Philippe Leroyer | Flickr (CC BY-NC-ND 2.0)

Special Focus

AWID is an international, feminist, membership organisation committed to achieving gender equality, sustainable development and women’s human rights

Women Human Rights Defenders

WHRDs are self-identified women and lesbian, bisexual, transgender, queer and intersex (LBTQI) people and others who defend rights and are subject to gender-specific risks and threats due to their human rights work and/or as a direct consequence of their gender identity or sexual orientation.

WHRDs are subject to systematic violence and discrimination due to their identities and unyielding struggles for rights, equality and justice.

The WHRD Program collaborates with international and regional partners as well as the AWID membership to raise awareness about these risks and threats, advocate for feminist and holistic measures of protection and safety, and actively promote a culture of self-care and collective well being in our movements.


Risks and threats targeting WHRDs  

WHRDs are exposed to the same types of risks that all other defenders who defend human rights, communities, and the environment face. However, they are also exposed to gender-based violence and gender-specific risks because they challenge existing gender norms within their communities and societies.

By defending rights, WHRDs are at risk of:

  • Physical assault and death
  • Intimidation and harassment, including in online spaces
  • Judicial harassment and criminalization
  • Burnout

A collaborative, holistic approach to safety

We work collaboratively with international and regional networks and our membership

  • to raise awareness about human rights abuses and violations against WHRDs and the systemic violence and discrimination they experience
  • to strengthen protection mechanisms and ensure more effective and timely responses to WHRDs at risk

We work to promote a holistic approach to protection which includes:

  • emphasizing the importance of self-care and collective well being, and recognizing that what care and wellbeing mean may differ across cultures
  • documenting the violations targeting WHRDs using a feminist intersectional perspective;
  • promoting the social recognition and celebration of the work and resilience of WHRDs ; and
  • building civic spaces that are conducive to dismantling structural inequalities without restrictions or obstacles

Our Actions

We aim to contribute to a safer world for WHRDs, their families and communities. We believe that action for rights and justice should not put WHRDs at risk; it should be appreciated and celebrated.

  • Promoting collaboration and coordination among human rights and women’s rights organizations at the international level to  strengthen  responses concerning safety and wellbeing of WHRDs.

  • Supporting regional networks of WHRDs and their organizations, such as the Mesoamerican Initiative for WHRDs and the WHRD Middle East and North Africa  Coalition, in promoting and strengthening collective action for protection - emphasizing the establishment of solidarity and protection networks, the promotion of self-care, and advocacy and mobilization for the safety of WHRDs;

  • Increasing the visibility and recognition of  WHRDs and their struggles, as well as the risks that they encounter by documenting the attacks that they face, and researching, producing, and disseminating information on their struggles, strategies, and challenges:

  • Mobilizing urgent responses of international solidarity for WHRDs at risk through our international and regional networks, and our active membership.

Related Content

Agroécologie et souveraineté alimentaire

Le contexte

La recherche de moyens alternatifs de production alimentaire fondés sur la durabilité environnementale gagne du terrain dans toutes les régions du monde. Cette quête mondiale présente une caractéristique centrale : la nécessité de mobiliser les populations rurales, en particulier les femmes, tenant compte de leurs priorités et de leurs connaissances locales par le truchement de l’agroécologie.

Définition

L’agroécologie est une façon de pratiquer l'agriculture ou de faire appel aux technologies qui ne nuit pas à l'environnement. Cette approche propose de rompre avec le modèle de développement rural hégémonique reposant sur les grandes exploitations et la monoculture qui profitent essentiellement aux entreprises agricoles et renforcent l'exclusion sociale.

Dans le contexte de l'agriculture familiale, l'agroécologie représente une forme de résistance au modèle de développement actuel et aux problèmes sociaux, culturels, environnementaux et économiques que ce modèle implique. L’agroécologie se pose en alternative face au manque d'autonomie financière des agriculteur-trice-s et symbolise une résistance face au modèle d'agroentreprises actuel.

Perspective féministe

Il se pourrait que les efforts uniquement axés sur l'agroécologie ne suffisent pas à résoudre tous les problèmes de la marginalisation et de l'invisibilité des femmes. Il est alors crucial d’adopter une perspective féministe afin d'analyser les normes associées à la notion de famille telle qu'actuellement constituée en tant qu'institution parfaite, ainsi que les normes relatives à la condition de subordination des femmes.

Plus simplement, il importe d'inclure une réflexion sur les rôles de genre socialement construits pour faire avancer le potentiel émancipateur de l'agroécologie dans ce débat.


