
Juana Olivia Hernández Pérez

WHRDs are self-identified women and lesbian, bisexual, transgender, queer and intersex (LBTQI) people and others who defend rights and are subject to gender-specific risks and threats due to their human rights work and/or as a direct consequence of their gender identity or sexual orientation.
WHRDs are subject to systematic violence and discrimination due to their identities and unyielding struggles for rights, equality and justice.
The WHRD Program collaborates with international and regional partners as well as the AWID membership to raise awareness about these risks and threats, advocate for feminist and holistic measures of protection and safety, and actively promote a culture of self-care and collective well being in our movements.
WHRDs are exposed to the same types of risks that all other defenders who defend human rights, communities, and the environment face. However, they are also exposed to gender-based violence and gender-specific risks because they challenge existing gender norms within their communities and societies.
We work collaboratively with international and regional networks and our membership
We aim to contribute to a safer world for WHRDs, their families and communities. We believe that action for rights and justice should not put WHRDs at risk; it should be appreciated and celebrated.
Promoting collaboration and coordination among human rights and women’s rights organizations at the international level to strengthen responses concerning safety and wellbeing of WHRDs.
Supporting regional networks of WHRDs and their organizations, such as the Mesoamerican Initiative for WHRDs and the WHRD Middle East and North Africa Coalition, in promoting and strengthening collective action for protection - emphasizing the establishment of solidarity and protection networks, the promotion of self-care, and advocacy and mobilization for the safety of WHRDs;
Increasing the visibility and recognition of WHRDs and their struggles, as well as the risks that they encounter by documenting the attacks that they face, and researching, producing, and disseminating information on their struggles, strategies, and challenges:
Mobilizing urgent responses of international solidarity for WHRDs at risk through our international and regional networks, and our active membership.
Elle est ouverte jusqu’à la fin août 2024. Merci d’y répondre avant cette date butoir, afin que vos réponses soient incluses dans l’analyse.
Cette œuvre est la collaboration photographique et illustrative réalisée par Siphumeze et Katia pendant le confinement. Elle se penche sur les récits de sexe et de plaisir des queers noirs, le bondage, le sexe protégé, les jouets, la santé mentale et le sexe et bien d'autres choses encore. Elle a été créée pour accompagner l'anthologie Touch.
Siphumeze Khundayi est une créatrice d'art, photographe et animatrice qui s'intéresse aux moyens créatifs de réunir le dialogue et la pratique artistique en relation avec l'identité queer africaine.
Elle est directrice créative de HOLAAfrica!, un collectif panafricaniste féministe en ligne.
Ses travaux de performance en solo et collaboratifs ont été présentés dans un certain nombre de festivals et d'espaces théâtraux tels que le festival Ricca Ricca au Japon.
Elle a mis en scène deux productions nominées aux Naledi Awards en 2017 et 2018. Elle a aussi mis en scène un spectacle qui a remporté un prix Standard Bank Ovation en 2020.
En tant que photographe, elle a participé à une exposition de groupe intitulée Flowers of my Soul (Fleurs de mon âme) en Italie, organisée par le Misfit Project. Elle a produit trois publications pour HOLAAfrica et a été publiée dans le deuxième volume, pour lequel elle a fourni la couverture: As You Like des Gerald Kraak Anthologies.
Katia Herrera est une artiste visuelle numérique de 21 ans originaire de la ville bruyante de Saint-Domingue, en République dominicaine. Bien que Herrera soit une introvertie autoproclamée, ses œuvres d'art sont remarquablement fortes dans un monde qui tente de faire taire les voix des personnes noires. Avec des titres comme Black Woman (Femme Noire), You Own the Moon (La Lune t’Appartient), Earth Goddess (Déesse de la Terre), Forever (Pour Toujours) et Universe Protector (Protecteur.rice de l’Univers), l'héritage de Herrera sera marqué par sa volonté passionnée de mettre en lumière l'endurance et la persévérance des Noir·e·s d'hier et d'aujourd'hui, afin de contrer le discours selon lequel la peau noire ne devrait être associée qu'à l'esclavage.
L'une de ses œuvres la plus belle et la plus vivante, Universe Protector, dépeint l'âme noire comme une entité divine pleine de force, de puissance et de grandeur. C’est dans sa jeunesse que son amour du graphisme a été stimulé grâce à l'art de ses parents et le Photoshop qu'ils avaient téléchargé sur leur ordinateur pour leur photographie professionnelle.
