si, quelle qu’en soit la raison, vous souhaitez que votre participation soit annulée et vos réponses supprimées, vous en avez le droit. Merci de nous contacter par le biais de ce formulaire, en indiquant « Enquête WITM (Où est l’argent?) » dans l’objet de votre message. Nous annulerons votre participation et supprimerons vos réponses.

Discursos anti-derechos

Capítulo 3

Los discursos anti-derechos continúan evolucionando. Además de utilizar argumentos relacionados con la religión, la cultura y la tradición, los actores antiderechos cooptan el lenguaje de la justicia social y los derechos humanos para ocultar sus verdaderas agendas y ganar legitimidad.

Alison Howard, Alliance Defending Freedom, speaks outside the construction site of the Washington, D.C. Planned Parenthood.
© American Life League/Flickr
Alison Howard, Alliance Defending Freedom, habla afuera del sitio de construcción de Planned Parenthood en Washington, D.C.

Hace tres décadas, un evangelista televisivo estadounidense candidato del Partido Republicano dijo una célebre frase: el feminismo es «un movimiento político antifamilia que alienta a las mujeres a dejar a sus maridos, matar a sus hijos, practicar brujería, destruir el capitalismo y convertirse en lesbianas». Hoy en día, esta idea conspirativa ha logrado un alcance y una legitimidad sin precedentes bajo la forma del discurso de la «ideología de género», un término genérico que, cual enemigo imaginario, ha sido creado por los actores antiderechos para oponerse a él.

Dentro de la serie de discursos empleados por los actores antiderechos (que incluyen nociones de «imperialismo cultural» y «colonización ecológica», apelaciones a la «objeción de conciencia» y la idea de un «genocidio prenatal»), un tema clave es la cooptación. Los actores antiderechos se apropian de problemáticas legítimas, o seleccionan partes de estas, y las distorsionan al servicio de sus agendas opresivas.

Índice de contenidos

  • Ideología de género
  • Imperialismo cultural y colonización ideológica
  • Aborto: objeción de conciencia
  • Aborto: genocidio prenatal
  • Ejercicio: Recuperemos la narrativa
  • Historia de movimiento de resistencia: Los principios de Nairobi: compromisos inter-movimientos sobre discapacidad y derechos a la salud sexual y reproductiva

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