Pour en savoir plus sur cette proposition :

Snippet FEA Bauen Hotel (FR)

Un an seulement après sa fondation, les membres de Nadia Echazú ont commencé à travailler dans la haute couture et ont organisé un défilé de mode dans l'historique hôtel Bauen.

Elles ont montré cinq modèles et quelques travailleuses de la coopérative textile ont même défilé avec leurs propres créations.

C'était révolutionnaire non seulement parce qu'elles concevaient des alternatives à la mode grand public, mais aussi parce qu'elles créaient des vêtements accessibles et inclusifs pour les corps trans et travesti.

Il n'y a pas d'économies féministes sans vêtements qui nous font nous sentir incroyables et confortables!

Como é que os dados recolhidos através do questionário serão divulgados e processados?

Os dados serão processados para fins estatísticos para esclarecer o estado de financiamento dos movimentos feministas globalmente e serão divulgados apenas em forma agregada. A AWID não divulgará informações sobre uma organização específica ou informações que permitam identificar uma organização através da respetiva localização ou características sem o respetivo consentimento comprovado.

Mereani Naisua Senibici

Mereani Naisua Senebici, que l’on appelait aussi « Sua », a été membre de l’Association des jeunes femmes chrétiennes (YWCA) des Fidji pendant de longues années.

En plus d’avoir travaillé avec divers groupes de femmes dans des contextes multiraciaux, ruraux et urbains, elle s’est impliquée dans le soutien et la promotion des droits des femmes et des jeunes femmes.

Au YWCA de Lautoka, elle travaillait avec des femmes d’origine indienne et comptait parmi les pionnières du développement de la pratique sportive et la participation des femmes et athlètes trans localement.

« Les membres du YWCA des Fidji ont profondément aimé Sua pour son dévouement et son soutien inébranlable envers tous les efforts déployés par l’organisation » – Tupou Vere

Mereani faisait partie de la House of Sarah (HoS), une initiative de l’Association of Anglican Women (AAW) lancée en 2009, un organisme de sensibilisation autour des violences basées sur le genre et de soutien des femmes victimes de violence. Ayant commencé sa pratique en tant que bénévole dévouée, elle offrait notamment son soutien aux femmes dans tout le Pacifique.
Mereani s’est éteinte en 2019.

« Une personne qui aimait les gens, qui était présente sur tous les fronts de l’autonomisation des femmes et du travail du mouvement au niveau communautaire. Repose en paix, Sua. » – Tupou Vere

Claudia Montserrat Arévalo Alvarado

Biography

Claudia est Professeure en Egalité et équité pour le développement, psychologue féministe, activiste en faveur de la défense des droits humains depuis 30 ans et des droits des femmes depuis 24 ans.

Claudia, qui travaille au Salvador, est co-fondatrice et directrice générale de l’association Mujeres Transformando, et défend depuis 16 ans les droits du travail des travailleuses du secteur des maquiladoras textiles et de l’habillement. Elle a collaboré à la formulation d’initiatives législatives, à des propositions de politiques publiques et de recherches visant à améliorer la qualité de l’emploi pour les femmes travaillant dans ce secteur, en plus de travailler sans relâche au renforcement de l’organisation et de l’autonomisation des ouvrières des maquiladoras textiles et des couturières à domicile.

Elle participe activement à des actions de plaidoyer à l’échelle nationale, régionale et internationale pour la défense et la revendication des droits du travail de la classe ouvrière du Sud mondial d’un point de vue féministe, anticapitaliste, anti-patriarcal et dans une perspective de prise de conscience de la classe et du genre. Elle fait partie du Conseil d'administration de l'Initiative Spotlight et du Groupe national de référence de cette dernière. Elle fait également partie du Groupe consultatif de la société civile de l'ONU Femmes.

Position
Co-président
Add to stories
Off

Les membres de l’AWID s’engagent à la CSW61

Les Etats membres et les défenseur-e-s et organisations des droits des femmes se réuniront au siège des Nations Unies à New York du 13 au 24 mars pour la 61ème édtion de la Commission de la condition de la femme, afin d’aborder le thème de l’« autonomisation économique des femmes » dans le cadre de l'objectif 5 pour le développement durable.

Alors que nous avons hâte de retrouver quelques un-e-s d'entre vous à New-York, nous souhaitons aussi impliquer celles et ceux qui ne peuvent pas être présent-e-s à la CSW et être votre porte-voix dans les espaces pertinents.