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"He dado testimonio de la discriminación que vi en las calles, he sufrido burlas y abusos verbales ahí. También he hecho numerosas amistades y he conocido a mucha gente. Puede que haya peligros ahí fuera, pero soy una sobreviviente y aquí es donde estaré por ahora." - Sainimili Naivalu
Exigió a las autoridades políticas y a otras partes interesadas que proporcionaran políticas y servicios favorables a la movilidad de las personas con discapacidad, como la construcción de rampas en pueblos y ciudades para aumentar su accesibilidad. Sin embargo, las barreras físicas no fueron las únicas que Sainimili se esforzó por cambiar. Por experiencia propia, sabía que era necesario que se produjeran cambios más complejos en las esferas sociales y económicas. Muchos de los retos a los que se enfrentan las personas con discapacidad tienen su origen en actitudes que llevan a la discriminación y al estigma.
Como sobreviviente y luchadora, Sainimili contribuyó a la creación conjunta de realidades feministas que fomentasen la inclusión y cambiasen las actitudes hacia las personas con discapacidad. Como afiliada a la Asociación de Lesiones de la Espina Dorsal de Fiji (SIA, por sus siglas en inglés) y a través del proyecto del Foro para Personas con Discapacidades del Pacífico “Pacífico Habilita”, Sainimili asistió a la formación de la Organización Internacional del Trabajo "Inicie su Negocio" en Suva, lo que le permitió transformar sus ideas en su propio negocio. Fue emprendedora en el puesto 7 del mercado de Suva, donde ofrecía servicios de manicura, y también se encargaba del puesto del mercado de las mujeres de SIA, donde vendía artesanías, sulus y otros objetos. El plan de Sainimili era expandir su negocio y convertirse en una importante empleadora de personas con discapacidad.
Además de su activismo, también fue medallista y campeona juvenil de tenis de mesa.
Sainimili era única, con una personalidad vivaz. Siempre podías saber si Sainimili estaba en una habitación porque su risa y sus historias eran los primero que notabas. - Michelle Reddy
Sainimili falleció en 2019.
Опрос предназначен для групп, организаций и движений, работающих исключительно или главным образом по вопросам защиты прав женщин, ЛГБТКИ+, гендерной справедливости во всех контекстах, на всех уровнях и во всех регионах. Если одно из этих направлений является основным видом деятельности вашей группы, коллектива, сети или любого другого типа организации – независимо от того, зарегистрирована она или нет, недавно создана или существует уже давно, мы приглашаем вас принять участие в этом опросе.
* На данном этапе мы не ожидаем ответов от частных лиц или женских и феминистских фондов.
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An exhibition by Nicole Barakat, embodying her reconnection with the diaspora of objects from her ancestral homelands in the South West Asia and North Africa (SWANA) region.
Barakat presents a collection of textile works as manifestations of her practice of engaging with displaced, and often stolen objects held within Western museum collections including the Louvre, British Museum and Nicholson Museum.
To by-pass the gatekeepers and breach the vitrines holding these ancestral objects, Barakat reclaims pre-colonial, non-linear, receptive forms of knowing that are often devalued and dismissed by colonial and patriarchal institutions - engaging with coffee cup divination, dream-work, intuitive listening and conversations with the objects themselves (source).
Escucha esta historia aquí:
por Maryum Saifee
Cuando se hace una búsqueda en Internet sobre «mutilación genital femenina» o «MGF», junto a la entrada de Wikipedia, aparece una imagen de cuatro dibujos lineales de la anatomía femenina, que ilustran cuatro tipos de violencia. (...)
arte: «Dreams» [Sueños], Neesa Sunar >
Connue comme la drag queen de couleur de New York, Sylvia était une infatigable et féroce défenseure des marginalisé·e·s et exclu·e·s au début des années 1970, alors que le mouvement pour les « droits des gays » prenait de l’ampleur aux États-Unis.
Dans un discours bien connu prononcé pour Chistopher Street Day en 1973, Sylvia s’est exclamée, parmi une foule de membres de la communauté LGBT :
« Vous me dites tous d’aller me cacher, la queue entre les jambes.
Je ne supporterai plus ces conneries.
On m’a battue.
On m’a cassé le nez.
On m’a jetée en prison.
J’ai perdu mon travail.
J’ai perdu mon appartement.
Tout ça pour la libération gay, et vous me traitez de la sorte?
C’est quoi votre putain de problème à tous?