Poursuivez votre lecture pour savoir comment participer à la CSW aux côtés de l’AWID, que vous soyez sur place ou non.


Participez à une prise de contrôle artistique !

C'es un plaisir pour nous que Nayani Thiyagarajah, membre de l’AWID, assistera à la CSW cette année et qu’elle sera en charge du compte Instagram de l’AWID.

Là-bas, elle sera disponible pour rencontrer d’autres membres qui pourront éventuellement figurer sur notre Instagram. Elle explorera par ailleurs les possibilités d’inclure certain-e-s membres de l’AWID dans un court-métrage sur le thème ‘le privé est politique’, qui retracera l’histoire de la participation de Nayani à la CSW de cette année.

Nayani Thiyagarajah

Qui est Nayani?

Nayani Thiyagarajah est une directrice, productrice et écrivaine qui se consacre à porter des histoires à l’écran. Fille de la diaspora tamoule, elle appelle désormais Toronto sa ville. Pendant plus de 10 ans, Nayani a travaillé dans l’industrie des arts et de la culture. Son premier long-métrage documentaire indépendant, Shadeism: Digging Deeper (2015), fut présenté en première au Festival international du film de Zanzibar, où il obtint le Prix spécial du jury. Avec son partenaire de production Camaro West, Nayani a récemment lancé [RE]FRAME, une compagnie de production basée à Atlanta et à Toronto qui s’attache à reformuler les récits concernant les noir-e-s, les autochtones et d’autres personnes de couleur à travers des narrations portées à l’écran.

Plus sérieusement, il convient de mentionner que Nayani a un rire étrange, qu’elle est assez maladroite et qu’elle a toujours la tête dans les nuages. Pour elle, c’est une chance incroyable d’inventer des histoires pour l’écran et de s’amuser à faire croire, et de pouvoir en vivre. Elle croit en l’amour par-dessus tout.

(Biographie soumise par Nayani)

Vous avez envie de rencontrer Nayani et d’être pris-e en compte pour figurer dans son film ?

  • Envoyez un e-mail à membership@awid.org en précisant dans la ligne d’objet « CSW: Prise de contrôle artistique »

  • Avant le 13 mars 2017

  • Merci d’inclure votre nom complet et votre lieu de résidence.


Vous ne pouvez pas assister à la CSW ? Exprimez-le !

Si vous êtes dans l’incapacité d’assister à la CSW61 en raison d’une interdiction de voyager, qu’elle ait été imposée par l’administration Trump ou par votre propre gouvernement, n’hésitez pas à nous faire part de votre histoire.

Envoyez-nous les messages que vous voulez voir diffusés dans les espaces des Nations Unies autour du financement, de l’impact du rétablissement de la règle du bâillon mondiale (Global Gag Rule) et de la nécessité de rejeter les fondamentalismes religieux. Vous pouvez adresser vos messages sous les formats suivants : 

  • vidéo : elle ne devra pas durer plus de deux minutes et devra être envoyée via un partage de fichier en ligne (par exemple dropbox, google drive) 

  • audio : il ne durera pas plus de deux minutes et sera envoyé via un partage de fichier en ligne (par exemple dropbox, google drive)

  • image : vous pouvez partager une photo ou une affiche de votre message 

  • texte : il ne pourra pas faire plus de 200 mots et devra être intégré dans le corps d’un e-mail ou dans un document word

Envoyez-nous votre message !

  • Envoyez un e-mail à membership@awid.org, en précisant en ligne d’objet « CSW: Exprimez-le ! »

  • Avant le 15 mars 2017


Rencontrez d’autres membres à la CSW61

Les membres de l’AWID nous disent combien les rencontres qui se font entre membres à la CSW sont précieuses. Dans un lieu de plaidoyer tellement immense, il est utile de rencontrer et d’échanger avec les autres, y compris avec des activistes travaillant sur des questions semblables, ou venant du même pays ou de la même région. Nous reconnaissons que les rencontres sont fondamentales dans la construction des mouvements.

Voir les members de l'AWID

Vous souhaitez être mis-e-s en contact avec d’autres membres à la CSW61 ?

  • Envoyez un e-mail à membership@awid.org, en précisant en ligne d’objet « CSW: Membres de l’AWID »

  • NOTE : Veuillez nous transmettre vos coordonnées complètes (nom, pays) et nous indiquer si vous nous autorisez à communiquer votre adresse mail aux autres membres qui souhaiteraient entrer en contact à la CSW.


Prenez une photo !

Si vous participez à la CSW, partagez-nous ce que vous y voyez ! Montrez-le nous en capturant un instant qui reflète l'energie de l'espace de la CSW, que ce soit lors d'une conférence ou en dehors. Nous avons l'intention de publier vos images usr nos réseaux sociaux et de les partager sur notre site.

Vous pouvez nous envoyer :

  • des photographies en couleur ou en noir & blanc

  • avec leur titre (si vous souhaitez)

  • et une légende (pas plus de 100 mots) qui raconter l'histoire de votre photo.

Veuillez aussi inclure :

  • votre nom complet et votre pays d'origine

  • faites-nous aussi savoir si vous nous autorisez à partager tout ou partie de ces informations

Partagez vos images !

  • Envoyez un e-mail à membership@awid.org en précisant en ligne d’objet « CSW: Prenez une photo ! »

  • Pendant toute la CSW ou rapidement après, jusqu'au jeudi 28 mars 2017. 

Snippet FEA Georgia this is only the beginning (EN)

Georgia

Solidarity Network

 

THIS IS ONLY THE

BEGINNING

حالة التمويل للحركات النسوية ووقائعها تتغير بسرعة. هل هذا الاستطلاع لمرة واحدة؟

كلا. يبني هذا الاستطلاع على المعلومات التي حشدتها جمعية حقوق المرأة في التنمية حول كيفية الحصول على تمويل أكبر وأفضل للحركات النسوية وحركات التغيير الاجتماعي وهذه الدورة الثالثة لاستطلاع "أين التمويل للتنظيمات النسوية". نهدف للقيام بالاستطلاع مرة كل ثلاثة أعوام.

Juli Dugdale

Juli Dugdale was an Australian feminist who practiced intergenerational leadership rooted in principles of feminism, inclusion and equality. She was a leader, peer and mentor for many women and especially young women around the world. 

Juli was a dedicated staff member, volunteer and fervent advocate for young women’s leadership with the Young Women's Christian Association (YWCA) movement for over 30 years.

She offered a strong link between the Australian movement and the World YWCA Office. Her trust in the leadership capacity of young women led to a multi-year partnership with the Australian Department of Foreign Affairs and Trade and the creation of the Rise Up manual, a global guide for young women’s transformative leadership, launched in 2018.

Juli passed away in Geneva on 12 August 2019.


Tributes:

“For those who got to work with Juli, it was a privilege. For those who didn’t, be assured that her legacy continues in the work we do every day and in the mission of the YWCA movement.” - YWCA Australia

“Juli Dugdale will forever hold a deep place in many people's hearts in the YWCA movement, especially here in Aotearoa and across the Pacific. Juli had a special relationship with the Pacific and was an incredible supporter of the young women there. She was humble, gracious, loving, caring, dedicated, passionate and had a generous heart. She embodied the YWCA's vision of 'transformative leadership' with extraordinary vision and foresight, and helped empower generations of young women leaders around the world.” - YWCA New Zealand

Sanyu Awori

Biography

Sanyu is a Pan-African feminist based in Nairobi, Kenya. She has spent the last decade supporting labour, feminist and human rights movements advocating for corporate accountability, economic justice and gender justice. She has worked with the Business & Human Rights Resource Centre, IWRAW Asia Pacific and the Commonwealth Human Rights Initiative. She has a Master’s of Laws in Human Rights Law and a Bachelor’s of Laws from the University of Nottingham. Her writing has been published in the Business and Human Rights Journal, Human Rights Law Review, Open Global Rights, Open Democracy and more. In her free time, she loves walking in the forest and chasing butterflies.

Position
Manager, Building Feminist Economies
Add to stories
Off

Seven feminist policy recommendations to curb illicit financial flows

The growing dominance of international financial markets and institutions in defining global economic policies has resulted in the capture of people’s power in the interest of global elites and big corporations. 


Our policy brief on Illicit Financial Flows explores their disproportional gender impact and unveils the current legal and political frameworks that allow multinational corporations to benefit from tax abuse to the detriment of people and planet.

The brief concludes with these seven feminist policy recommendations to demand transparency and corporate accountability in order to curb illicit financial flows.


Our recommendations for advocacy

Illicit financial flows are gaining unprecedented attention: whether in development negotiations, like those leading to Agenda 2030 and the Addis Ababa Financing for Development Conference in 2015; or making headlines in mainstream media with the release of leaked documents on offshore finance known as the ‘Panama Papers’. In another example, the Ecuadorean people voted to bar politicians and civil servants from having assets, companies or capital in tax havens, in a referendum in February 2017. The Ecuadorian government is now a leading voice within the group of G77, in the United Nations, to create a UN global tax body to end tax havens.