Réfléchissez à ça! »
En 1969, à l’âge de 17 ans, Sylvia a participé aux célèbres émeutes de Stonewall en jetant, paraît-il, le deuxième cocktail molotov en signe de protestation contre la descente de la police dans le bar gay de Manhattan. Elle a continué à être une figure centrale des soulèvements qui ont suivi, organisant des rassemblements et ripostant aux brutalités policières.
En 1970, Sylvia a collaboré avec Marsha P. Johnson à la création de Street Transvestite Action Revolutionaries (S.T.A.R.), collectif et organisation politique qui mettait sur pied des projets de soutien mutuel pour les personnes trans vivant dans la rue, celles et ceux aux prises avec la toxicomanie ou en détention, et spécialement pour les personnes trans de couleur et celles et ceux vivant dans la pauvreté.
Refusant les étiquettes, Sylvia a incité les personnes du mouvement de libération gay à penser différemment, et ce, tout au long de sa vie. Elle a déclaré :
« J’ai quitté ma maison en 1961, à l’âge de 10 ans. Je me suis démenée sur la 42e rue. Le début des années 1960 n’était pas génial pour les drag queens, les garçons efféminés ou les garçons qui se maquillaient comme on le faisait. À l’époque, on se faisait battre par la police, par tout le monde. Je n’ai pas vraiment fait mon coming out en tant que drag queen avant la fin des années 1960. C’était vraiment la débandade lorsque des drag queens se faisaient arrêter. Je me rappelle la première fois où je me suis fait arrêter, je n’étais même pas habillée entièrement en drag. Je marchais dans la rue et les flics m’ont tout simplement attrapée. Les gens maintenant prétendent que je suis une lesbienne, parce que je suis avec Julia, ce à quoi je leur je réponds : « Non, je suis juste moi. Je ne suis pas une lesbienne. » J’en ai marre d’être étiquetée. Je ne suis même pas en faveur de l’étiquette de transgenre. J’en ai marre de vivre avec des étiquettes. Je veux juste être qui je suis. Je suis Sylvia Rivera »
Par son activisme et son courage, Sylvia Rivera a présenté un miroir où se reflétait tout ce qui n’allait pas dans la société, mais aussi la possibilité d’une transformation. Sylvia est née en 1951 et décédée en 2002.
Para dar ênfase à complexidade do financiamento de várias formas de organização feminista;
En la Comisión Africana y en el Sistema Interamericano, los actores antiderechos impulsan nociones esencialistas de cultura y género para impedir el avance de los derechos y socavar las responsabilidades. Como vemos, los actores anti-derechos están ejerciendo su influencia sobre los sistemas regionales de derechos humanos, así como en los espacios internacionales.
La Comisión Africana de Derechos Humanos y de los Pueblos ha comenzado a definir a los derechos sexuales y de las mujeres como un menoscabo a su capacidad de ocuparse de los «derechos reales» y como contrarios a los «valores africanos», con lo cual se establece un precedente anti-derechos preocupante. La anulación del estatus de observador de la Coalición de Lesbianas Africanas es un ejemplo de esta tendencia y muestra la forma en que el espacio para el involucramiento feminista panafricanista está siendo restringido.
En la Organización de Estados Americanos (OEA) y en el Sistema Interamericano de Protección de los Derechos Humanos, las estrategias anti-derechos incluyen la oenegización de grupos religiosos, la utilización de discursos seculares, y la cooptación de marcos de discriminación. La influencia antiderechos se ha materializado de diversas maneras, que incluyen la intimidación de activistas trans y la obstrucción de la introducción de lenguaje progresista en las resoluciones.
Nous tenons à remercier le collectif Amar.ela de femmes féministes militantes et créatives qui ont rendu cette série possible, et tout particulièrement Natalia Mallo (le poulpe de l'équipe) pour son soutien et son accompagnement dans ce voyage.
Nous exprimons également notre profonde gratitude et notre admiration à tous les groupes et personnes qui ont participé à ce projet, et nous les remercions d'avoir partagé leur temps, leur sagesse, leurs rêves et leurs illusions avec nous. Nous les remercions de faire de ce monde un monde plus juste, féministe et durable.
Nous espérons que leurs histoires inspireront le reste du monde autant qu’elles nous ont inspirés.
par Émilie Herbert-Pontonnier
Vous vous souvenez d’Esmeralda? Cette héroïne « gitane » et exotique née sous la plume de Victor Hugo, géant de la littérature française, et rendue célèbre par les studios Disney et leur Bossu de Notre-Dame. (...)
< illustration : « Si les Marronas le permettent » Nayare Soledad Otorongx Montes Gavilan