This public attention potentially builds momentum for feminists, social movements and tax justice advocates to pressure for the transformation of the global financial system, which entrenches global inequalities, including gendered inequalities.

We offer below a set of seven policy asks as a contribution to growing advocacy efforts from social justice, feminist, women’s rights and gender equality actors:

1.  Address IFFs as a violation of human rights and women’s rights:

  • Illicit financial flows are hindering the fulfillment of the obligation of States to mobilise the maximum available resources for the realisation of human rights, including long agreed commitments on women’s rights and gender equality.
  • Strengthening corporate accountability is a possibility on the table at the UN Human Rights Council. An open-ended intergovernmental working group is in place to elaborate an international legally binding instrument to regulate, in international human rights law, the activities of transnational corporations and other business enterprises. This process has the potential to address corporate tax evasion as a violation of human rights, including women’s rights, and should be greater supported by countries in the global North and South.

2.  Ensure multinational corporations pay their share of taxes:

  • Develop international mechanisms that curb abusive tax practices and prevent corporate tax exemptions. UN member states should initiate negotiations to draft a UN convention to combat abusive tax practices. The convention should adopt a consolidation and apportionment system for taxing global corporate profits.
  • Revise specifically national regulations in wealthy countries that demand MNCs pay taxes only in the resident country, rather than in the countries of economic activity. This practice hinders developing countries the most, as they increasingly lose taxable base to low and zero tax jurisdictions. Proposals like the Unitary Taxation approach should be considered in this regard.

3.  Support the establishment of a United Nations intergovernmental tax body:

  • A UN tax body with equal voting rights and universal membership should have the power to review national, regional and global tax policy and ensure states comply with long agreed commitments on human rights, including women’s rights and gender equality.

4.  Promote transparency and gender-sensitive data gathering:

  • Greater efforts must be made at the global level to refine comparable data on tax abuse, for example with gender disaggregated data that shows the gender biases of certain tax systems.
  • Countries must ensure a framework for automatic information exchange, which guarantees public and global access to key data that affects the resources available for the realization of human rights.
  • Implement country-by-country reporting obligations for multinational corporations to publicly disclose, as part of annual reports, profits made and taxes paid for each country in which they operate.
  • Among other financial information, there must be greater cooperation from governments to share their national public registries that disclose beneficial owners of companies, trusts, foundations and similar legal structures.

5.  Promote tax justice through progressive fiscal policies at the national level:

  • Promote tax justice through progressive fiscal policies. This requires increasing the weight of direct taxes on income capital and highly profitable sectors of society, while reducing and removing the burden on women and poor people. Poor segments of society, of which women are overrepresented, should not end up paying more taxes, in relation to their income, than the richest segments that often benefit from government tax subsidies, tax holidays and reductions.
  • Governments must critically review the harmful trade and investment agreements that grant tax incentives and exemptions that perpetuate inequality and gender biases.

6.  Ensure participation of women’s rights organisations, social movements and progressive civil society broadly:

  • Economic and fiscal policy decisions often lack a gender sensitive perspective. Engagement between the ministries of Gender and Finance, and both with civil society and women human rights defenders, is key to better understand the impact that revenue decisions are having on women’s rights and gender equality.
  • An enabling environment should be in place to protect women human rights defenders and others (including whistle-blowers, tax justice activists) that expose tax abuse and report corruption.

7.  Stop the impunity of criminal activities associated with IFFs and ensure accountability:

  • Establish a global coordinated mechanism across national tax authorities, human rights and gender equality machineries, and intelligence units, to ensure criminal activities associated with IFFs do not continue with impunity.
  • Strengthen national and global justice systems to be able to hold individuals and entities to account for funding criminal activities through IFFs.

Read the full report

Snippet FEA Workers demonstrations in Georgia 1 (ES)

Cuatro personas con carteles durante una manifestación y, en medio, una mujer con un megáfono hablando.

Snippet - WITM Who should - PT

Quem deve realizar este inquérito?

O inquérito destina-se a grupos, organizações e movimentos que trabalham especificamente ou principalmente pelos direitos das mulheres, pessoas LBTQI+ e pela justiça de género, em todos os contextos, em todos os níveis e em todas as regiões. Se este for um dos pilares principais do seu grupo, da sua comunidade, da sua rede ou de qualquer outro tipo de organização, quer esteja registada ou não, seja nova ou já estabelecida, convidamo-lo a participar neste inquérito.

* De momento, não solicitamos respostas de indivídues ou de fundos feministas e de mulheres.

Perguntas Frequentes

Sarah Maldoror

«No adhiero al concepto de “Tercer Mundo”. Hago películas para que las personas (no importa de qué raza o color sean) puedan entenderlas. Para mí, solamente existen explotadores y explotadxs, eso es todo. Hacer una película significa tomar una posición.» - Sarah Maldoror

Sarah Maldoror, una cineasta francesa descendiente de una familia de las Indias Occidentales, fue una pionera del cine panafricano. Sus inquietudes políticas ocupaban el centro de su trabajo, junto con su permanente involucramiento en los movimientos de descolonialización.

La innovadora Sambizanga (1972), su «película revolucionaria», sigue la lucha de liberación anticolonial de lxs militantes de Angola y capta la perspectiva de una mujer en el momento histórico en que se encuentra.

«Para muchxs cineastas africanxs, el cine es una herramienta revolucionaria, una educación política para crear consciencia. Se inscribe en la evolución de un Tercer Cine,  que se orienta a descolonizar el pensamiento y promover cambios radicales en la sociedad.» - Sarah Maldoror

A lo largo de su carrera, Sarah (junto con otrxs artistas africanxs y caribeñxs) cofundó, en 1956, la primera troupe de teatro negra de Francia. Realizó alrededor de cuarenta películas, incluidos importantes documentales que difundieron la vida y la obra de artistas negrxs, entre lxs cuales se encuentra su amigo y poeta, Aimé Césaire, quien le escribió:

«A Sarah Maldo
que, cámara en mano,
lucha contra la opresión, la alienación
y se planta de cara
frente a la estupidez humana.»

Sarah estaba también dedicada a lograr que las mujeres africanas se apropiaran más del proceso de filmación. En una entrevista, señaló:

«Las mujeres africanas deben estar en todos lados. Deben estar en las imágenes, detrás de la cámara, en la sala de edición, y participar en todas las etapas de la realización de una película. Ellas deben ser quienes hablen sobre sus problemas.»

Sarah dejó un legado formidable para que sea continuado.

Nacida el 19 de julio de 1929, Sarah falleció el 13 de abril de 2020 debido a complicaciones por el coronavirus.


Mira Sambizanga y lee una reseña de la película en un artículo del New York Times de 1973 (solo en ingles)
 

Veena Singh

Biography

Veena Singh es una isleña de Fiyi, feminista y mujer de color Nacida y criada en un pequeño pueblo rural de Fiyi, su fuerza proviene de su rica herencia mixta (su madre es una mujer fiyiana indígena y su padre es fiyiano de ascendencia India).  La identidad y las experiencias vividas de Veena han influido profundamente en su compromiso con la justicia, la equidad y la inclusión.   Con más de dos décadas de experiencia en derechos humanos, igualdad de género, desarrollo comunitario e inclusión social, Veena es una activista apasionada por la reconfiguración del poder para crear un cambio transformativo y construir una «economía de la amabilidad» Su trabajo se expande por diversas áreas que incluyen: desarrollo comunitario, mujeres, paz y seguridad, políticas sociales, derechos humanos y defensa de políticas. 

Veena está profundamente comprometida en hacer avanzar la inclusión, la paz y la justicia, los derechos sexuales y por la justicia reproductiva (SRHR, por sus siglas en inglés), la justicia climática y los derechos humanos.  Aporta un gran acervo de experiencia trabajando con redes de base, organizaciones internacionales e instituciones gubernamentales, siempre con foco en los abordajes locales y liderados por la comunidad y los principios feministas. 

Fuera de su ‘vida de oficina’, Veena es activista por el medio ambiente, defensora de la salud mental y escritora.  Es la mamá de 11 gatos, se viste con sari y es amante del correo postal y las postales.  Como observadora atenta de los movimientos feministas en Fiyi y el Pacífico, Veena está en un recorrido personal para «decolonizar la mente y el yo a través de la autoreflexión radical» Sobre todo, la impulsa el deseo y el sueño de producir una escritura convocante y resonante que conecte con la diáspora del Pacífico y difunda las voces de los márgenes.

Position
Copresidenta
Add to stories
Off

Oficina Administrativa

Para asuntos adminsitrativos puede contactar con nuestra oficina: 

  • +1 416 594 3773
  • 192 Spadina Avenue, Suite 300 |Toronto, ON, M5T 2C2 | Canadá